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lundi 16 février 2009

Enfants KIDNAPPÉS (perdus) par et pour la Recherche de nos ÉTATS qui se cherchent des cobayes

PATIENTEZ S.V.P. . . .
il va s'afficher à la droite ou à la gauche de cette page une centaine de sujets créés par moi en hypers liens. Et ne cliquez pas juste sur les phrases mais cliquez sur les dates (Janvier.... mars.... octobre....)
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dit Albert EINSTEIN

''Le monde est dangereux non pas tant à cause de la violence mais à cause de ceux qui regardent ou ferment les yeux et laissent faire''... Einstein
FAISONS UN PROCÈS PUBLIC CONTRE LES AGISSEMENTS CRIMINELS DE LA REINE ET DE SES BUSH, REAGAN, FORD, , TRUDEAU, MULRONEY, les sénateurs (BENET, BYRD.....), GM, ALCAN...

LE PROJET MONSTRUEUX QU'EST:
MK ULTRA


Le Pentagone et la dénonciation d'un de ses secrets qu'est la pornographie et le sexe porno d'enfants-esclaves créés par la Maison Blanche. La preuve est en train de devenir écrasante... ÉTATS CRIMINELS QUI NOUS GOUVERNENT

Cathy O'BRIAN dans son livre, y dénonce.....

Elles dénoncent non seulement l'ivrognerie, l'usage sans bornes d'alcool et de drogues accompagné de pratiques homosexuelles, mais elles rapportent aussi des activités beaucoup plus sérieuses, tel que des kidnappings, des viols, des actes pédophilies sodomites, et des meurtres rituels.


Cliquez ici pour voir son VIDÉO qui incrimine Georges Bush, Reagan et…..



Cathy et aussi sa fillette, ont été violées, maltraitées et torturées par des gens très célèbres, et cela durant plusieurs années (sous menaces de mort tels des OTAGES DES GOUVERNEMENTS).


CONTRÔLER LES MASSES PAR LA PEUR À TRAVERS DES PROPAGANDES DANS LES MÉDIAS....

CATHY O'BRIAN FUT ABUSÉE SEXUELLEMENT PAR RONALD REAGAN, DICK CHENAY, Pierre Eliot Trudeau ..... Elle était une esclave-objet-sexuel que la CIA s'offrait et offrait aux Chefs des États.

Cathy O'Brian et son livre ...

Kate Szot 2 of 4

LE TÉMOIGNAGE DE CATHY O'BRIAN

Cathy O'Brian, ex-esclave de la CIA et du fr Paul Bonaci. Elle et sa fille ont enduré 20 ans de calvaire. Elle a fourni un large faisceau de preuves vérifiées, concernant des crimes et faits de corruptions impliquant des niveaux locaux et fédéraux , remontant jusqu'à la Maison Blanche (affaire Franklin), dévoilent 2 sinistres illustrations des programmes Monarch qu'ils ont subis.


Cathy O'Brian, ex-victime du contrôle de l'esprit (MKU) et son amoureux: ont fait récemment un livre intitulé "Transe-formation de l'Amérique".
Ce livre expose le long souterrain caché pervers de l'ordre du jour à Washington.
George Bush, Ronald Reagan, Gerald Ford, le sénateur Byrd et de nombreux autres parlementaires et hauts fonctionnaires sont impliqués.

Cathy O'Brien et sa fille de 8 ans étaient sujettes à un programme de contrôle de l'esprit impliquant l'armée américaine, la CIA, la NASA et d'autres agences du gouvernement américain. Elles ont été secourues, rééduquées et prises en charge en Alaska en 1988 par Mark Phillips. Elles étaient victimes d'opérations de programmation du contrôle de l'esprit par traumatisme. Ces opérations sont connues sous le nom de Monarch Program. (Manufacturing Killers Utilizing Lethal Tradecraft Requiring Assassinations - Production de tueurs utilisant un conditionnement à l'assassinat) de la C.I.A. bien qu'il s'agisse dans les deux cas d'une manipulation du comportement.


''Quand j’étais sous contrôle mental, avant d’être secourue et mon esprit et ma mémoire restaurés, j’étais totalement cassée : je ne pouvais pas penser par moi-même, je n’avais pas l’aptitude à poser des questions, à formuler des raisonnements, je ne pouvais faire exactement que ce que l’on me disait de faire''. ''L’une des choses que l’on me disait de faire était de participer à des cocktails politiques à la Maison Blanche : c’était du temps de l’administration Bush-Reagan lorsque Ronald Reagan était président''.


Je me souviens plus particulièrement d’un épisode durant lequel Ronald Reagan parlait avec le Premier ministre canadien Brian Mulroney qui était lui aussi impliqué dans cette affaire de Nouvel Ordre Mondial et il a dit à ce moment-là qu’il pensait que le seul chemin vers la Paix mondiale était de contrôler l’esprit des masses.


Cathy avoue: ''Bennett a trouvé un malin plaisir à me fouetter, mes poignets meurtris et mon corps soufrant aux douleurs. Bennett alluma une cigarette et demanda: «Est-ce votre première cum-union avec un étranger?"

Bill et Bob Bennett ensemble nous ont agressé sexuellement [moi et ma très jeune fille Kelly) au Bohemian Grove en 1986.
J'avais connu Bill Bennett comme un programmeur de contrôle de l'esprit depuis un certain temps. Bennett faisait parti secrètement des jésuites / Vatican qui leurs commandaient d'utiliser son programme de manipulation de l'esprit sur des personnes aux fins de l'Ordre Mondial (de Londres).
Il me manipulait en utilisant mon catholicisme et me conditionnait initialement par le rite afin que je garde le silence. Bennett a aussi manipulé mon esprit, conformément aux commandes du Vatican par l'intermédiaire du Collège des Jésuites et son ''Byrd programmation'' au centre de l'Est de Virginie. Il a utilisé son rôle en tant que programmeur au compte des jésuites en tant que Secrétaire à l'Education pour mettre en œuvre l'''éducation 2000''. (C'est curieux car ils font le contraire de mon projet ''École de l'An 2000'', V.E.)


LE PROJET ''MONARCH'' DE LONDRES
et qui est également connu sous le nom de
projet ''MK Ultra''

L'un des secrets les mieux gardés de l'histoire est le ''Monarch Mind-contrôl'' qui utilise la programmation basée sur le contrôle de l'esprit par des traumatismes. Et cet art de créer le contrôle de l'esprit humain sans même que la personne ainsi contrôlée ne sache qu'elle est manipulée à son ainsi. Ceci est accompli par l'utilisation sophistiquée de la capacité du cerveau à se dissocier, qui est utilisé à l'extrême pour créer dans l'esprit des gens-cibles des troubles structurés menant au développement de personnalités multiples.

Les extraits de son livre ci-dessous
sont seulement ceux
qui font allusion

à Ronald Reagan, en l'honneur de

sa mort qui en a libéré plusieurs...

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Mme O'Brian a été abusée alors qu'elle n'avait que 9 ans....

Forcée de prendre part à des rituels sataniques et sadomasochistes et en plus à participer à de la pornographie impliquant elle et d'autres enfants pour les films produits aux fins personnelles pour Ronald Reagan, de Dick Cheney et autres.

L'ex président des États-Unis Gerald Ford l'a finalement vendue à la CIA, qui était à la recherche d'enfants traumatisés pour leur ''Programme de Contrôle de l'Esprit afin de faire des ESPIONS parfaits et prêts à tout...


Elle raconte en détail la façon dont le père de George Bush a violé sa fille de treize ans et comment elle a été forcée à avoir des relations sexuelles orales avec Hillary Clinton (Illuminati) ...



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De récentes informations (O'Brian et Phillips, Trance Formation de l'Amérique) changeront radicalement votre perception du Bohemian Club. Elles dénoncent non seulement l'ivrognerie, l'usage sans bornes d'alcool et de drogues accompagné de pratiques homosexuelles, mais elles rapportent aussi des activités beaucoup plus sérieuses, tel que des kidnappings, des viols, des actes pédophilies sodomites, et des meurtres rituels. L'enquête est entravée en jouant la carte de l'acte de la Sécurité Nationale de 1947.


Mme O'Brian dit qu'elle a été violée par Pierre Eliot Trudeau.


Longtemps le Premier ministre du Canada a travaillé en étroite collaboration avec le Vatican en tant que jésuite (fonction secrète car Trudeau faisait parti du CLUB DE ROME et son P2 de cette Église de Droite).


Le Prince Philp et son épouse la Reine d'Angleterre en sont les initiateurs et responsables de ce Projet MK Ultra qui crées des esclaves sexuels pour leurs pantins et pions politiques (Chefs des États mis en place par Londres) sous le prétexte de créer des espionnes.....





Maintenant entrons dans le vif du sujet.....


Trance Formation

de l'Amérique

DE LA SECTE ''ÉGLISE CATHOLIQUE ÉLITISTE'' MENÉE PAR LA REINE


Le 7 Mai 1966, un enfant de 9 ans nommée Cathy O'Brien a été soumis à un rituel occulte qu'elle appelle «Le Sacre de garder le silence» présumée dans la préparation de son avenir interdimensionnelle expéditions.

«Je travaille pour le Vatican, et maintenant, vous aussi,« [l'État du Michigan, Sénateur, Guy] VanderJagt m'a dit. «Vous venez d'entrer dans une alliance avec la sainte Eglise catholique. On ne doit jamais briser cette alliance."

Toujours capable de remettre en question à ce moment-là, je lui ai demandé, "Qu'est-ce qu'une alliance?"
VanderJagt répondit: "Une alliance est une promesse de garder des secrets, le secret que l'Eglise savait tout de même. Le Pape a tous les secrets enfermés à la Vatican. Votre oncle Bob et moi avons été à la Cité du Vatican. Il est temps que vous entriez dans la sainte alliance et appreniez les secrets de l'église qui ont été écrites bien avant même que les notions du ''Christ'' soit entrées en vigueur.

Les moines dominicains (inquisiteurs durant les 8 Croisades) garde l'alliance que Noah a mis en le nouveau monde. Ils ont gardé le secret avec eux. Il a été écrit sur le parchemin et conservé dans un lieu secret au Vatican. Ils ont fait le vœu de silence de ne jamais révéler son emplacement, ou son contenu. Vous devez entrer dans l'alliance. Vous devez porter le secret dans votre tombe. Gardez le secret de votre mère, de votre père, contre tout le monde. "


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C'est ce qui s'est passé dans le cas de Cathy: elle a été abusée par son père, un pédophile, qui a pris des photos des enfants.


Voici comment LA MAISON BLANCHE ABUSAIT DES ENFANTS, avec la permission de leurs parents.

Les sujets de ce programme ont été tatoués d'un papillon «monarque», qui représente le déroulement d'une "New Consciousness" dans quelqu'un. «La chenille en papillon".
Si vous cherchez quelqu'un qui a un "MPD", vous trouverez que la plupart des personnes atteintes de cette maladie ont un passé qui comprend l'abus sexuel.

L'enfant, face à ces sentiments au début de la vie, revient à créer une deuxième personnalité .

Cette "Alter" personnalité peut alors être appelée "Up" pour faire fonctionner une drogue, l'assassinat, etc., comme dans "Le Manchurian Candidate".

Sirhan, Oswald, La Poste, les employés, et bien d'autres tueurs en série, des meurtriers, des assassins, en furent les profils.
70 % des tueurs en série étaient des homosexuels.... Et Londres sait que les couples Bisexuels, habitués de se tromper l'un l'autre en se disant naturel de tout se permettre: deviennent des pantins prêts à trahir tout le monde car ils sont sans morale.
LES DÉVIÉS ET LES DÉTRUITS CHERCHENT À NOUS DÉVIER ET NOUS DÉTRUIRE

Beaucoup ont eu des séjours à l'hôpital géré par la CIA dans des établissements psychiatriques.

MK-Ultra Le programme a été développé dans les années 1950 par la CIA. Il a été utilisé pour aider à espionner les autres pays au cours de la guerre froide.

Le contrôle de l'esprit est absolu. Soumise au Programme de contrôle de l'esprit ''Monarch'' basé sur les traumatismes du Projet MK-Ultra, Cathy a le contrôle de ses propres pensées telles qu'elles n'étaient plus déterminées par son libre arbitre - ''il ne pouvait plus me venir à l'idée de contester, de raisonner, ou de comprendre consciemment - je pouvais seulement faire exactement ce que j'étais forcée de faire. Ceux qui contrôlaient mon esprit et, en fin de compte, mes actes, prétendaient être « des extraterrestres » , « des démons » et « des dieux »'' .

Mais j'en ai fait l'expérience, ces TRAITRES des contrôles du nouvel Ordre mondial étaient et sont toujours tributaires des limites humaines et terrestres, en dépit de leurs illusions et de leurs revendications soutenues par des tactiques de terreur. En effet, les mêmes lois de la nature et les mêmes lois humaines s'appliquent bien aussi à eux. Bien qu'ils me manipulaient en se servant de ma religion, de mes instincts maternels et de mon intérêt sincère pour l'humanité, - ils n'ont jamais « possédé » mon être inné - ils ne sont pas arrivés à faire de moi l'un d'entre eux. Ils n'ont jamais tenu compte de la puissance de l'esprit humain. Ils n'étaient même pas au courant de son existence. Demandez-vous pourquoi.

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DEDICACE

Ce livre est pour Kelly afin qu'elle soit comprise et que lui soit accordé le droit à une réhabilitation officielle en raison des mauvais traitements du Programme Monarch de Contrôle de l'Esprit du Projet MK-Ultra qu'elle a subis entre les mains de ceux qui se disent les dirigeants de notre pays.

Ce livre est destiné, tout comme je le suis, à Mark Phillips pour nous avoir délivrées, Kelly et moi, de notre vie de soumission au contrôle de l'esprit, et pour avoir ouvert la voie de la guérison pour Kelly en m'aidant affectueusement à retrouver mon esprit, ma mémoire, et en fin de compte mon libre arbitre.


Ce livre

Parlant de nécrophilie, qui veut dire "qui aime la mort" au point d'en manger, est ce que ce petit squelette subtilement dissimulé sur le pamphlet du programme est ce dont vous aurez l'air un fois le festin terminé. En tout cas celui-là possède de drôles de mains et de doigts.

CHAPITRE 9








LE RÊVE AMÉRICAIN DE LONDRES VIA RONALD REAGAN:

UNE CAUCHEMARDESQUE BOÎTE DE PANDORE

Ma vie de femme soumise aux techniques de contrôle de l'esprit est devenue plus

compliquée après que le sénateur Byrd m'ait présentée au président de l'époque, Ronald Reagan, en automne 1982

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lors d'une réception politique de la Maison Blanche.

Byrd m'a dit : « Quand tu rencontreras le Patron, imagine-le avec le pantalon baissé. Il sera plus à l'aise s'il sait que tu l'imagines ainsi. Il ne veut pas de formalités. » L'ancien Président Ford m'avait conditionnée à craindre la fonction de président, et c'est ainsi que j'ai rencontré machinalement Reagan en ayant l'esprit ailleurs.

*** AU FAIT ELLE DEVENAIT UNE ESPIONNE INVOLONTAIRE DE LA CIA et programmée à tout faire (se prostituer, empoisonner..... V.E.)


Il était évident que Reagan avait vu les vidéos ''Comment Fractionner une Personnalité et Comment Créer une Esclave Sexuelle'' tournées à Huntsville en Alabama. Il prenait beaucoup de plaisir avec moi comme si j'y avais participé de mon plein gré.

Au cours des toutes premières minutes de ma rencontre avec Reagan, il me donnait déjà des tuyaux d'acteur pour les utiliser dans des opérations du gouvernement et des activités pornographiques!

« Lorsque tu te mets dans la peau de ton personnage, tu deviens plus efficace, ce qui en retour augmente ta capacité à jouer ton rôle (d'ESPIONNE)- pour ton pays. "Ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais plutôt ce que tu peux faire pour lui" - jouer ton rôle » m'enseigna-t-il. D'une certaine façon, le rappel par Reagan de mon conditionnement par Ford et Vander Jagt à cette citation de Kennedy m'a paru plus patriotiquement significatif que de « simplement » divertir sexuellement des politiciens en faisant flotter un drapeau planté entre mes fesses. Après l'avoir fixé profondément dans ce qu'il prétendait lui-même être ses « yeux kaléidoscopiques », chaque phrase métaphorique qu'il m'adressait devenait comme un souffle vital pour moi.

Reagan m’a expliqué que les activités secrètes illégales de la CIA auxquelles j'avais été forcée de participer étaient « justifiées » par le fait qu'elles finançaient des activités clandestines en Afghanistan et au Nicaragua. Il disait que : « le Train de la Liberté de l'Amérique est en train de parcourir le globe et le sexe n'est qu'une voie secondaire vers la liberté finale. C'est surtout la part de notre travail qui consiste à nous procurer des armes et à les transporter qui en est la partie la plus difficile. Mais cela peut et doit être fait. Comment un homme pourrait-il combattre sans armes? Ces opérations sont nécessaires car les Américains font déjà un foin de tous les diables à propos de la violence, et il est préférable que les Américains ne soient pas informés de nos guerres secondaires dont ils ne peuvent pas comprendre la portée», dit Reagan.

C'est maintenant que je me rends compte que Reagan dénaturait la réalité pour l'adapter à ses perceptions personnelles plutôt que d'adhérer à la philosophie de Byrd, laquelle consistait à fournir des « excuses » pour ce qu'il considérait comme étant « dans l'ordre des choses ». À sa manière, Reagan ne considérait pas le contrôle de l'esprit comme une forme d'esclavage mais plutôt comme une « occasion offerte à ceux dont la vie n'aurait pas de sens sans cela. »

Reagan prétendait qu'aux enfants victimes d'abus incestueux, issus de familles qui reproduisent ces pratiques de génération en génération, tels que moi-même, ou « à ceux qui étaient auparavant de misérables joueurs de base-ball du tiers monde ou des quartiers pauvres: on fournit ainsi une occasion "d'être tout ce qu'ils peuvent être" [Ndt: "Be all you can be", slogan de l'armée des États-Unis de 1981 à2001] en leur permettant de faire leur "Contra-bution" [Ndt: jeu de mots sur la "contribution" des ventes illégales d'armes à l'Iran au financement des "contras" du Nicaragua] à la société, à notre nation et au monde entier, en utilisant leurs talents au maximum de leur potentiel. » Par cette attitude, Reagan affichait son arrogance dans le rôle malsain du Magicien d'Oz qu'il interprétait, en dirigeant des esclaves du projet Monarch tels que moi-même.

Dans les années 40, Byrd était un chef local du Ku Klux Klan opposé à toute idée d'intégration raciale au sein de l'armée. Les soupçons de racisme le suivront durant toute sa carrière politique.... « Je souhaite de ne jamais me battre aux côtés d'un nègre. Plutôt mourir mille fois, et voir le drapeau américain piétiné dans la boue au point qu'il ne puisse plus être encore hissé, que voir ce pays bien-aimé se degrader par une race de bâtards, une survivance du spécimen le plus noir des terres sauvages. », lettre de Robert Byrd au sénateur Theodore Bilbo du Mississippi (1945)

Cette nuit-là, le sénateur Byrd s'est comporté comme s'il était un proxénète et m'a prostitué à Reagan.


En parlant de moi comme si j'étais une machine, Reagan a demandé à Byrd, « Est-ce qu'elle carbure aux produits chimiques? » en pensant à des drogues spéciales de la CIA.

Byrd a répondu : « Elle en prend par giclées. » J'ai remarqué que les yeux de Reagan se sont animés d'une manière perverse en comprenant la déclaration de Byrd, qui voulait dire que je

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« profitais » de toutes les drogues qui pouvaient être présentes dans son organisme grâce à son urine. Reagan m'a dit plus tard qu'il préférait des esclaves sexuelles préparées pour cette tâche car, en tant que Président, il ne devrait pas avoir à se lever la nuit pour uriner.

« Eh bien », a dit Reagan, en levant son verre, « Tout ce que j'ai pu avoir pour lui faire le plein, c'est de l'alcool. Ce n'est pas terrible comme excitant pour de la "poudre magique de magicien". » [Ndt: "whiz of a Wiz(ard)": jeu de mots de type Oz entre whiz, champion (mais aussi amphétamines) et wizard, magicien.] Byrd s'est mis à rire tout bas de la plaisanterie en langage codé d'Oz de Reagan et a retiré sa fiole dorée de cocaïne de la poche intérieure de son costume. Reagan et lui ont alors discrètement tourné le dos à la réception tandis que Byrd faisait prendre la drogue à Reagan par le nez « à la cuillère ».


Avant de me laisser partir avec Reagan, Byrd m'a informée que : « Oncle Ronnie ne dort pas avec sa maman (Nancy) », et qu'il préférait se blottir dans ses draps de flanelle bleu clair de marque L. L. Bean, dans sa chemise de nuit et dans son bonnet de nuit ridicule car « ils sont plus chauds, plus doux, plus confortables, et ne ronflent pas. »

Plus tard, dans sa chambre, Reagan a accédé à ma programmation sexuelle, et je me suis mise dans la peau de « mon personnage » de prostituée pour « Oncle Ronnie ». Reagan ne bougeait pas pendant les rapports sexuels. Après tout, c'était « mon devoir ». Et mon devoir était de lui faire plaisir, peu importe ce qu'il fallait faire, et cela prenait plus de temps qu'autre chose. Reagan ne m'a jamais fait de mal (il s'assurait toujours que quelqu'un d'autre s’était occupé de le faire) et il s'en servait comme d'un « lien » avec ma personnalité de petite fille (« Chaton ») à laquelle il accédait toujours pour les rapports sexuels. Le trouble de la personnalité le plus évident de Reagan était sa passion pour la pornographie zoophile. 2

Selon mes contacts, sa passion pour la pornographie allait jusqu'à sa fabrication et sa distribution pendant la durée de son gouvernement.

Reagan approuvait et encourageait sans réserves l'industrie du porno pour financer les activités secrètes.

De nombreux films pornographiques commerciaux ou destinés à transmettre des directives (à usage privé) dans lesquels moi-même et d'autres nous avons participé, désignés sous le nom de « Les Histoires avant de s'endormir d'Oncle Ronnie », étaient uniquement tournés pour son bon plaisir - assez souvent selon ses instructions, en se servant des esclaves du Train de la Liberté. Après ma première rencontre avec Reagan, on s'est servi de moi dans de nombreux films qui étaient essentiellement produits à l'École de Charme de Youngstown et / ou par son « Pornographe en chef » 3 Michael Danté, tout spécialement pour satisfaire ses perversions. Cela comprenait une vaste gamme de thèmes codés, mais dont la plupart étaient basés sur la zoophilie. Reagan regardait souvent les vidéos pendant qu'on me prostituait àlui, et il me demandait de reproduire la scène porno dans la mesure du possible.

J'ai rencontré pour la première fois Michael Danté, alias Michael Viti, le Pornographe en chef de Reagan dans un hôtel de luxe de Nashville où il assistait aux festivités d'un Tournoi de Golf de « bienfaisance ». Comme le Tournoi de Golf professionnel-amateur de l'agent secret de la CIA Charlie Pride d'Albuquerque, au Nouveau Mexique, ce tournoi de « bienfaisance » procurait une couverture aux opérations de cocaïne et de traite des blanches qui dominaient la manifestation. J'assistais souvent avec Houston à de telles manifestations de « bienfaisance », tout comme Danté, mais c'est seulement après avoir rencontré Reagan que mes chemins et ceux de Danté se sont croisés comme si c'était organisé.

Danté m'a emmenée dans sa chambre d'hôtel après notre première présentation. Il a sniffé quelques lignes de cocaïne, m'a regardé de la tête aux pieds comme si j'étais une marchandise, et a accédé à ma programmation sexuelle. Il m'a ensuite demandé avec arrogance si je savais qui il était. Il m'a dit qu'il habitait à Beverly Hills, en Californie et qu'il tournait des films. J'ai cru qu'il parlait de son four au box-office, Winterhawk, jusqu'à ce qu'il dise : « Oncle Ronnie m'a envoyé. Il veut que je tourne des films avec toi comme "contra-bution" de ta part. Nous allons bien nous amuser, ensuite il va bien s'amuser, et tout le monde sera content. Tu aimeras ça, n'est-ce pas ma belle? Habille-toi. Nous allons redescendre et prendre des dispositions. »

Danté me téléphonait souvent et il exprimait « notre amour » à grand renfort d'ordres et en prenant des dispositions pour me rencontrer dans des endroits précis pour produire « Les Histoires avant de s'endormir d'Oncle Ronnie » ainsi que du porno commercial. Ces endroits incluaient, entre autres, le Tennessee, la Floride, les Antilles et

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la Californie. Il parlait souvent de me posséder dans l'avenir, me brossant un tableau de ce que pourrait être ma vie avec lui. Son attitude envers les femmes était atypique par rapport à celle des autres propriétaires ou manipulateurs d'esclaves, et il citait les écritures pour justifier sa domination. « Pas de discussion », « n'ouvre la bouche que si on t'adresse la parole », « prends une bonne raclée de temps en temps, histoire de t'apprendre à te tenir tranquille », « occupe-toi des tâches ménagères et de tout ce qui concerne mes commodités », et « sois disponible 24 heures sur 24 quand j'ai besoin d'une bonne pute. » Il m'a donné un bracelet d'esclave - une marque de fabrique de son affaire de pornographie - et il m'a dit, « Une femme a besoin d'une chaîne. C'est un rappel public de son engagement total et de son entier dévouement. Un rappel de la voie hiérarchique. Une femme est liée à son homme. Aucun homme ne devrait être lié à une femme. »

Les racines italiennes de Danté au Connecticut sont dans la Mafia, et c'était un fait bien établi que le crime organisé et le gouvernement étaient en étroite relation de travail dans les domaines concernés par des activités criminelles secrètes. J'ai rencontré un grand nombre de partenaires de Danté, et nous partagions déjà quelques relations communes qui étaient des canaux de communication entre la Mafia et la CIA. Cela incluait le membre du Congrès Guy Vander Jagt, l'ancien Président Gerald Ford, le Gouverneur de Pennsylvanie de l'époque, Dick Thornburgh, le membre du Congrès Jim Trafficant, le membre du Congrès Gary Ackerman, et Ronald Reagan.

Danté m'a raconté que, « Quand Reagan était Gouverneur (de Californie), nous sommes allés ensemble voir jouer les Dodgers (le club de base-ball de Los Angeles) et nous nous sommes assis dans la Tribune de la Presse. J'ai vraiment appris à bien le connaître et nous nous sommes bien entendus. C'est ainsi que, lui, Tommy (Lasorda, le directeur technique des Dodgers et leur ami commun) et moi-même, nous avons voulu continuer de faire la fête après le match. Je lui ai amené quelques filles (des esclaves) et nous avons fait des affaires. Tommy Lasorda nous a vraiment mis en contact - tu l'aimeras. Je t'emmènerai pour le rencontrer. Nous irons voir les matches ensemble tout le temps, à chaque occasion que nous aurons. Tu aimeras ça, n'est-ce pas ma belle? Tu aimes bien la Tribune de la Presse, ma belle? Dick dit que c'est le cas. » Cela ne m'étonnait pas que Dick Thornburgh ait parlé de sa précédente activité sexuelle perverse avec moi lors d'un match de base-ball dans l'Est, pas plus que je n'étais pas surprise d'apprendre que Danté connaissait Thornburgh à cause de leurs affaires communes de politique et de base-ball.



Dick Thornburgh était Gouverneur de Pennsylvanie pendant l'exercice de ma fonction d'esclave sous contrôle de l'esprit de type Mannequin présidentiel. Il usait de son influence pour amener Houston dans l'état de Pennsylvanie et dans les foires de comté année après année pour la distribution de la cocaïne et de la pornographie, aussi bien que pour me prostituer à lui régulièrement.


Thornburgh était un grand consommateur de cocaïne, et il était extrêmement impliqué dans les activités secrètes de la CIA - notamment dans le Projet Monarch. Il croyait profondément aux vertus du contrôle de l'esprit, non seulement pour le dressage sexuel et les opérations du gouvernement, mais aussi pour les sports. En tant qu'amateur passionné de base-ball, Thornburgh avait beaucoup de choses en commun avec Reagan, Danté et Lasorda.

J'avais donné des conférences sur l'Analyse de l'Écriture manuscrite à bord du Norway, le bateau de croisière de la compagnie NCL (ma couverture pour les opérations secrètes) en 1987, et Thornburgh ainsi que son ami Jim Zerilla, le dénicheur de talents du club de base-ball les Chicago Cubs étaient dans l'assistance. Par la suite, Zerilla m'a offert un emploi à la Commission du base-ball pour analyser l'écriture de leurs joueurs de base-ball susceptibles d'être « des millions de dollars en herbe » avant de les engager. Thornburgh a expliqué que cet emploi ne pouvait pas être compatible avec mon planning. Néanmoins, nous nous sommes rencontrés à plusieurs reprises au cours de la croisière, toujours pour des rapports sexuels, mais nous avons aussi discuté affaires.


Cathy O'Briand

Mon esprit programmé contenait un « ordinateur pour le base-ball » qui avait été créé pour Reagan, et qui était utilisé par beaucoup de gens dont Thornburgh, Lasorda, Danté, et Zerilla. Il était bourré de statistiques du genre de celles auxquelles ils s'intéressaient: les codes, les clés, les déclics et les gestes de certains joueurs de base-ball qui étaient sous contrôle de l'esprit. Zerilla et Thornburgh étaient en croisière, en route pour la République


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Dominicaine, vers la ferme du contrôle de l'esprit pour le base-ball de la CIA, afin de sélectionner de nouveaux esclaves. Ils parlaient sur un ton animé à propos de la perspective de gagner d'importantes sommes d'argent en misant sur des jeux truqués. J'étais au courant depuis des années que beaucoup de joueurs professionnels, notamment les Dodgers de Lasorda, étaient sous contrôle de l'esprit et que des mécanismes étaient déclenchés pour les amener à gagner ou à perdre selon les paris et les préférences de leur propriétaire. Les Dodgers, l'équipe de base-ball qui était le « le passe-temps américain favori » de Reagan ont gagné continuellement, y compris les séries mondiales au cours de son gouvernement. La Mafia était impliquée dans le truquage des paris, et des informations étaient passées à certains d'entre eux grâce à Thornburgh et aux autres, telles qu'elles avaient été glanées à partir de la programmation de mon « ordinateur pour le base-ball ». 4

À ce jour, je ne sais pas avec certitude qui a été l'instigateur de la chirurgie esthétique à laquelle j'ai été soumise de force, mais peu après avoir rencontré Reagan et Danté, on a prévu pour moi des implants mammaires. On l'avait peut-être fait pour la pornographie. C'était peut-être la préférence de Reagan. J'ai tendance à croire que c'était une combinaison des deux et qu'on l'avait ordonné du moment que mes seins ne donnaient plus de lait. Dans le premier film porno commercial que Reagan avait ordonné à Danté de produire à St Thomas, aux îles Vierges américaines, mes seins étaient encore sensibles et gonflés à cause de l'insertion des implants de silicone.

Mon apparence n'a pas été la seule « amélioration » que j'ai subie après avoir rencontré Reagan. Aquino et moi, nous avons été appelés à Washington pour revoir la programmation de ma mémoire centrale de base afin d'annuler le contrôle du sénateur Byrd pour des raisons de sécurité. Depuis que Reagan avait reçu une balle, il prenait des précautions supplémentaires pour assurer sa sécurité, ce qui incluait d'indiquer à Aquino la manière dont il voulait que je sois programmée. À la grande consternation d'Aquino et à son grand embarras, Reagan admirait le rôle occulte que ce lieutenant-colonel de l'armée de terre jouait dans l'utilisation des traumatismes pour le contrôle de l'esprit, car il concordait avec la promotion publique de la religion que Reagan avait lancée. Reagan déclarait qu'il croyait que les masses étaient plus faciles à manipuler en se servant de leur religion, comme c'était le cas des esclaves sous contrôle de l'esprit comme moi.

Alors que Reagan recevait Aquino à Washington, il lui a demandé de porter ses vêtements rituels noirs lors d'une réception de la Maison Blanche pour renforcer les superstitions déterminantes de quelques diplomates d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Aquino avait l'air ridicule aux yeux de ses pairs. Ils savaient que le rôle joué par Aquino était seulement un masque pour la guerre psychologique, mais le fait de se présenter déguisé à la Maison Blanche leur a donné l'impression qu'Aquino croyait en sa propre façade. Aquino a rendu à Reagan la monnaie de sa pièce. Quelques minutes avant que je sois prostituée à Reagan ce soir-là, Aquino m'a ordonné de rentrer dans une pièce voisine fermée où il a très rapidement eu des rapports sexuels avec moi. Quand il a eu fini d'éjaculer, il m'a donné une tape sur le derrière et il m'a dit d'une manière irrespectueuse, « Rapporte ça au Patron. »

Auparavant, ce jour-là, Reagan avait donné des instructions à Aquino sur la manière de me programmer conformément à la programmation « circulaire » décrite dans les vidéos qui disent « Comment faire ». « Programme-la », avait dit Reagan, en parlant de moi comme si j'étais un objet, « selon le numéro un. J'aime le numéro un. C'est le premier, c'est le meilleur, et il facilite la confiance - comme quand on dit: "j'ai gagné". » J'ai observé Aquino lui lancer le regard intellectuellement écœuré qu'il réservait à quiconque avait le courage de lui faire une suggestion, mais il a modéré sa réaction en accordant de la considération à sa demande. Du moment que les vidéos qui disent « Comment faire » présentaient la sixième révolution pour « allumer les feux de l'enfer » en matière de sexe, personne ne soupçonnerait que ma programmation sexuelle avait été faite selon la première révolution. Cela demanderait quelques modifications de ma programmation initiale, mais Aquino était emballé par l'idée. En me programmant selon les instructions de Reagan, Aquino serait à même de procurer à Reagan une protection supplémentaire grâce à laquelle tout programme dans lequel je pourrais être engluée serait immédiatement remplacé par le numéro un de Reagan aussi vite que je le verrais. Cette mesure de sécurité efficace a mis Byrd en fureur la première fois qu'il m'a vue échapper instantanément à son contrôle en présence de Reagan.

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En outre, Reagan examinait comment Aquino pourrait se servir de moi dans diverses installations de l'armée et du gouvernement pour fournir des « Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit » sur les « derniers progrès en matière d'entraînement » en montrant la diversité de ma programmation en tant que « Mannequin présidentiel ». Reagan disait que les Démonstrations interactives pourraient « sensibiliser nos jeunes militaires aux prodiges du phénomène de contrôle de l'esprit. » Par « interactives », on voulait dire que ma programmation sexuelle serait utilisée pour « éveiller leur intérêt et les y verrouiller (lier). » Après tout, « divertir les troupes est une vieille tradition américaine. » Aquino a fait la programmation, et Reagan a commencé à prendre des dispositions pour les démonstrations - ce qui m'a ramenée dans les parages de Dick Cheney. Cheney agirait sur moi en qualité de « chef » pour les Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit et les autres opérations secrètes à partir de ce moment.

1 Comme je n'avais aucune notion du temps lorsque j'étais soumise au contrôle de l'esprit, les années 1980 m'ont paru comme une longue journée et pour cette raison, discerner les dates exactes m'est extrêmement difficile. De plus, j'ai été programmée pour croire que chaque rencontre avec certaines personnes était « la première fois ». J'ai cependant la certitude d'avoir été conditionnée et programmée en prévision de mon utilisation par Reagan depuis 1978 au centre de la NASA de Cap Canaveral, à Titusville, en Floride.

2 Reagan préférait les vidéos de pornographie illicite comme la zoophilie, quoique son magazine pornographique favori ait été celui de Larry Flynt, Hustler.

3 Bien que Danté, à Hollywood rivalisait avec Larry Flynt pour le titre de « Pornographe en chef » en produisant des versions vidéo des photos de Hustler, Flynt était sans équivoque le Pornographe officiel de la Maison Blanche. Le tournage clandestin de perversions sexuelles politiques par Danté pour des objectifs de chantage n'a pas réussi à lui obtenir la notoriété internationale que Flynt entretenait grâce à ses collègues du nouvel Ordre mondial tels que les Présidents Reagan, Bush, et Ford, le Directeur de la CIA, Bill Casey, l'Ambassadeur auprès des Nations Unies, Madeleine Albright, les Sénateurs Byrd et Spector, les membres du Congrès Trafficant et Vander Jagt, les Gouverneurs Thornburgh, Blanchard, et Alexander et plusieurs dirigeants mondiaux tels que le Premier Ministre du Canada, Mulroney, le Président du Mexique, De la Madrid et le Roi Fahd d'Arabie saoudite... pour en citer quelques-uns.


Dick Thornburgh, ancien gouverneur de Pennsylvania et Procureur général des États-Unis d'Amériqu, est membre du conseil d'administration d'Elan Corporation, plc, une société pharmaceutique dont le siège social à Dublin



4 De n'avoir plus été dans le circuit depuis ma délivrance ne m'a pas empêché de « prédire » les vainqueurs selon les préférences politiques: depuis la victoire de l'équipe des Texas Rangers de George Bush Junior jusqu'à celle des Toronto Blue Jays pendant l'agitation politique au Canada au sujet de l'ALENA. [Ndt: Accord de libre-échange nord-américain]

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CHAPITRE 10

LE « CHEF » DICK CHENEY ET LES « DÉMONSTRATIONS INTERACTIVES DE CONTRÔLE DE L'ESPRIT » DE REAGAN

Veuillez noter ceci: Afin de préserver l'intégrité de mes expériences telles qu'elles sont documentées en utilisant des détails précis et photographiques, j'ai rapporté les événements et les citations tels qu'ils se sont produits en réalité. Je vous prie d'excuser tout langage choquant ou grossier, mais c'est de cette manière que Cheney s'est lui-même présenté.


J'assistais à un autre cocktail à la Maison Blanche où, comme d'habitude, on m'avait prise à l'écart pour une réunion et on m'avait escortée vers un grand bureau. Là, Reagan et Cheney prenaient leurs cognacs « d'avant cocktail », et les joues de Reagan étaient déjà rougies. Il était pressé et il m'a rapidement expliqué le but de la réunion.

« Tu es le genre de fille qui pourrait maintenir un homme sur les rangs. (Il faisait allusion à mots couverts au rang de personnel militaire avec qui on m'avait forcée à avoir des rapports sexuels.) C'est pourquoi je t'ai choisie pour visiter quelques bases de l'armée de l'air avec le colonel (Aquino) et pour démontrer à nos jeunes qui sont au service du pays ce à quoi est entraîné un Mannequin présidentiel, une sorte de démonstration "interactive". Mais tu devras passer une audition pour le rôle. » Reagan a vidé son verre et a désigné Cheney d'un geste alors qu'il marchait à grands pas vers la porte, en ajoutant, « Fais ce qu'il te dit. Il est ton chef. »

Cela faisait huit ans que j'avais été chassée comme du gibier et brutalisée par Cheney dans le Wyoming, et apparemment il voulait voir comment ma programmation avait progressé avant de consentir à m'utiliser dans les « Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit » de Reagan. Il m'a saisi brutalement par les cheveux et m'a jetée sur un fauteuil de cuir noir, en me rabattant la tête en arrière sur le haut accoudoir clouté. « Auditionne ici », grogna-t-il. Depuis la dernière fois que je l'avais vu, j'avais subi la programmation de l'homme en fer-blanc du Magicien d'Oz, à laquelle il a accédé pour satisfaire son gros pénis épais. Il a mis ses mains sur ma mâchoire tandis qu'il disait, « Bientôt tu vas nous ronronner comme une machine bien huilée. Toutes tes parties mobiles pivotent et glissent sur leur embase. Fond dans mes mains. Je vais te tenir la mâchoire pour l'empêcher de glisser tandis que tu t'échappes par une fenêtre dans le temps. » Il m'a ensuite secoué la mâchoire jusqu'àla déboîter, et a brutalement assouvi ses instincts dans ma gorge. 1

Tandis qu'il allumait sa cigarette, j'ai lentement repris suffisamment mes esprits pour réaliser que je souffrais. L'arrière de ma tête me faisait mal pour avoir été fortement poussé contre les grosses têtes de clou du fauteuil, et j'ai lentement relevé la tête. Mon propriétaire, le sénateur Byrd, venait juste d'entrer et il s'est rendu compte que Cheney avait déjà terminé « l'audition ». En faisant allusion à l'action de compartimenter ma mémoire grâce à la haute tension d'un pistolet assommant, Byrd lui a demandé, « Est-ce que tu l'as fait frire? »

Cheney, trop sur de lui comme toujours, a répondu, « Elle ne peut pas avoir baisé tout Washington. » (indiquant ainsi que de toute façon personne ne me croirait, même si j'en arrivais à ce point et que je parle.) Cheney a éteint sa cigarette et a dit en sortant par la porte, « Ça marchera avec elle. Dis à Ronnie que ça marchera. »



CES MALADES MENTAUX ET SADIQUES QUI NOUS GOUVERNENT

Quand Byrd a vu que mes lèvres saignaient, il a traité Cheney de « fils de pute » à voix basse, étant donné que ces lésions pourraient m'empêcher d'accomplir d'autres missions qui étaient prévues pour moi. Byrd a touché mes lèvres tuméfiées avec le doigt et il en a goûté le sang (ainsi que Cheney) plusieurs fois.

Ensuite il m'a donné une grande claque en travers du visage, ce qui a réaligné ma mâchoire mais m'a fait couler plus de sang sur le menton. Il a pris une boîte de mouchoirs en papier sur le bureau et me l'a jetée dessus, le coin

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me heurtant le front. « Essuie-toi. Tu viens juste de commencer. Je veillerai à ce que tu aies ce que tu mérites. »

Heureusement pour moi, Byrd avait des motifs pour revenir au cocktail officiel et n'avait pas le temps de me brutaliser davantage. Mon visage était meurtri, ma bouche déchirée, et je sentais que ma gorge était déchirée et élargie. J'ai eu des difficultés pour avaler pendant quelque temps, et je ne pouvais plus parler. Je n'étais certainement pas en état de retourner au cocktail, et les agents de sécurité m'ont escortée dehors.

Avant que je puisse quitter Washington, Byrd a mis sa menace àexécution et il m'a organisé une rencontre avec Cheney dans une chambre bleue située dans une partie de la Maison Blanche si reculée que « personne ne pourrait entendre mes hurlements et mes gémissements. » Mais de toute façon Cheney avait mis en œuvre le thème de type Oz « Silence » qui me conditionnait tandis qu'il se mettait à m'agresser sexuellement d'une manière brutale.

Dick Cheney, Secrétaire de la Défense pour Bush-père et maintenant Vice Président pour son fils

« Byrd m'a dit que tu as besoin d'une bonne correction. Mais je ne suis pas certain de l'instrument que tu préfère, aussi je les ai tous apportés. »

Cheney avait disposé sur le lit une cravache, un fouet, et un chat-à-neuf-queues. Dick Cheney m'a battue avec force et rapiditée, comme s'il se libérait de ses tensions plutôt que de savourer ma douleur comme Byrd le faisait. J'ai repris connaissance alors que Cheney glissait un oreiller sous mon cou, me déplaçait en me tirant par les cheveux, et me penchait la tête en arrière. Mon instinct de survie s'est manifesté quand il s'est placé au-dessus de ma tête. J'espérais le satisfaire avant qu'il ne redevienne mortellement brutal. Mais il a rapidement sorti son pistolet à cocaïne liquide, m'a aspergé la gorge, puis s'est mis à devenir violent. À un certain moment il m'a tiré la tête de côté et m'a demandé, « Était-ce une dent? » et il a grimacé en montrant les dents. Il était impératif que je ne le touche pas avec mes dents parce que, selon les instructions de la programmation d'Aquino, je serais passible de mort si l'une de mes dents était jamais sentie par quelqu'un. Cheney savait que cela faisait partie de ma programmation et il s'en servait souvent pour me manipuler. J'ai recommencé à « assouvir ses pulsions comme si ma vie en dépendait, parce que, bien entendu, c'était le cas. » C'est une autre ligne de programme d'Aquino que Cheney connaissait et utilisait.

Lorsqu'il a eu assouvi ses besoins, il s'est effondré et s'est endormi. On m'avait donné pour instructions de partir immédiatement parce que Cheney ne voulait absolument pas m'avoir près de lui quand il dormait (certaines personnes bien informées disent qu'il est paranoïaque), et j'ai commencé à m'habiller. On m'a escortée dehors.

En prévision des « principes de fonctionnement » des Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit de Reagan, j'ai subi un grand nombre de programmations de la part d'Aquino aussi bien que de celle de Cheney. Cheney élaborait les procédures tandis qu'Aquino s'acquittait des détails de la programmation et exécutait la démonstration avec moi dans diverses installations de l'armée et de la NASA.

Reagan voulait que les démonstrations comprennent toutes les programmations décrites dans les films qui expliquent « Comment faire », les programmations supplémentaires inculquées depuis que les vidéos avaient été faites, l'administration de drogues quand c'était approprié, et les rapports sexuels selon les instructions d'Aquino avec qui que ce soit, quel que soit le nombre de ceux qui assistaient àla conférence.

La « note » personnelle de Cheney concernant ces démonstrations était de m'avoir programmée pour me donner à moi-même des secousses électriques à l'intérieur du vagin avec un aiguillon cylindrique à haute tension pour le bétail - certainement l'exemple d'un contrôle absolu de l'esprit.

J'étais couramment escortée bras dessus bras dessous « dans le style d'Oz » par deux agents jusqu'au bureau du rez-de-chaussée de Cheney au Pentagone. Quelquefois Byrd m'y accompagnait. D'autres fois Cheney me faisait traverser le bâtiment, en particulier si nous allions à ses quartiers personnels dans les « Bâtiments-dortoirs ». Le bureau de Cheney était doté d'un mobilier en cuir noir, d'un énorme bureau marron en désordre, de massives étagères de livres, et d'un sablier qu'il utilisait toujours conformément à la programmation de type Oz, pour me rappeler que ma vie était en jeu sous ses ordres. En tant que SPM programmée, [Ndt: SPM (syndrome des personnalités multiples): personne qui souffre de ces troubles.] je n'avais aucune

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notion du temps. Le sablier était pour moi un moyen visible de voir « mon temps s'épuiser » et d'en comprendre vraiment le concept.

La première fois que je m'y suis présentée, Cheney a fouillé dans le désordre sur son bureau, a pris un papier et a commencé à lire:

« Numéro un. Je ne suis PAS ton ami, et je ne veux pas te voir à moins que je ne te donne l'ordre de te présenter ici. Numéro deux. Exécute les ordres du Colonel (Aquino), car c'est la voie hiérarchique. Ce qu'il t'ordonne de faire, c'est un ordre qui vient de moi. Suis-le à la lettre, comme si ta vie en dépendait, parce que, (il a levé les yeux et il a grimacé malicieusement en montrant les dents) bien entendu, c'est le cas. » Ses yeux froids se sont vissés dans les miens alors qu'il se promenait vers le devant de son bureau. « Des questions? »

Je savais qu'il « n'était PAS mon ami », mais il m'avait déjà « vue » d'un point de vue sexuel à d'autres occasions. J'étais perplexe et j'hésitais. Bien que je gardais le silence, Cheney a senti mon hésitation et il est devenu furieux.

Dick Cheney s'est levé face à moi, m'a tapoté le sternum avec son doigt et a hurlé, « Ne PENSE même pas à remettre en question ce que je te dis! Il n'y a pas de questions quant à ce que je fais, ce que je pense, ou ce que je dis, parce que je suis absolument au-dessus des questions - surtout les TIENNES! Tes ordres sont clairs. Alors sors d'ici! J'ai du travail! »



Au cours des trois années suivantes, le lieutenant-colonel Aquino de l'Armée des États-Unis m'a utilisée pour les Démonstrations interactives dans de nombreuses installations de l'Armée de Terre, de la Marine, de l'Armée de l'Air, et de la NASA à travers les États-Unis selon le plan de Reagan et les ordres de Cheney. Le nombre des gros bonnets qui étaient admis dans le secret des démonstrations variait entre trois à la fois et une vingtaine. En fin de séance, Aquino les « persuadait » toujours de se mettre en rang tandis que j'étais forcée à pratiquer des actes sexuels sur ordre avec chacun d'eux. Les groupes les plus importants étaient physiquement pénibles, tandis que les groupes les plus petits exigeaient souvent une modification non-réglementaire de la prestation, telle que la révélation des perversions ayant trait à la zoophilie de Reagan. La vaste batterie de « commutations » de mes personnalités qu'Aquino incorporait dans les démonstrations, et l'énorme quantité de décharges de haute tension et de tortures que l'on me faisait subir, me laissaient épuisée et physiquement ravagée pendant plusieurs jours après chacune des Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit de Reagan.

1 Ma mâchoire est définitivement endommagée à cause de Cheney. J'ai un trouble temporo-mandibulaire chronique.

Michael Aquino, était un pédophile. Il a fondé le Temple de Set. Et il était un ami proche d'Anton LaVey. Les deux d'entre eux ont été très actifs dans l'abus sexuel rituel. Et ils ont reporté le financement de ce programme du gouvernement à utiliser [dans] l'expérimentation sur les enfants. "Où ils ont délibérément séparé la personnalité de ces enfants dans des multiples, de sorte que quand ils sont interrogés sous serment ou mis ou remis en question sous détecteur de mensonge, que si l'opérateur sait à la question à choix multiple, le trouble de la personnalité, ils se tournent pas avec éléments de preuve. " Ils ont utilisé des enfants sexuellement compromis pour des fins politiques ou pour toutes autres personnes qu'ils veulent avoir le contrôle. Michael Aquino a été d'Offutt Air Force Base [a Strategic Air Command de base, près d'Omaha, qui a été liée à des activités du roi]. Aquino a également été un des principaux suspects dans une série de scandales de pédophilie impliquant l'exploitation sexuelle des centaines d'enfants, y compris les enfants du personnel militaire en poste à la station de l'US Army Presidio de San Francisco Bay Area. Selon un article du 30 Octobre, 1987 San Francisco Examiner, l'une des victimes avait identifié Aquino et son épouse en tant que participants au viol d'enfants. Selon la victime, Aquinos avait filmé des scènes de l'enfant où il est caressé par Hambright dans une baignoire. L'enfant, la description de la maison, qui était également le siège de Aquino du Temple de Set sataniques, ont été si détaillés, que les policiers ont pu obtenir un mandat de perquisition. Durant le raid, ils ont confisqué 38 cassettes vidéo, photo négatifs, et d'autres éléments de preuve que la maison avait été la plaque tournante d'un pédophile anneau, dans et autour des bases militaires américaines.


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CHAPITRE 11

« PAPA » PHILIP HABIB

L'agent secret (de la CIA) qui était mon contact, Alex Houston devait donner une représentation avec la chanteuse de musique country Loretta Lynn au Playboy Club d'Atlantic City, au New Jersey, au printemps de l'année 1985, et il faut admettre qu'il ne voulait pas que je sois là pendant la représentation. Il m'a expliqué qu'après son spectacle, il avait l'intention de « se déguiser en carotte pour servir de repas aux hôtesses du club (déguisées en lapin) » et que je ne ferais que le gêner. Mais je devais y aller pour travailler pour la Maison Blanche avec une autre sorte de « lapin ».

Reagan s'était arrangé pour que je rencontre son attaché personnel, Philip Habib (aujourd'hui décédé), qui jouait toujours le rôle codé du Lapin blanc d'Alice au Pays des Merveilles pour les esclaves soumises au contrôle de l'esprit. Houston n'avait plus d'autre choix que de me prendre avec lui une fois les ordres arrivés.

L'agent secret de la CIA Ken Riley, le néonazi pédophile qui faisait fonction d'organisateur de tournées et de manipulateur pour le contrôle de l'esprit du Projet Monarch pour Loretta Lynn, était l'ami le plus intime d'Alex Houston. Riley prenait souvent des dispositions par l'intermédiaire de l'agent artistique commun de Loretta et de Houston pour nous faire voyager tous ensemble - en particulier lorsque cela concernait des opérations secrètes du gouvernement comme ce concert pour le Playboy Club. La carrière de chanteuse de Loretta et ses liaisons politiques avec les opérations secrètes de la CIA ont toujours été synonymes. Riley l'a escortée de nombreuses fois pour la faire rentrer ou sortir de la Maison Blanche pendant le gouvernement Reagan. En dégénérant naturellement, cela a conduit Riley à jouer le rôle de mon manipulateur « de rechange » puisqu'il revenait souvent de Washington avec des ordres qu'il devait me donner ou qui me concernaient. Houston et Riley partageaient beaucoup de choses : les opérations secrètes de la CIA, les intérêts dans la musique country, le contrôle de l'esprit par les néonazis et par le gouvernement américain, les méthodologies du Projet Monarch, la pornographie de domination d'esclaves, 1 la cocaïne et les activités pédophiles. Kelly et la jeune fille de Riley étaient souvent filmées ensemble dans des positions pornographiques et elles ont subi les violences sexuelles de Houston et de Riley 2 en même temps à de nombreuses reprises.

Cette excursion à Atlantic City m'a fourni une occasion de parler avec Loretta pendant que son mari, Mooney, Riley et Houston se retrouvaient pour leurs affaires. Loretta et moi, nous avions tellement de choses en commun que les moments que nous passions ensemble avaient été restreints depuis la fois où nous nous étions rencontrées à Minneapolis, au Minnesota en 1981 et que nous avions discuté des brimades que nous subissions. 3 Pendant que nous étions seules dans la loge de Loretta au Playboy Club, nous avons discuté sur une grande diversité de sujets, depuis la maternité jusqu'à la Maison Blanche. Nous avons parlé de Reagan par rapport à son rôle de Magicien d'Oz, mais la plupart du temps nous récitions les éloges habituels que nous étions entraînées à dire. Nous avons parlé de la musique « préférée » de Reagan, écrite par Air Supply et qu'il nous avait procurée à toutes les deux par l'intermédiaire de Riley. Les enregistrements d'Air Supply sur les thèmes codés de la NASA et du Projet Monarch étaient devenus comme un « souffle vital » pour nous deux conformément à l'intention de Reagan, ce qui avait verrouillé notre dévouement programmé envers lui. Nous avons discuté de la récente réception d'Inauguration à laquelle Loretta avait assisté à la Maison Blanche. (J'étais au courant qu'elle y avait donné un divertissement car Houston avait transmis à Riley des informations relatives à son récent voyage au Panama pour rencontrer le dictateur panaméen et agent secret de la CIA Manuel Noriega afin que Riley remette ces informations à Reagan au cours de la réception d'Inauguration.)

Loretta et moi, nous faisions spontanément des commutations de personnalités car nous les déclenchions mutuellement par inadvertance en utilisant le langage codé commun auquel nous étions habituées. Nous avons discuté de sujets interdits y compris de Noriega et de Byrd jusqu'à ce que

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Riley et Houston nous aient attrapées et nous aient séparées comme si nous étions une paire de sales gosses. J'en ai appris plus que je n'étais censée en savoir sur Loretta alors que nous étions à Atlantic City, mais on ne m'a jamais laissé une autre chance de lui parler aussi librement.

Cette excursion à Atlantic City était à usage multiple, ce qui n'était pas rare pour les opérations du gouvernement auxquelles j'étais forcée de participer. Je devais assister à l'aéroport à une importante transaction de cocaïne impliquant Noriega, remettre un message à Philip Habib relatif aux Contras, ainsi qu'un autre, programmé en moi par Habib en réponse à Reagan; j'avais aussi les aspects « divertissement » de la musique country et je devais me prostituer à Habib selon les instructions de Reagan. 4

Alors que le soleil se couchait sur Atlantic City, Houston a activé la programmation de type Oz du Projet Monarch qui était utilisée pour les opérations secrètes de haut niveau, et il m'a fait habiller en conséquence. Je portais de vrais et de faux diamants pour indiquer mon rôle professionnel de « Mannequin présidentiel », des rubis pour indiquer ma personnalité dédiée à la prostitution programmée selon le type Oz et des émeraudes pour indiquer mes affaires de drogue programmées selon le type Oz. Cela donnait à mon ou à mes contacts les indices matériels qui leur permettaient de savoir sous quel mode de fonctionnement je me trouvais à ce moment-là. J'ai rarement porté les trois indices en même temps, mais ils étaient certainement de mise dans cette opération avec Habib. Houston m'a mené le long du front de mer sur la passerelle de planches vers le casino de l'hôtel où je devais rencontrer Habib, en marchant comme l'épouvantail d'Oz et en chantant, « Suis la Route pavée de Briques jaunes. »

Houston m'a fait monter par les escaliers mécaniques complexes de l'hôtel vers les salles réservées à ceux qui jouent gros jeu, où Habib était en train de jouer aux cartes. Le garde, à la porte, n'a pas laissé passer Houston, et on m'a envoyée toute seule à la table d'Habib. Lorsque je me suis approchée, Habib s'est appuyé contre le dossier de sa chaise pour m'écouter pendant que je récitais en langage codé d'Oz, « Je suis vraiment venue de si loin pour vous voir. Oncle Ronnie vous a envoyé quelque chose. »

« Qu'est-ce que ça peut bien être? » a-t-il demandé d'une voix forte tandis qu'il me lorgnait et qu'il gloussait. Je ne pouvais pas répondre car j'étais soumise àun programme contraignant. Il m'a donné la clé de sa chambre et m'a attiré près de lui tandis qu'il me chuchotait d'une manière hypnotique, « Prends la clé. Mets-la dans la serrure. Fais-la tourner. Ouvre la porte, et passe à travers une fenêtre dans le temps. » Les autres joueurs, à la table d'Habib, s'impatientaient, et je suis vite sortie de la salle de jeu.

Lorsque je suis arrivée dans la chambre d'Habib, deux de ses gardes du corps ont accédé à ma programmation. « En parlant à la manière du Patron », je me suis mise à réciter le message de Reagan. Des dispositions avaient été prises pour que les deux gardes récupèrent le lendemain matin une assez importante cargaison de cocaïne qui devait arriver dans un petit avion militaire « en cuivre ». Houston et moi-même, nous monterions alors à bord de l'avion et nous volerions vers le District fédéral de Columbia où j'achèverais ma part de cette opération.

Quand Habib est arrivé, il m'a fait entrer dans la chambre de la suite et a commencé à se déshabiller, ne gardant que son caleçon, ses chaussettes et ses fixe-chaussettes. En faisant allusion à un film porno récent de Danté dans lequel j'avais tourné, il a dit, « J'ai aimé ta culotte de tennis froissée... » Il m'a ensuite lancé un ours en peluche rose et une culotte froissée qui ressemblait à celle de la tenue de tennis en m'ordonnant, « Mets-la. » J'ai obéi. Il m'a lancé un chat en peluche pour enfant sur les oreillers et m'a expliqué, « Ce petit chat va empêcher ce Chaton (en me pointant du doigt) de hurler. Nous allons jouer à Tweedle Dee et Tweedle Dum. » (Jeux sado-maso.) Habib ressemblait physiquement aux personnages violents d'Alice au Pays des Merveilles, surtout avec son caleçon. Le fou rire contrôlé qui est monté dans ma gorge aurait seulement intensifié ses sévices s'il n'avait (heureusement) été refoulé par la terreur tandis qu'il commençait d'attacher des liens en grosse corde aux quatre colonnes du lit. Sur son ordre, j'ai rampé sur le lit et je me suis allongée sur le ventre tandis qu'il me ligotait si serré que j'en étais étirée. Il a poussé le chat en peluche sous ma

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bouche, puis il est entré en moi brutalement par derrière et a dit, « Viens vers Papa. » La douleur intense que j'ai ressentie alors que Philip Habib me sodomisait brutalement était surpassée par un pistolet assommant à haute tension avec lequel il m'a donné des secousses à maintes reprises pour créer les mouvements saccadés pervers et les contractions des muscles du rectum qu'il désirait.

Je me suis assez vite évanouie à cause de l'effroyable haute tension de son pistolet assommant. Il était presque trois heures du matin lorsque je suis sortie en trébuchant par la porte avec le chat en peluche à la main, avec la nausée, désorientée, et en souffrant à l'extrême. La fraîche brise de l'océan m'a aidée à me ranimer tandis que Houston me ramenait au Playboy Club.

Houston savait que j'avais été programmée avec un message pour Reagan que je devrais remettre le lendemain matin à Washington. Comme d'habitude, il s'est tout de suite mis à y accéder. Son minutage rapide lui permettait tant bien que mal de percer les codes programmés ou non par chocs électriques (conçus pour s'assurer que l'information reste refoulée) et d'accéder à l'information. Houston gardait une trace écrite de tous les messages auxquels il était capable d'accéder (avec aussi des photos et des pièces comptables) pour en tirer profit personnellement et dans une intention de chantage ultérieur, au cas où il aurait besoin de se protéger. Dans ce cas précis, je soupçonne que, vu les activités de Houston au Panama, vu les conversations que j'ai surprises entre lui et Riley, et vu ce dont je me souviens des messages auxquels il accédait, son but dans l'extraction de ces informations résidait dans ses bénéfices personnels dans des transactions peu respectables avec Noriega. J'ai compris plus tard que c'était ce genre de transactions qui avaient fini par contribuer à la chute de Noriega provoquée par la CIA.

Le matin est arrivé avant qu'on ne me permette de dormir, et je me sentais épuisée et « en train de planer » tandis que j'attendais sur le bord du trottoir que les gardes du corps d'Habib viennent nous chercher, Houston et moi, pour nous prendre à l'aéroport. Un petit avion militaire était garé dans une zone interdite clôturée au moment où nous sommes arrivés à l'aéroport. Les deux gardes du corps ont mené leurs affaires et ont rapidement chargé dans le coffre les ballots de cocaïne comme prévu. Houston et moi, nous sommes montés à bord de l'avion et nous avons volé vers Washington, où j'ai remis à Reagan le message d'Habib. Les numéros de transaction bancaires se sont avérés plus tard être un numéro de compte aux îles Caïmans.

Philip Habib était directement impliqué dans diverses Opérations de la DIA et de la CIA auxquelles j'ai été forcée de participer durant les gouvernements de Reagan et de Bush. Bien que Dick Cheney conservasse son rôle en étant mon chef pour ces Opérations, Habib dirigeait mes actes en ce qui concernait les « Relations diplomatiques » internationales. Cheney orchestrait les événements depuis son bureau, alors qu'Habib agissait sur le terrain en tant qu'attaché de Reagan.

Les Opérations suivantes, intégralement consignées du point de vue de ma seule expérience, impliquent très probablement d'autres aspects dont je ne suis pas au courant. À la manière typique de la DIA ou de la CIA, des informations limitées à « ce que vous avez besoin de savoir » engendraient des situations du type « la main gauche ne sait pas ce que fait la main droite. » Néanmoins, les objectifs criminels globaux de l'Opération Pigeon voyageur et de l'Opération Le Jeu du Coquillage, documentés ici-même, n'en sont pas modifiés.

1 Riley possédait plusieurs esclaves supplémentaires.

2 Riley, tout comme son père, Wayne Cox, ainsi que plusieurs autres, reste apparemment à l'abri de poursuites judiciaires pour ses crimes contre l'humanité et contre les enfants, puisque c'est considéré comme une question de « Sécurité nationale » d'après l'Amendement Reagan de 1984 à la Loi de Sécurité nationale.

3 J'ai encore la note manuscrite de Loretta qui a provoqué notre conversation interdite, et j'espère qu'un jour Loretta obtiendra sa part de vérité et la tranquillité d'esprit qui accompagnent la réhabilitation.

4 Au cours de la déprogrammation, j'ai pu retrouver cette information bien plus vite que ce n'aurait été le cas si Houston n'y avait pas accédé auparavant, à l'encontre de la politique du gouvernement, et dans son propre intérêt personnel.

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CHAPITRE 12

OPERATION PIGEON VOYAGEUR

...

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...

La réputation du Prince Bandar Ben Sultan pour le sexe et les drogues était très connue à Nashville. Mais je tiens une bonne partie de mes informations se rapportant à ses activités de l'une de mes plus proches amies du Projet Monarch. C'est la fille d'un artiste et on la prostituait régulièrement à Sultan quand il était en ville, ce qui arrivait souvent.

Quand Cheney en a eu fini avec moi, Byrd m'a escortée à la Maison Blanche pour voir Reagan, qui m'a aussi mise en garde au sujet du Prince. Reagan était conscient du fait qu'Habib m'avait activée sexuellement avec le Roi Fahd, et il nous a bien fait comprendre que mon rendez-vous programmé avec le Prince Bandar ne devait pas inclure le rapport sexuel habituel.

Reagan plaisantait en présence de Byrd, « Les oiseaux [Ndt: jeu de mots entre bird, oiseau en anglais et le nom de Byrd] peuvent bien être mangés par un Chaton, mais pas les Pigeons voyageurs. Les Pigeons voyageurs ont un goût infect. » Byrd s'est mis à rire. Reagan a continué, « Les Pigeons voyageurs ont un seul but. Transmettre des messages. Tout au long de l'histoire, les dirigeants mondiaux se sont transmis des messages entre eux au moyen de pigeons. Des messages qui ont décidé du cours des événements qui ont changé le cours de l'histoire. Les Pigeons voyageurs sont fidèles et dévoués à leur tâche, ils volent au-delà des mers, et cependant ils ne s'arrêtent jamais assez longtemps pour ne serait-ce qu'étancher leur soif - n'accordant aucune considération à leurs propres besoins. Quand un pigeon est lâché, il prend la route directe vers sa destination. Dévoué pour remettre les messages précis sur lesquels l'histoire a été fondée. C'est pourquoi, même Noé comptait sur un pigeon pour traverser les mers et ramener un message d'espoir. Il est de votre devoir d'attacher un message supplémentaire au Pigeon voyageur - un message de paix, de notre patrie à la sienne: Celui du Président des États-Unis au Roi Fahd d'Arabie saoudite... (Omis en raison de ramifications internationales.) »

Byrd était visiblement inspiré par le discours. J'ai été littéralement sauvée par le gong d'une autre récitation ennuyeuse et interminable que Reagan venait juste d'inspirer à Byrd lorsque Cheney m'a téléphoné pour que je repasse à son bureau. C'était encore le matin et Cheney s'était montré très occupé, pressé et irritable lorsque je l'avais vu juste un peu plus tôt. J'avais le cœur gros en prévoyant que je devais m'attendre à la brutalité physique et sexuelle que la mauvaise humeur de Cheney incitait normalement. J'étais tout de même soulagée d'échapper à la torture du concours de « peinture de tableaux » dans lequel Byrd et Reagan allaient s'embarquer comme l'expérience me l'avait appris. J'ai été soulagée quand mon escorte m'a laissée au bureau de Cheney lorsque j'ai remarqué que son humeur massacrante avait considérablement changé.

« Je crois comprendre que vous m'avez donné l'ordre de me présenter ici, Monsieur. » Cheney a levé les yeux de son bureau où il fouillait dans les papiers et réglait les derniers détails avant de quitter son bureau.

« Assieds-toi », ordonna-t-il. « On vient juste de me dire que la phase Génie-dans-la-Bouteille de l'Opération "Faire-naufrage" est terminée et j'ai l'intention de faire sauter un ou deux bouchons de ma réserve pour célébrer son heureuse conclusion. J'ai du temps libre et je veux que tu te joignes à moi. On est en train de préparer les bâtiments-dortoirs... » Cheney, qui pensait apparemment à quelque chose, est allé à la porte et a dit au type qui m'avait escortée, « Assure-toi qu'il y a des Gaufrettes du Pays des Merveilles dans les bâtiments-dortoirs. » Il s'est dirigé vers son bureau, a décroché le téléphone et a dit, « moi, je me tire » dans le micro et il a brutalement raccroché. Je suis sortie par la porte à la suite de Cheney, nous avons tourné à droite plutôt qu'à gauche en sortant de son bureau et nous avons marché vers ses quartiers personnels désignés sous le nom de bâtiments-dortoirs. C'était décoré dans le style western de Cheney en bruns et en marrons clairs, avec du mobilier en cuir. Il n'y avait pas de nourriture (peut-être quelques cacahuètes cachées quelque part), mais plein de bouteilles d'alcool.

J'avais le vagin qui saignait et qui était enflé, le bas de ma chemise était plein de sang, et j'avais mal au ventre profondément à l'intérieur lorsque mon escorte est enfin venue me chercher le lendemain matin de bonne heure. Rester autour de Cheney pendant qu'il dormait était une erreur aussi mortelle que

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de lui retirer ses vêtements ou de le contredire - c'était interdit. Cette fois il a violé ses propres règles, et ne m'a même pas punie pour cela quand le matin est arrivé. Il avait passé tellement d'heures à boire de l'alcool et à se servir de son énorme pénis comme d'une arme d'assaut qu'il est sorti peu de temps avant l'arrivée de mon escorte. Alors que j'entrais dans le hall, je me suis pliée en deux de douleur. Mon escorte s'est adressée à Cheney et lui a fait remarquer, « Bon Dieu, Cheney! ».

Cheney a levé la tête et lui a répondu fièrement en mangeant la moitié de ses mots, « Maintenant tu sais pourquoi on l'appelle "Dick". » [Ndt: jeu de mots entre le prénom de Cheney, « Dick », et le mot anglais « dick » dont la traduction est « bite ».]

De retour au Tennessee, mon gynécologue payé par la CIA, qui savait que j'étais sous contrôle de l'esprit, a couvert comme d'habitude ceux qui me faisaient subir des sévices sexuels et m'a fait une ordonnance pour les enflures et la douleur. Je souffrais encore et j'étais toujours malade d'avoir été exposée à Dick Cheney, à ses tortures par la haute tension et à ses rapports sexuels brutaux lorsque Houston m'a conduite à la boîte de nuit Stockyard de Nashville pour mon rendez-vous avec le prince Bandar Ben Sultan.

Une serveuse m'a guidée vers la table de l'ambassadeur d'Arabie Saoudite où il était en train de boire avec le maire Fulton, le shérif Thomas et le chef de la police métropolitaine Joe Casey. 3 Je me suis approchée de lui et je lui ai dit, « S'il vous plaît, monsieur (Oz), j'ai reçu l'ordre de vous remettre un message du pentagone. Il ne doit plus y avoir de parties de cheval (jeux érotiques). Nous devons passer aux choses sérieuses. » Cela fit rire tout le monde autour de la table. J'ai poursuivi, « Mon message est bref et j'ai seulement besoin que vous quittiez votre dîner pour me consacrer un peu de votre temps. »

Le visage du prince Bendar Ben s'est fait plus grave et nous avons quitté la table. Il a touché le bras de la serveuse et elle a indiqué une porte de l'autre côté du hall qui donnait accès à une pièce inoccupée. Nous sommes restés à l'intérieur de la pièce, et j'ai vite remis mon message secret de Pigeon:

« Le Pigeon voyageur (un avion de l'Armée de l'air) prendra son envol ... et tiendra sa promesse (le chargement convenu) tandis que toutes les opérations (à la fois bancaires et de distribution) seront obtenues par les voies diplomatiques désignées (Habib). Votre bonus, un sachet de pure et trois de coupée, vous attend. Le président des États-Unis donne sa parole au roi Fahd : ... »

Il m'a dit que son chauffeur me rejoindrait dehors en face du Stockyard et m'a donné pour instructions de mettre la cocaïne à l'arrière. Je suis sortie de l'immeuble pour rejoindre Houston à la voiture afin de pouvoir livrer la cocaïne. Une limousine blanche rallongée s'est arrêtée en face du Stockyard ; les agents de la police métropolitaine affectés au chef Casey gardaient la zone, et on a transféré la cocaïne dans le siège arrière de la limousine du prince. Houston et moi, nous avons immédiatement quitté la zone. Mon rôle dans l'Opération Pigeon voyageur était terminé.

1 Richard Fulton et sa banque ont fait l'objet d'une enquête fédérale à partir de 1991.

2 Fate Thomas purge actuellement sa peine dans un pénitencier fédéral pour corruption et extorsion.

3 Qui a récemment fait l'objet d'une enquête fédérale pour corruption.

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CHAPITRE 13

OPÉRATION LE JEU DU COQUILLAGE

Quelque temps avant la mort du chef de la CIA, William Casey, j'étais à Washington pour une réunion d'information sur l'Opération Le Jeu du Coquillage. L'affaire Iran-Contra était politiquement explosive en ce temps-là, et le sénateur américain Allen Simpson (Républicain, Wyoming) avait un plan pour provoquer la chute du Général panaméen Manuel Noriega à cause des aspects de l'enquête en rapport avec la cocaïne. Noriega était devenu une source supplémentaire d'embarras pour le gouvernement Reagan-Bush. La nécessité de le persuader d'être discret au sujet de son implication dans les activités secrètes criminelles des États-Unis avait atteint des proportions alarmantes. Noriega avait été pour Reagan l'un des nombreux él&eacutements du programme de fourniture d'armes aux Contras du Nicaragua, ainsi qu'un centre international d'activités dans les opérations de cocaïne qui finançaient les budgets noirs pour des projets ultra-secrets tel que le Projet Monarch. Les obscures transactions parallèles de drogue avec le Panama de l'agent secret de la CIA qui était mon contact, Alex Houston illustraient davantage les principes du genre « les loups ne se mangent pas entre eux » que Noriega violait systématiquement et ouvertement. Mon rôle, ma « Contra-bution », n'était qu'une petite partie de la totalité du tableau. Néanmoins, l'Opération Le Jeu du Coquillage fut l'une des opérations secrètes les plus importantes et les plus instructives parmi celles auxquelles j'ai été forcée de participer.

Mon rôle a débuté par une journée froide et pluvieuse, lorsque Houston m'a déposée au Monument de Washington où j'ai été prise en charge par deux agents, qui m'ont conditionnée à partir avec eux en me montrant rapidement leurs pièces d'identité. Ils m'ont escortée jusqu'au grand bureau de la Maison Blanche où j'avais rencontré Cheney pour la première fois pour « auditionner » pour les Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit, quelques années auparavant. Comme d'habitude, Cheney et Reagan étaient en train de boire, cette fois à l'excès, pour de si bon matin. Les joues de Reagan étaient empourprées et sa voix était mal articulée tandis qu'il me saluait, « Bien, salut, Chaton! Dick et moi, nous étions juste en train de discuter de la situation critique des Contras depuis que cette affaire Ollie North a éclaté. » L'humeur massacrante d'alcoolique de Cheney était immédiatement manifeste. Il était agité comme d'habitude par la décontraction de Reagan en ma présence. Apparemment j'étais entrée pendant une sérieuse discussion au sujet de l'affaire Iran-Contra car l'humeur de Reagan était la plus maussade que je ne lui avais jamais vue. Il a pris un verre et il a regardé par la fenêtre. « Les Américains croient en leur pays - au base-ball, aux hot-dogs, et en Ollie North. » Cheney a pouffé de rire à ce qui semblait être une plaisanterie courante entre eux au sujet « des hot-dogs et d'Ollie North ». Reagan a continué, « Et je crois en la cause des Contras et en tout ce que nous avons accompli. Et j'en suis vachement fier! Ce n'est pas "la Loi et l'Ordre". Non, c'est l'Ordre et ensuite la Loi. L'ordre doit venir en premier parce que sans lui, la loi serait inefficace. Parfois on doit s'élever au-dessus de la loi et la dépasser pour instaurer cet ordre (il a jeté un regard sérieux sur Cheney) - ou un nouvel ordre (mondial). En tant que Président, c'est ma responsabilité. Instaurer l'ordre au moyen de la démocratie en répandant la démocratie à travers le monde. Avec l'ordre, il y a la paix. En ce moment au Nicaragua les gens réclament à grands cris la démocratie, la paix, et je ne peux pas faire la sourde oreille. Pas même compte tenu des ennuis d'Ollie North. Les véritables Américains savent qu'il est un héros. C'est pourquoi nous devons nous élever au-dessus de la loi pour instaurer l'ordre en satisfaisant les désirs, les espoirs et les rêves de ces hommes courageux qui combattent pour la liberté, en remplissant notre rôle qui consiste à répandre la démocratie. » Reagan faisait des gestes dans l'air, apparemment perdu dans la poésie de sa propre déclamation.

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Cheney a perdu patience et a sauté de son fauteuil pour se moquer de moi et pointer le doigt sur ma poitrine en disant, « L'ordre, c'est tout ce qui compte, et tu vas suivre le mien. »

Reagan s'est retourné vers nous. « Je suis content que tu soulèves cette question, Dick. Chaton, tu as un rôle dans l'instauration de cet ordre. Avec la même flamme patriotique qui brûlait dans ta poitrine pour les combattants de la liberté d'Afghanistan, tu exécuteras tes ordres pour les Contras. Dick déterminera ton rôle et te fournira tout ce dont tu as besoin et tout ce que tu as besoin de savoir à partir du sac du vieux Magicien qui se trouve au sous-sol (programmation de type Oz au bureau du Pentagone de Cheney). Alors, à présent tu te sauves et tu fais ce qu'il te demande. »

Le sénateur Allen Simpson était dans le bureau de Cheney quand nous sommes arrivés. Cheney a donné un petit coup sur le sablier pour me faire savoir que ma vie était en jeu selon la programmation de type Oz. Cheney a fait signe à Simpson et a commencé, « L'opération Le Jeu du Coquillage est une idée personnelle de Simpson, aussi c'est lui le maître du jeu et il va t'en apprendre les règles. Le but du jeu est de vérifier "àqui on refile les marchandises". » Désignant Simpson du doigt, il a ordonné, « Écoute-le. »

Simpson s'est levé et s'est mis à parler à mots couverts. « Tu pars sur un "Princes' Cruise" (le Yacht de Noriega). L'Oreille de Mer de Bébé est ton passe. Je te fournirai la tienne au moment opportun. » Il a pris le « coquillage » dans son portefeuille. Il avait approximativement 4 centimètres de long et il était rose translucide, minutieusement façonné exactement comme une oreille de bébé. Simpson a remarqué le soulagement me traverser le visage au moment où je me suis rendue compte que ce n'était pas une véritable oreille de bébé. Il a souri. « Ce ne sont que des coquilles vidées de la vie qu'elles possédaient autrefois. Comme tu l'es - vide et dépourvue de vie. Une coquille. Ça rentre par une oreille et ça ressort par l'autre. J'ai ton oreille alors ÉCOUTE. S'ils ont le passe, tu écoutes. Quand tu as le passe, tu parles. Ça rentre par une oreille et ça ressort par l'autre - pour ne plus jamais être retrouvé. »

Il a remis le coquillage dans son portefeuille et a repris, « Écoute. Suis les ordres. Le colonel (Aquino) sera là, tu suivras ses ordres et tu donneras une démonstration de type interactif au général (Noriega). Ce sera différent et pourtant ce sera pareil, aussi suis attentivement les ordres du colonel. »

Cheney m'a saisi brutalement par les cheveux et m'a tiré la tête en arrière, il s'est mis tout contre mon visage et a dit, « Ou bien ma jolie, je l'attraperai, ta petite fille. Suis les ordres comme si sa vie en dépendait parce que c'est le cas. Ou bien on prendra la prochaine oreille de bébé à Kelly. Alors écoute. Quand tu verras l'oreille de bébé, tu écouteras. » Il m'a fait tourner la tête dans la direction du sablier tandis qu'il lâchait mes cheveux. Il ricanait et Simpson avait l'air de penser que Cheney en faisait trop. J'ai été soulagée de ne pas être chargée « d'apaiser cette bête féroce de Cheney » par le sexe ce jour-là.

Cheney m'a ramenée au bureau de la Maison Blanche d'où nous étions partis. Reagan et lui se sont versés un autre verre. Reagan m'a tapoté les cheveux pour les remettre en place là où Cheney les avait tirés, ce qui d'une certaine manière m'a donné une impression de sécurité puisque je ne pouvais pas me rendre compte qu'il était derrière le calvaire que me faisait subir Cheney. Reagan a commuté ma personnalité vers celle où je ne le considérais plus comme le « Patron », mais comme « Oncle Ronnie ». Il l'a fait en mettant la main dans son bocal de Jelly Belly [Ndt: bonbon moelleux comme de la gelée] et en m'en donnant un. Certaines couleurs et certains parfums déclenchaient certaines réponses programmées. Oncle Ronnie devait avoir eu d'autres « Chatons » conditionnées à ceux qui étaient parfumés à la pastèque et de couleur vert armée parce qu'il en conservait une quantité exagérée dans ses nombreux bocaux.

Cheney lui a dit, « Je n'arrive pas à comprendre comment diable tu peux boire du cognac et manger ces fichus haricots de gelée. »

Reagan lui a répondu, « Eh bien, Dick, tu n'es pas obligé de prendre un Jelly Belly si tu n'en veux pas. Je n'ai fait là qu'en donner un à Chaton. »

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« Et comment, que je ne suis pas obligé de prendre un Jelly Belly, mais tu vas avoir le ventre comme de la gelée si tu continues avec cette merde. » [Ndt: jeu de mots entre Jelly Belly et jelly (gelée) belly (ventre).] Cheney a vidé son verre.

Reagan a ri tout bas, « Tu sais que maintenant, je fais attention à ma ligne... » [Ndt: figure en anglais]

« Figure-toi ça », a coupé Cheney. « Et qu'est-ce que tu vas faire avec les Contras? » Cheney a posé son verre en le faisant claquer et s'est dirigé vers la porte.

« Exactement ce que je viens de faire. » Reagan s'est adressé à moi, « Viens, Chaton. Allons nous promener. J'ai besoin de ma petite promenade du soir. »

Reagan n'était pas d'humeur àavoir des relations sexuelles, et c'était un soulagement que de se tenir éloigné de Cheney. Il m'a emmenée dehors pour faire un tour dans son « Jardin secret », où il disait qu'il allait pour « réfléchir à la résolution des problèmes du monde ». Nous sommes descendus le long d'une allée en ciment qu'il désignait sous le nom de « Route pavée de Briques jaunes ». Après s'être tranquillement assis sur un banc en ciment pendant un moment, il a dit, « Si tu suis la Route pavée de Briques jaunes, elle te mène tout droit dans l'antre du Magicien - le Bureau ovale. Est-ce que tu aimerais voir où Oncle Ronnie trouve vraiment une solution aux problèmes du monde? » Je me sentais comme une petite fille avec son papa qui vont visiter son lieu de travail, sans aucune véritable notion de ce que j'allais voir. Le garde de la porte du Bureau ovale s'est assuré que je sois remise à mon escorte quand Reagan a eu fini de « me faire rentrer en douce » dans son bureau. On m'a ensuite ramenée au Monument de Washington où Houston attendait dans la voiture comme si je n'étais jamais partie du tout.

L'Opération Le Jeu du Coquillage m'a remise en contact avec l'ancien Président Gerald Ford de bonne heure, par un matin brumeux d'automne. Les relations permanentes de Ford avec ceux qui me faisaient subir des abus sexuels m'avaient donné des motifs de rester en contact avec lui pendant toutes ces années, en particulier depuis que mon père et lui étaient toujours conjointement actifs dans les affaires de drogue du crime organisé du Michigan et dans les opérations de pornographie qui m'avaient lancée dans le Projet Monarch tant d'années auparavant.

Ford était sur le point de se lancer dans une partie de golf avec mon père sur le parcours de golf par ailleurs « Fermé pour la Saison » situé à côté de la luxueuse maison de mon père dans le quartier aisé de Grand Haven, au Michigan. Mon frère, Mike, était avec mon père et moi alors que nous étions en train de rejoindre Ford au Club House ainsi que le personnel des Services secrets qui lui était affecté. Ford a dit à mon père qu'il les « rejoindrait, lui et Mike au troisième trou » et de « nous laisser nous occuper de nos affaires ». J'ai été maintenue en « Mode Silence » jusqu'à ce que Ford et moi, nous soyons hors de portée des hommes des Services secrets, et je lui ai récité un message de la part de Reagan inculqué préalablement au Jeu du Coquillage.

« S'il vous plaît, Monsieur », ai-je commencé en langage codé d'Oz, « J'ai un message pour vous de la part d'Oncle Ronnie. C'est un "télégramme murmuré" (fellation) pour savoir si vous accepteriez que notre hymne national soit remplacé par America the Beautiful. » (Reagan envisageait tout à fait sérieusement de changer notre hymne national.)

Ford a répondu, « Nous verrons peut-être si c'est possible plus tard. Nous avons d'abord d'autres "trous"[Ndt: jeu de mots : le mot anglais "holes" employé par Ford désigne non seulement les trous du parcours de golf mais aussi en langage familier les situations embarrassantes qu'il faut régler avant que ça chauffe.] à nous occuper avant que le soleil ne monte plus haut. »

Alors qu'il plaçait sa balle de golf sur le tee je lui ai demandé, « Est-ce que vous jouez encore beaucoup au golf maintenant que vous n'êtes plus Président? »

Il a dit très sérieusement, « J'ai beaucoup joué au golf quand j'étais Président. Mais à présent, je suis simplement les événements depuis le parcours de golf. J'ai gagné le privilège de surveiller les progrès du Train de la Liberté de l'Amérique dans mes moments de loisir. » Il s'est retourné pour me faire face, « Est-ce que tu joues encore au golf? »

« Très bien, Monsieur, quand c'est permis. » (Houston faisait toujours en sorte de gagner.) Ford a été visiblement amusé par ma réponse et il m'a donné son club. « Fais de ton mieux. » Je lui ai envoyé la première balle hors limites et son amusement a disparu. Je lui ai rendu son club de golf comme il me l'a demandé.

Au bout du second trou, Ford m'a dit, « J'aimerais te parler un instant. » Il m'a menée vers des arbres situés à l'écart de l'allée et s'est retourné vers moi avec les

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bras croisés sur sa poitrine bombée, s'est redressé, et a vissé ses yeux de requin dans les miens. « Prête-moi l'oreille. » J'avais l'Oreille de Mer de Bébé sur moi comme on me l'avait demandé, je l'ai sortie de ma poche de derrière et je l'ai donnée à Ford. Il s'est mis à me parler comme si j'étais une machine et qu'il dictait un message. « Rapporte ce message à Dick Cheney, au Pentagone. La Mafia a accepté de virer les 2,3 millions de dollars (bénéfices de la pornographie) sur la Banque de Crédit et de Commerce international. Mettons à présent notre argent en commun et nous allons nager dedans. Cette opération a été une brillante réussite. Continuons comme ça. Cessons les accords avec le Panama. Toutes les filières mexicaines sont en place (cocaïne et héroïne). Mes salutations au Patron. « Il s'est éloigné d'un pas et il a ajouté, « Et toi (il m'a tapoté la poitrine comme Cheney) prends soin de mon ami, Dick. Tiens… « il m'a rendu l'Oreille de Bébé. Par méchanceté, il a ajouté « terminé », et il m'a fait le signe des cornes (sataniques) devant les yeux ce qui a fait devenir ma transe sensiblement plus profonde étant donné que j'y avais été conditionnée si fortement par Byrd.

Après avoir frappé la balle de golf, il m'a demandé, « Comment va mon ami Allen Simpson, ces temps-ci ? »

« Très bien, Monsieur. » J'ai remarqué son irritation alors qu'il ratait un autre coup. Sa colère était en train de monter. Quand il a voulu rajouter quelque chose à son message, il a passé sa frustration sur moi.

« Refile-moi cette foutue coquille. » Il agitait les doigts dans ma direction. Ce n'était pas la formule du mot de passe et je ne réagissais pas. Il s'est mis à parler plus fort et avec davantage d'agitation, « Où est cette Oreille de Bébé. » Je ne pouvais toujours pas répondre. « Donne-moi ta fichue oreille !! » me hurla-t-il. D'assez près.

« Oui, Monsieur », ai-je répondu docilement en la laissant tomber dans sa main.

Il poursuivit. « Dis à Simpson de prendre bien soin de mon ami Dick Thornburgh. Contacte-moi de nouveau à ce sujet. » Il me rendit l'oreille. Nous pouvions voir mon père attendre au trou suivant et Ford a dit qu'il pourrait « lui en envoyer une dans la tête » à son prochain coup. Il a fait un swing mais il a manqué mon père.

Lorsque nous avons retrouvé mon père au troisième trou, Ford a naturellement commencé par mettre sa balle en position, puis, en me faisant signe avec son club, il m'a dit, « Va-t-en d'ici avant de me casser les pieds. » Mon père m'a indiqué le chemin avec le pouce par-dessus son épaule tout en laissant échapper un coup de sifflet strident. Mon frère, Mike, m'a fait traverser les buissons pour me faire rentrer à la maison de mon père.

Ma sœur, Kelli Jo, attendait mon retour les larmes aux yeux. Elle était atteinte du syndrome des personnalités multiples et était terrifiée à cause de Ford. Elle, ma petite sœur, Kimmy, et moi, nous avions toutes été forcées de satisfaire sexuellement Ford juste avant une commande spéciale de film pornographique intitulée Trois petits Chatons dans lequel son sperme était filmé « anonymement ». J'étais au courant que Ford avait initié mes deux sœurs de la même manière que moi à Cedar Spring, et qu'elles aussi redoutaient sa sexualité brutale et dégradante. Je me suis dépêchée de passer devant ma sœur pour m'assurer que ma fille, Kelly, allait bien. La menace de Cheney contre sa vie résonnait très fort dans mes oreilles.

Je n'ai pas revu l'Oreille de Mer de Bébé jusqu'à ce que Kelly et moi, nous soyons arrivées à Bradenton Beach, en Floride. J'ai conduit le camping-car jusqu'en Floride avec Houston et Kelly, et j'ai déposé Houston à l'aéroport de Tampa, puisqu'il n'y avait pas de rôle pour lui dans l'Opération Le Jeu du Coquillage. Il « avait des choses à faire à Boys Town près d'Omaha, au Nebraska » où les garçons indisciplinés étaient traumatisés et subissaient des sévices sexuels conformément à la participation de l'Église catholique au Projet Monarch. Paul Bonacci, une ancienne victime de la tristement célèbre histoire de l'étouffement de l'Affaire Franklin [Ndt : Allusion au livre du procureur John W. DeCamp, The Franklin Cover-up.] a désigné Alex Houston comme l'un des auteurs des sévices sexuels qu'il a subis là-bas, à Boys Town. Houston allait souvent à Boys Town ou dans d'autre « stations de vacances » similaires pendant que je participais à des affaires secrètes du gouvernement. Kelly et moi, nous avons poursuivi notre route jusqu'à Bradenton, où nous sommes descendues

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dans un terrain de camping qui faisait partie de l'opération et qui se trouvait sur la baie située de l'autre côté de la Base aérienne Mac Dill. Lui aussi, était « Fermé pour la Saison ».

La salle de détente du terrain de camping était en réalité utilisée pour une opération de programmation d'harmoniques, et les bureaux étaient remplis des ordinateurs compliqués caractéristiques des opérations de haut niveau de la CIA. Le jour où Kelly et moi nous avons rencontré le sénateur Simpson, le personnel du terrain de camping m'avait donné pour instructions de rouler vers l'île toute proche de Santa Maria où nous devions ramasser des coquillages insolites. Kelly et moi, nous étions du « côté sauvage » de l'île en train de chercher des oursins plats parce qu'ils contenaient des « oiseaux ». Alors que nous traversions une eau peu profonde, Kelly a délogé une pastenague, ce qui nous a fait courir vers le rivage en poussant des cris. Simpson était sur la plage en train de rire et donnait l'impression de ne pas être à sa place avec son chapeau de gangster, son costume gris dont il avait retroussé le pantalon et ses chaussures cirées à la main. Il avait l'air de bien connaître la plage. Lorsque nous sommes arrivées au rivage, il a entamé une conversation au sujet des coquillages. Ce n'est qu'après nous avoir parlé de l'Oreille de Mer de Bébé et avoir ouvert son portefeuille pour la récupérer que ma commutation s'est déclenchée et que j'ai su qui il était. Au moment où il l'a sortie, il nous a aussi montré rapidement ses pièces d'identité en nous faisant signe d'aller avec lui. Considérant Kelly, il avait glissé dans le sable pour qu'elle le trouve un coquillage qui ressemblait à un œil dans une spirale. Il s'en est servi comme d'une induction hypnotique pour la contrôler, en le comparant à l'Œil dans le Ciel de Bush.

Simpson m'a montré le coquillage dans sa main et a commencé, « Toi. Toi seule, tu vas prendre le bateau qui fait la navette avec ton Princes' Cruise. Il quittera le dock depuis ton propre jardin de derrière (Oz) à sept heures et demi du soir. Habille-toi de manière appropriée (Houston s'était assuré qu'on avait mis dans une valise la tenue adéquate). Tu seras escortée jusqu'à la salle de conférence et sur le pont supérieur. Tu verras au moment où tu t'approcheras du bateau (le yacht de Noriega) que le pont supérieur est entouré de miroirs noirs. Regarde profondément dans les miroirs, c'est là que tu seras. Et là que je serai quand on se reverra. » Nous sommes montés un peu plus haut sur la plage vers l'endroit où était garé le camping-car et, en parlant de l'Oreille de Bébé, Simpson a dit, « Elles sont vraiment très rares. Celle-ci est l'oreille droite. Vous devez aller de l'autre côté de l'île, à la sortie de Long Boat Key, pour trouver celle qui va avec. Le colonel (Aquino) a l'oreille gauche de bébé et il vous retrouvera sur la Jetée à quatre heures de l'après-midi. Arrêtez-vous au petit marché qui fait l'angle et appelez. Ensuite c'est juste un peu plus bas dans la rue. »

J'ai suivi les instructions comme un robot. Kelly et moi, nous regardions depuis la jetée, tandis que quatre grands gardes impassibles (programmés ?) et armés (de mitrailleuses) scrutaient la zone alors qu'Aquino sortait d'une voiture. Kelly a dit, « Maman, allons-nous-en. » Je me souvenais de la menace de Cheney et je l'ai assurée que je la protégerais, bien que je ne puisse pas comprendre de quoi.

Lorsque Aquino s'est approché avec deux dobermans tenus en laisse, je lui ai dit que Simpson m'avait envoyée là pour chercher l'oreille de bébé gauche. Il a ouvert la main pour me faire voir « tout ce qui restait - l'oreille du bébé - les chiens avaient dévoré et consommé le reste du bébé. » C'était ensanglanté, déchiqueté et la couleur tirait plutôt sur le bleu que sur le rose. Que ce fût ou non une véritable oreille du bébé, l'effet a été le même. J'ai éloigné Kelly derrière moi, à l'opposé des chiens. Je me suis retrouvée traumatisée et je suis entrée en transe, prête à recevoir des ordres. Aquino m'a donné des instructions parfaitement détaillées sur les activités de la nuit, et m'a dit que je devais laisser le personnel du terrain de camping s'occuper de Kelly jusqu'à mon retour.

Ce soir-là, on s'est servi d'un petit canot à moteur pour me conduire au yacht de Noriega dans la baie. Ma commutation s'est déclenchée et ma transe est devenue plus profonde en me rapprochant du yacht familier « aux miroirs noirs » conformément au plan. J'ai reçu de l'aide pour monter à l'arrière du yacht de la part des gardes du « palais » panaméens qui m'y ont retenue sous la menace d'un fusil jusqu'à ce que j'aie satisfait aux exigences du contrôle de sécurité et que l'Oreille de Bébé qui me servait de sauf-conduit soit acceptée. On m'a escortée pour me faire passer devant les responsables de la Base aérienne, leurs femmes, les gens de la drogue et la grande quantité de cocaïne mise à leur

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disposition. J'ai reconnu plusieurs invités, y compris Oliver North et le seigneur de la drogue portoricain José Busto. On m'a fait monter les escaliers jusqu'à la salle de conférence où Aquino, Noriega et Simpson attendaient. Simpson ! J'ai réalisé que je devais « être de l'autre côté du miroir noir » et j'ai regardé fixement dans l'obscurité.

Simpson a parlé doucement, « Tu es maintenant de l'autre côté du miroir noir (programmation de la NASA), en train de scruter la mer à travers la noirceur. Une mer de noir. À cheval sur une mer de noir, emportée, emportée par les vents. Profondément dans la noirceur. Emportée à travers les sables du temps. Des sables noirs, des coquillages souples - tels que cette Oreille de Bébé. » Il l'a serrée dans ma main, me signalant ainsi que c'était maintenant à moi de parler. Je me suis adressée à Noriega.

« S'il vous plait, Monsieur, j'ai un message de la part du président des États-Unis d'Amérique : Les succès dont nous avons bénéficié dans nos entreprises communes sont maintenant de l'histoire en train de se faire, et son cours ne peut être changé - sans se soucier de la levée imminente du voile par des âmes charitables bien intentionnées. Dès que ce voile sera levé, cela pourrait jeter la lumière sur vous. Aussi, vous devez balayer devant votre porte, comme le fait Ollie North, et cesser toute activité trop voyante. Je ferai de mon mieux pour vous protéger et vous tenir à l'abri des regards si vous obéissez à ces ordres et cessez immédiatement toute activité trop voyante. »

Noriega a réagi comme prévu, manifestement insulté par le message. Dans le moment de confusion qui a suivi, Aquino a agité les mains de manière hypnotique en face de Noriega et a déployé théâtralement sa cape noire satanique (qu'il portait pour son impact sur les superstitions de Noriega) qui avait l'air de remplir la salle. Noriega se soumettait presque à lui tellement le contrôle qu'Aquino exerçait sur lui était total.

Le style d'Aquino était celui d'un spectacle de foire plutôt que celui des habituels tons sérieux utilisés sur les bases de l'Armée pour les Démonstrations interactives. « Général, pour votre divertissement et en témoignage de notre reconnaissance pour la brillante réussite de votre "Contra-bution", le Patron vous a envoyé son Mannequin présidentiel pour vous faire une démonstration des technologies les plus avancées en matière de contrôle de l'esprit. Rien qu'en appuyant sur un bouton, ce Pigeon devient un Chaton (j'ai commencé à me déshabiller). Un tout autre animal. »

En raison des croyances superstitieuses de Noriega, il semble que la seule idée de commuter des personnalités lui faisait peur. Je sais que Noriega croyait tout à fait sincèrement au contrôle de l'esprit, mais qu'il ne pouvait pas saisir le concept des personnalités multiples (qu'il percevait, comme je le crois maintenant, comme une possession diabolique). Pour cette raison, il n'adhérait pas à l'idée qu'une seule esclave puisse être à la fois dressée pour le travail et le plaisir. Aquino, que Noriega percevait déjà comme un « démon » au service de Reagan, était en train de manipuler ses croyances de main de maître. L'impact de cette démonstration et de cette Opération allait se révéler être de la guerre psychologique de premier ordre.

Aquino m'a ordonné de m'allonger sur le lit et il a invité Noriega à regarder de plus près ce que le « Magicien » - « son Patron » (Reagan) - pouvait faire. Noriega s'est rapproché pour voir ce qu'Aquino lui montrait du doigt entre mes seins. Un grand baphomet gravé est apparu. Aquino m'avait fait régresser en se servant de l'hypnose jusqu'au moment où on l'avait fait, ce qui semble avoir provoqué sa « soudaine apparition » sous les yeux de Noriega. Noriega a fait un bond en arrière, terrifié par l'ignorance de ce phénomène scientifique. Je crois que Noriega n'est resté dans la pièce pour la suite de la démonstration que parce qu'il était cloué sur place par la peur. Aquino m'a frappée avec un chat-à-neuf-queues et j'ai hurlé de douleur. Noriega a sursauté. Aquino s'en est encore servi pour me frapper, cette fois en m'activant pour que je réagisse sexuellement comme si la douleur était du plaisir - un concept du contrôle de l'esprit que Noriega saisissait plus facilement. Aquino a alors fait remarquer que le baphomet avait disparu. Pendant que Noriega regardait, Aquino s'est servi de

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l'induction hypnotique de Byrd alors qu'il me coupait entre les seins avec un couteau en disant, « puisque ce couteau est bien affûté et sans bavures, je vais découper ce que je veux. » Ma transe avait été rendue plus profonde, au point de ralentir mon système circulatoire. Je n'ai donc pas saigné jusqu'à ce qu'Aquino modifie le niveau de ma transe en se servant de l'hypnose. Il a ensuite dit à Noriega que la gravure du baphomet s'était retirée dans les profondeurs de mon corps et de mon âme, en me possédant et en poussant les feux de l'enfer. Il m'a ordonné de montrer mon « visage », la gravure obtenue par mutilation vaginale du visage de baphomet. Tandis que je le faisais, Aquino a offert mon sexe à Noriega. Comme prévu, Noriega s'est mis à avoir les yeux exorbités de terreur et de dégoût. Alors qu'Aquino lui disait que son « rejet à mon égard m'avait tuée », j'ai cessé de respirer et de bouger, comme j'y avais été conditionnée.



Noriega était abasourdi tandis qu'Aquino riait malicieusement et le menaçait, « Même la mort ne lui - ou vous - permettra pas d'échapper au pouvoir du Magicien. » Il lui a expliqué que j'étais la « propriété du Magicien », que j'étais « ensorcelée par lui » et que je pouvais donc « me redonner de l'énergie et revenir à la vie. » Il m'a mis un aiguillon vaginal dans la main et m'a ordonné de m'en servir pour me masturber, en appuyant sur le bouton pour me donner des secousses électriques internes à son commandement. Les yeux de Noriega étaient énormes. Son teint avait viré au gris pâle, il avait la bouche ouverte et il est sorti en courant par la porte tandis qu'Aquino lui assurait qu'il n'avait « nulle part où aller, nulle part où se cacher où il puisse se soustraire aux pouvoirs de Reagan. »

Comme on pouvait le prévoir, Noriega a interprété la démonstration comme une menace venue des profondeurs de L'ENFER, ce qui aurait dû être suffisant pour qu'il tienne compte des ordres de Reagan pour rompre immédiatement les liens avec le trafic de drogue. (Apparemment ce n'est pas le cas comme en témoigne l'incarcération prolongée de Noriega en Floride.) Aquino et Simpson étaient pliés en deux de rire en se félicitant d'avoir fait du bon boulot. Simpson m'a finalement demandé de me rhabiller et m'a escortée vers l'arrière du yacht pour s'assurer que les gardes me mettent sur la navette plutôt que de me tuer à cause de l'horreur que j'inspirais à Noriega.

Alors que je m'approchais du dock du terrain de camping, le pilote du bateau m'a dit que je trouverais Kelly endormie dans la salle de « détente ». J'ai couru vers elle, et, par crainte de la menace de Cheney, je me suis assurée que ses oreilles étaient toujours intactes. Ce fut un immense soulagement pour moi de constater qu'elles étaient toujours à leur place et de savoir qu'elle allait bien. (Il ne pouvait pas me venir à l'idée de me demander ce qu'elle avait enduré pendant mon absence.) Au mépris de toute logique, j'avais l'impression d'être une « bonne maman » pour « avoir parfaitement rempli mon rôle afin que Kelly puisse vivre. » Jamais auparavant, je n'avais ressenti une telle sensation de danger pour nous deux et mon soulagement était en proportion. Je l'ai tendrement tenue dans mes bras pendant le reste de la nuit.

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CHAPITRE 14

LIGNES DE COKE CLINTON

J'ai de nouveau rencontré Bill Clinton en 1982 lors d'une foire de comté de Berryville, en Arkansas. Alex Houston y donnait un « divertissement » à cause de la proximité immédiate du Centre d'Études des Traumatismes jusqu'au Seuil de la Mort de la CIA (alias camp de programmation et de conditionnement d'esclaves) et du point de distribution de drogue de Swiss Villa à Lampe, au Missouri. Je venais de subir des traumatismes et de la programmation intensifs autant physiques que psychologiques. Clinton était en train de mener sa campagne pour le poste de gouverneur et il était dans les coulisses avec Hillary et Chelsea en attendant de faire un discours. Clinton se tenait debout, les bras croisés, dans le soleil de l'après-midi, en train de parler à Houston de lui-même et de ses « hommes » (des agents de la CIA) qui étaient engagés dans des zones précises avec le double objectif de divertir et de mener à bien des opérations secrètes particulières en rapport avec la drogue.

De mon point de vue, ceux qui étaient en train de préparer activement le terrain pour la mise en place du nouvel Ordre mondial grâce au conditionnement de l'esprit des masses ne faisaient aucune distinction entre le parti démocrate et le parti républicain. Leurs aspirations étaient internationales dans la même mesure, et non pas américaines. 1 Les membres appartenaient souvent, parmi d'autres groupes élitistes, au Council on Foreign Relations. [Ndt : CFR - Conseil pour les Relations extérieures.] Comme George Bush, Bill Clinton était un membre actif du CFR, des Bilderberger, [Ndt : Nom de l'hôtel hollandais où s'est tenue leur première réunion en 1954.] et de la Commission trilatérale. Sur la base des nombreuses conversations que j'ai pu surprendre, on était en train de former et de préparer Clinton pour lui faire remplir le rôle du président sous les apparences d'un démocrate au cas où le peuple américain se lasserait des dirigeants républicains. Une preuve supplémentaire en était donnée par l'étendue des connaissances de Clinton sur le nouvel Ordre mondial et par les noms de ceux à qui il faisait allégeance.

Clinton comprenait bien que je venais de passer par « l'enfer » à Lampe, mais cela ne le gênait pas pour autant tandis qu'il se concentrait sur son discours. Non seulement il n'ignorait pas les tortures du contrôle de l'esprit et les activités secrètes criminelles qui proliféraient en Arkansas et dans l'état voisin du Missouri, mais il les admettait ! Comme il n'y a pas de préférences partisanes dans cette lutte pour la suprématie mondiale, il n'y a pas non plus de frontières ni de réelles prises en compte des situations individuelles. Je savais par expérience que les opérations secrètes criminelles de Clinton en Arkansas avaient un rapport avec le centre de Lampe, au Missouri où il s'occupait couramment de ses affaires et affirmait « passer ses vacances » , en séjournant dans les villas du complexe touristique.

En 1983, Houston m'a emmenée à Lampe pour des traumatismes et de la programmation de routine tandis qu'il devait donner un « divertissement » dans l'amphithéâtre. Devaient aussi donner une représentation les amis de Bill Clinton et de George Bush, Lee Greenwood et Tommy Overstreet, l'agent de la CIA, directeur d'esclaves et chanteur de country music. Greenwood et Overstreet avaient des activités aussi bien dans le complexe de la CIA de Lampe, au Missouri que dans celui du Lac et du Mont Shasta, en Californie. Clinton y était amené par hélicoptère depuis Berryville, en Arkansas aussi bien pour les spectacles que pour une réunion d'affaire.

Avant que Clinton ne soit arrivé, Greenwood et Houston étaient en train de sniffer de la cocaïne ligne après ligne dans les vestiaires des coulisses. Houston, toujours impatient de trouver un sou de plus à piquer, a essayé de me prostituer à Greenwood. « C'est elle la véritable artiste » , a dit Houston. « Elle pratique toutes sortes d'actes sexuels sur commande. Pour un prix modique, elle est à toi. »

Greenwood a ri, et en faisant allusion à ma programmation par la NASA à Huntsville, en Alabama, il a répondu, « J'ai passé plus de temps qu'elle à Huntsville, et je

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sais parfaitement qui elle est et ce qu'elle est - une "allumée" programmée pour le sexe. C'est une version modifiée de Marilyn Monroe. »

Tommy Overstreet était entré et avait entendu ce que Greenwood disait. « Combien de temps as-tu passé à Shasta ? »

« Shasta ? » Greenwood a regardé Overstreet avec arrogance et a souri d'un air entendu en disant, « Tu ne "passe pas de temps" à Shasta, tu maintiens le concept si tu le peux. Je n'y ai pas non plus perdu de temps, si c'est ta prochaine question. J'y vais pas mal de fois. Bien assez souvent pour qu'il me soit facile de ne pas tenir compte de la suggestion de Houston et de prendre ce que je veux, quand je le veux, et comme je le veux. »

Greenwood s'est mis à accéder à ma programmation sexuelle d'une manière experte et a dit aux autres dans la salle, « Vous pouvez tous aller et venir comme vous voudrez, mais on m'a fait une offre et je vais en profiter. » Il m'a donné l'ordre de me déshabiller et de me pencher sur le bureau où il m'a sodomisé brutalement en me disant, « Tu vas dire que c'est encore papa qui remet ça. »

Quand Greenwood en a eu fini avec moi, on m'a fait sortir vers la salle de concert de l'amphithéâtre. Pendant l'entracte, j'ai rencontré dans le hall le directeur de Swiss Villa, Hal Meadows, Tommy Overstreet, et le gouverneur Clinton. Clinton portait une casquette sur laquelle on pouvait lire « Diesel Trainer » qu'on m'avait dit être littéralement l'équivalent de « these-will-train-her » . [Ndt : ce sont eux qui vont l'entraîner.] Intriguée, j'ai regardé sa casquette et lui ai demandé, « Êtes-vous un conducteur ? »

Clinton a souri et a répondu, « D'électricité. » Overstreet s'est mis à rire alors qu'il poursuivait, « En fait cela veut dire que je contrôle les trains arrières. Comment va le tien ? » Je ne savais pas où me mettre. Apparemment Greenwood s'était vanté de m'avoir sodomisée. Ils se sont mis à rire encore plus fort au moment où Clinton m'a dit, « Toujours en état de marche, j'en suis sûr. »

Houston est sorti de la loge pour saluer Clinton. « Salut, mon vieux ! » Houston lui a tendu la main. « On m'a dit que tu as réussi à te faire élire gouverneur. »

« On m'a dit que tu proposes un avion de ligne stupéfiant » , a répliqué Clinton, en faisant allusion à mots couverts à la cocaïne et NON au soi-disant numéro de comédie de Houston. « J'aspire toujours à atteindre de nouveaux sommets. »

« Eh bien, suivez-moi à l'intérieur » , les y a invité Houston. « J'en ai assez (de cocaïne) pour vous mettre tous en orbite. » Je suis entrée dans la loge avec eux tandis que Houston disait à Clinton, « Je suppose qu'il n'y a pas de limites pour toi puisque tu es de l'autre côté de la ligne (de l'état). »

« Quelle ligne ? » Clinton a feint la surprise et l'ignorance. Il a regardé Hal Meadows tout en poursuivant, « Tu veux dire que j'ai quitté cet état qui est le mien ? De toute façon, dans l'état d'esprit qui est le mien, il n'y a pas de frontières. » [Ndt : jeu de mots entre "state of mine", mon état à moi et "state of mind", état d’esprit. Allusion à la chanson de Billy Joel "New York state of mind" (1975).] Il s'est approché de la table et a sniffé une ligne de cocaïne. « Je viens ici pour laisser tout ça derrière moi. Ce genre de travail est un plaisir. »

« Où est donc passée ta jeune femme ? » a demandé Houston, en faisant allusion à Hillary.

« Elle est chez des amis. » Clinton a aspiré la coke pour la faire monter plus haut dans le nez. « Elle est en train de s'occuper de ses affaires. Je suis ici uniquement pour me détendre, assister au spectacle, éventuellement faire une petite partie de chasse (allusion à Le Jeu le plus dangereux). J'ai un oiseau [Ndt : bird en anglais.] (hélicoptère) prêt à me ramener par les airs quand j'aurai fini. Hé ! En parlant de "Byrd" (il a fait un geste dans ma direction) on m'a dit qu'elle est envoyée à la grande maison (Maison Blanche). » En faisant allusion à son ami et mentor le sénateur Byrd il demanda, « Et lui alors, quelle est sa position actuellement ? »

« La même. » répondit Houston. « Probablement celle-ci… » Houston mimait une posture obscène de sodomie tandis que tout le monde riait. « Il tient toujours les rênes. »

Clinton a gardé les yeux fixés sur le « train arrière » de Houston et lui a dit, « Pourquoi ne lui (en parlant de moi) indiques-tu pas la sortie pour me faire revoir ça ? » Si j'avais pu

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réfléchir à ce moment-là, j'aurais réalisé que Bill Clinton était / est bisexuel. Mon expérience sexuelle personnelle avec Clinton était limitée, mais je l'avais vu en pleine activité homosexuelle au cours d'une orgie à Swiss Villa.

Juste après l'épisode de Swiss Villa, Houston devait donner comme d'habitude une représentation à la foire de comté de Berryville, en Arkansas. Là, Houston et moi, nous étions allés rendre visite à H. B. Gibson, l'ami de longue date et partisan de Clinton, lorsque nous nous sommes séparés pour assister à une réunion privée au manoir de Bill Hall, l'ami bisexuel et partisan de Clinton. À ce qu'on dit, Hall aurait fait fortune dans les affaires de maisons de rondins pré-fabriquées, et les Clinton séjournaient dans une villa d'amis bâtie d'après celles de Swiss Villa. Hillary avait amené à la villa Chelsea, qui commençait à marcher, tandis que Clinton et l'assistant qui lui servait de garde du corps participaient à la réunion. Tommy Overstreet était aussi de la partie car cela coïncidait directement avec la récente réunion de Lampe. Nous nous sommes tous assis dans le salon de Hall qui était en contrebas, sur deux canapés disposés l'un en face de l'autre et séparés par une table basse recouverte d'un miroir noir.


Hall avait coupé de nombreuses lignes de cocaïne sur la table, et tous ceux qui étaient présents - y compris Bill Clinton - étaient en train de les aspirer avec des pailles faites d'un billet de 50 dollars enroulé.


La conversation s'étendait de la CIA, de la drogue et de la politique à l'amphithéâtre de Swiss Villa et à la musique country. En ce temps-là, on était en train de faire un gros effort pour déplacer l'industrie de la musique country de Nashville, au Tennessee vers la région de Lampe, (elle a depuis été littéralement déménagée vers la ville voisine de Branson) à une plus grande proximité des opérations de cocaïne de la CIA que l'industrie blanchissait.

Tommy Overstreet était en train d'essayer de persuader Hall, qui avait manifestement l'habitude du commerce de la drogue (cocaïne), de se joindre à l'opération de cocaïne de haut niveau de la CIA qui finançait les activités secrètes. Ils parlaient de la possibilité pour Hall de transporter la cocaïne de Berryville, en Arkansas jusqu'à Nashville, au Tennessee afin de participer au niveau zéro de ce qui serait bientôt l'une des opérations de cocaïne de la CIA parmi les plus importantes et les plus fécondes - l'industrie de la musique country de Branson, au Missouri. En se mettant sur les rangs maintenant, les contacts et les clients que Hall obtiendrait pourraient « le soutenir politiquement et financièrement pour le restant de sa vie. » En outre, Overstreet discutait de la viabilité de l'utilisation des camions de la propre entreprise de Hall pour transporter la drogue partout vers Atlanta, en Georgie, Louisville, au Kentucky et Jacksonville, en Floride comme vers Nashville, au Tennessee et Lampe, au Missouri. Ces itinéraires-clés de la cocaïne de la CIA coïncidaient selon ceux qui étaient dans le secret et qui assistaient à la réunion, avec les lignes de transports routiers bien établies de Hall.


Hall se voyait offrir la « chance de sa vie » étant donné que son rôle comprendrait aussi le blanchiment de l'argent grâce à ses affaires pour financer les opérations secrètes des budgets noirs. Hall avait l'air inquiet et sceptique, et Clinton et Overstreet essayaient d'entretenir une ambiance « légère » en disant pour plaisanter que Hall pourrait remplacer le nom de sa ligne de transports routiers par « LIGNES DE COKE CLINTON ». (Ce qui explique que si ces anciens Premiers Ministres après leurs mandats présidentiels s'amusent à faire le tour du Monde en jouant 'a Diplomatie et aider les sidatiques'' que tout cela n'est qu'un leur afin d'aller là où ils doivent contrôler personnellement ceS DROGUES ??? ) .


Hall n'était pas convaincu et commençait à poser des questions quant à la longévité de l'opération et sur la manière dont il allait se protéger. Bien que Hall fusse très expert dans le commerce de la cocaïne, il disait avec inquiétude que cela lui était plus facile de faire confiance à ceux qui n'étaient pas impliqués dans les opérations de la CIA qu'à ceux qui y participaient en étant protégés par le gouvernement américain. Clinton lui a assuré que c'était « une opération de Reagan » , mais Hall se disait inquiet qu'une faction du gouvernement ne veuille « tout arrêter comme si cette opération était un coup monté » sans avertissement et qu'il se retrouve littéralement avec tout sur les bras. Houston s'est mis à rire et lui a expliqué que « personne n'allait l'interrompre (le commerce de la drogue). » Il lui a assuré que c'était beaucoup trop lucratif et qu'il y aurait « toujours un marché » pour la drogue - un marché contrôlé par ces criminels qui mettent en œuvre leur nouvel Ordre mondial.

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Clinton a complété ce que Houston venait de dire, en utilisant des expressions familières locales. « Voilà le fond du problème, nous avons le contrôle de l'industrie, (de la drogue) et par conséquent nous les contrôlons (les fournisseurs et les acheteurs). Tu contrôle le type qui est au-dessous de toi et l'Oncle (Sam) t'y fait couvrir. Q'est-ce t'y a à perdre ? Aucun risque. Personne va t'y abandonner à ton sort. Et tout ce qui tombe du camion quand il fait sa traversée (il a ri et a sniffé une autre ligne de coke) tu peux en faire ton beurre. »

Hall a souri à son ami, ce qui semble avoir été interprété comme un consentement. Clinton a fait signe à son assistant de lui faire passer son grand livre. Overstreet a commencé à sortir sa paperasse, et Hall a soigneusement débarrassé la table des lignes de coke restantes.

Clinton m'a désignée d'un geste et a dit à Houston, « Fais-la sortir d'ici. »

Houston n'a pas bougé et s'est mis à rire. C'est un Mannequin présidentiel. Elle détient des secrets plus importants que les tiens. »

Clinton a répondu, « Ça m'est égal ! Fais-la sortir d'ici, bordel ! »

La femme de Hall m'a emmenée et m'a enfermée dans une chambre de derrière. Après une durée indéterminée, je l'ai entendue téléphoner à Hillary à la villa des invités. Elle m'a alors fait gravir la montagne à travers l'obscurité pour retrouver Hillary. Bien que j'eusse déjà rencontré Hillary nous avions très peu de choses à nous dire - en particulier parce que j'étais encore hébétée et en transes à cause des tortures que j'avais subies au Centre d'Études des Traumatismes jusqu'au Seuil de la Mort de la CIA de Lampe. Hillary savait que j'étais une esclave soumise au contrôle de l'esprit, et, comme Bill Clinton, elle considérait simplement sans en être gênée que c'étaient des mœurs « normales » en politique.

Hillary était en train de dormir en étant allongée sur le lit entièrement habillée lorsque la femme de Hall est arrivée avec moi.

« Hillary, je t'ai ramené quelque chose qui va vraiment te plaire. Du genre surprise à laquelle on ne s'attend pas. Bill lui a fait quitter la réunion et je l'ai prise dans ma chambre où j'ai fait une découverte intéressante.

C'est littéralement une pute à deux visages (en parlant de la gravure obtenue par la mutilation de mon vagin). »

« Hum ? » Hillary a ouvert les yeux et s'est réveillée avec un air endormi. « Fais-moi voir. »

La femme de Hall m'a ordonné de retirer mes vêtements tandis que Hillary regardait. « Est-elle saine ? » demanda Hillary, voulant dire par là exempte de maladies.

« Bien sûr, elle est à Byrd » , répondit-elle, en poursuivant la conversation comme si je n'étais pas là. « En plus, j'ai entendu Houston dire quelque chose sur elle comme quoi c'est un Mannequin présidentiel, qui diable sait ce que c'est censé vouloir dire. »

« Ça veut dire qu'elle est saine » , a dit Hillary d'un ton neutre en se levant.

J'étais incapable de bien réfléchir à de telles choses à cette époque, mais rétrospectivement je suis consciente que toutes les esclaves Mannequins présidentiels que j'ai connues semblaient posséder une immunité contre les maladies vénériennes. C'était un fait bien connu dans les cercles que j'ai fréquenté sexuellement que les esclaves sexuelles soumises au contrôle de l'esprit de niveau gouvernemental étaient « saines » à un point que pas un seul de ceux qui me faisaient subir des sévices sexuels ne prenait de précautions telles que le port du préservatif.

La femme de Hall a tapoté le lit et m'a ordonné d'exhiber la mutilation. Hillary s'est exclamée, « Mon Dieu ! » et HILARY s'est mise tout de suite à me faire un cunnilingus. Apparemment excitée par la gravure dans mon vagin, 2

Hillary s'est relevée et s'est vite débarrassée de sa culotte en nylon de matrone et de ses collants. Dénuée d'inhibitions malgré une longue journée dans la chaleur du soleil, elle m'a dit d'une voix entrecoupée, « Suce-moi, bon Dieu, suce-moi maintenant ».


Je n'avais pas d'autre choix que d'obéir à ses ordres, et la femme de Bill Hall ne faisait aucun geste pour se joindre à moi dans ma tâche déplaisante.

Hillary s'était remise à examiner mon affreuse mutilation et à me faire un cunnilingus lorsque Bill Clinton est entré. Hillary a levé la tête pour lui demander, « Comment ça s'est passé ? »

Clinton n'avait pas du tout l'air affecté par ce sur quoi il était tombé, il a jeté sa veste sur une chaise et il a dit, « C'est officiel. Je suis épuisé. Je vais me coucher. »


Hillary Clinton est la seule femme qui est devenue sexuellement excitée à la vue de mon vagin mutilé.



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J'ai remis mes vêtements comme on me l'a ordonné, et la femme de Hall m'a fait redescendre au manoir où Houston m'attendait. Apparemment, la réunion avait été une réussite. J'ai entendu des discussions au cours des années restantes entre Houston, son agent, Reggie MacLaughlin, et le manipulateur de Loretta Lynn, Ken Riley, qui avaient un rapport avec la participation couronnée de succès de Hall à l'opération de cocaïne de la CIA qui émanait de l'Arkansas. Aucune discussion n'était aussi émouvante et révélatrice que celles qui se déroulaient entre Alex Houston et Boxcar Willie, l'artiste de musique country qui était aussi agent secret de la CIA.

Boxcar Willie a fait irruption sur la scène de la musique country après qu'une campagne publicitaire de haute technologie dont le pouvoir de persuasion reposait sur l'hypnose ait mis sur les ondes des spots publicitaires télévisés qui ont d'une manière stratégique fait de lui une « star » du jour au lendemain. Le Train de la Liberté de l'industrie de la musique country avait besoin d'un chef de train pour conduire l'industrie et les fans à Branson, au Missouri, et on a placé Boxcar Willie sur le siège du conducteur. Comme le Joueur de flûte d'Hamelin, Boxcar Willie a réussi dans son rôle qui consistait à transe-férer l'industrie à proximité immédiate des opérations de cocaïne de la CIA à Lampe.

Boxcar Willie fut l'un des premiers contacts du niveau zéro que fit Bill Hall après que Clinton l'eut persuadé de tirer profit des avantages pour la cocaïne que procurait le transfert de l'industrie de la musique country. Houston et Boxcar Willie ont discuté des transactions lucratives de Hall tout au long des années en ma présence tout en parcourant le pays ensemble, à l'affiche dans les mêmes spectacles, y compris pour les représentations dans l'amphithéâtre de Swiss Villa. J'ai souvent été personnellement en contact avec Boxcar Willie puisque mes déplacements pour la cocaïne sponsorisés par le gouvernement coïncidaient et concordaient souvent avec les siens. Mais je n'ai jamais connu Boxcar Willie aussi bien que ma fille, Kelly l'a connu. Kelly a désigné Boxcar Willie comme l'une des principales personnes qui lui ont fait subir des sévices sexuels dans trois institutions psychiatriques différentes, et elle a exprimé sa frustration à cause du manque de justice. « Pourquoi suis-je la seule à être enfermée alors que ceux qui m'ont fait subir des sévices restent en liberté ? » implore-t-elle continuellement. Je l'assure que je fais tout ce que je peux pour elle pour dénoncer Boxcar Willie, et pour dévoiler son rôle dans le transfert de l'industrie de la musique country à proximité immédiate de l'opération de cocaïne de la CIA de Lampe, au Missouri, comme Bill Clinton en avait tracé les grandes lignes.

1 La loyauté envers la souveraineté de notre pays n'existe pas selon les partisans du nouvel Ordre mondial. Le « président » Clinton ne fait pas davantage preuve d'autorité ou de loyauté envers notre pays que ne le faisait Ronald Reagan puisque tous les deux suiv(ai)ent les directives de l'ancien ambassadeur auprès des Nations Unies et directeur de la CIA George Bush.


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CHAPITRE 15

PLUS JAMAIS DE PASSAGE À TABAC QUELQUE PART DANS LE BUSH

C'est par une journée d'automne ensoleillée de l'année 1983 que le membre du Congrès des États-Unis Guy Vander Jagt a rencontré l'agent secret de la CIA qui était mon contact pour le contrôle de l'esprit, Alex Houston, ma fille Kelly, qui avait alors trois ans et demi, et moi-même sur les marches du Sénat des États-Unis à Washington. Kelly avait l'air de bien connaître Vander Jagt, bien que je ne me souvenais pas de l'avoir jamais vue en sa compagnie auparavant. Cependant, je ne pouvais pas seulement m'imaginer qu'en fait, il lui faisait subir des sévices sexuels tout comme il me l'avait fait au cours de mon enfance. Vander Jagt a mis un genou à terre devant elle pour lui parler, lui assurant « qu'aujourd'hui était un jour spécial » parce qu'elle « verrait Oncle George (Bush) tandis que maman verrait Oncle Ronnie (Reagan). » Il s'est levé et l'a prise par la main, en disant en langage codé de type Alice au Pays des Merveilles, « Partons ensemble à l'Aventure » et il l'a emmenée tranquillement comme un robot.

J'ai de nouveau retrouvé Kelly cet après-midi-là à la Maison Blanche et nous étions toutes les deux littéralement « en alerte » et au garde-à-vous dans le bureau de Reagan. Rétrospectivement, je suis étonné par les mesures de contrôle infligées à mon enfant de trois ans et demi pour la robotiser à un tel point et la faire se tenir « si bien » alors qu'elle se tenait debout silencieusement avec un sourire artificiel et sans ciller des yeux, en présence du président Reagan, du vice-président Bush, et de Dick Cheney (qui allait être plus tard ministre de la Défense). Reagan avait l'air de contempler Kelly, avec ses longs cheveux blonds qui tombaient en cascade sur l'arrière de sa robe bleue à bretelles qui parachevait son air d'Alice au Pays des Merveilles. Reagan ne paraissait pas la menacer sexuellement directement au moment où il a dit, « Elle est adorable, une petite fille modèle. »

Reagan a ensuite désigné Bush d'un geste et il a dit, « Voici mon vice-président George Bush. Les gens ne savent généralement pas quel est le rôle du vice-président parce qu'il est toujours dans les coulisses en train de s'assurer que tout ce que le président désire qu'on fasse soit réalisé de la manière dont c'est censé l'être. » Il m'a regardé et il a dit d'un ton neutre, « J'attire l'attention du public (il a fait un geste dans l'air qui attirait l'œil) tandis que le vice-président exécute les ordres. »

Dick Cheney, l'ami intime de Bush, a dit, « Et les donne. »

« Exact », a dit Reagan. « Un ordre de lui, c'est comme un ordre de moi. »

Bush portait des chaussures de toile pour le bateau et un pull cardigan au moment où il a mis un genou à terre devant Kelly afin de se mettre à son niveau pour lui parler. Bush se servait de l'émission de télévision pour enfants Mr. Rogers' Neighborhood [Ndt: le Voisinage de Monsieur Rogers] pour brouiller et rendre confus les souvenirs des jeunes victimes (comme ceux de Kelly) concernant leurs contacts avec lui et les sévices sexuels qu'il leur faisait subir. Sa ressemblance physique avec le Fred Rogers de la télévision était exagérée intentionnellement par le choix de ses vêtements et par ses affectations, et elle était encore plus accentuée par l'imitation orale qu'il avait développée. Utilisant sa meilleure voix de Monsieur Rogers il a dit, « Viens ici, Petite. Je veux te demander quelque chose. Est-ce que tu regardes Mr. Rogers' Neighborhood? »

« Oui, Monsieur », a répondu Kelly.

Bush a dit à Kelly, « Eh bien, je suis un peu comme Monsieur Rogers quand il fait bouger ses marionnettes et qu'il parle - comme ton papa (Houston, le ventriloque) le fait avec Elemer (sa marionnette). Je suis comme Monsieur Rogers seulement parce que j'ai beaucoup de marionnettes - mais les miennes sont des gens. J'ai même un roi (Fahd) tout comme Monsieur Rogers. 1 Je tire les ficelles (il a mimé les mouvements de main d'une marionnette à fils) et je parle par leur intermédiaire. Elles prononcent mes paroles et nous créons toutes sortes d'Aventures passionnantes. En ce moment je suis en train de construire un nouveau Voisinage (le nouvel Ordre mondial). Le

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décor est en place, et je tiens les ficelles de tout le monde. J'ai besoin de toi pour m'aider - ensemble, nous pouvons tirer les ficelles de ta mère. Elle est dans mon Voisinage. Cela veut dire que tu es aussi dans mon Voisinage. »

Il me paraît maintenant évident que Bush faisait allusion à ceux qui s'étaient activement engagés dans la mise en place du nouvel Ordre mondial grâce au chaos et au contrôle de l'esprit des masses (alias le conditionnement par les médias) quand il parlait du « Voisinage ». Bien entendu je ne pouvais pas envisager de mettre en doute la déclaration de Bush, et Kelly n'avait certainement pas envie de regarder au-delà du détournement par Bush de son émission de télévision préférée. Les grands yeux bleus de Kelly se sont encore agrandis alors qu'elle répondait, « J'y suis? »

Bush s'est levé et lui a pris la main. « Viens avec moi. Laisse-moi te montrer mon Voisinage. » Il l'a fait sortir par la porte.

Kelly est brusquement tombée malade physiquement après son intégration dans le « Voisinage » de George Bush et après chaque rencontre sexuelle qu'elle a eu avec lui par la suite. Elle avait quarante degrés trois de fièvre, elle vomissait et elle souffrait de maux de tête immobilisants pendant une moyenne de trois jours (comme c'est le cas avec les traumatismes par haute tension). C'étaient les seuls signes révélateurs à part les marques de brûlures laissées sur sa peau. Houston m'interdisait d'appeler un médecin, et Kelly me défendait de la consoler, en se plaignant d'un ton pitoyable que sa tête « lui faisait trop mal pour faire le moindre geste ». Et elle ne bougeait pas pendant des heures et des heures. Kelly se plaignait souvent d'une forte douleur aux reins, et son rectum saignait généralement pendant un ou deux jours après que Bush lui ait fait subir des sévices sexuels. Les brimades du contrôle de l'esprit dont j'étais moi-même victime me rendaient incapable de l'aider ou de la protéger. Voir mon enfant dans un état aussi horrible m'enfonçait encore plus profondément dans ma propre aliénation mentale, perpétuant ainsi ma totale inaptitude à m'émouvoir de ses besoins jusqu'à notre délivrance par Mark Phillips en 1988.

Les saignements du rectum de Kelly n'étaient que l'un des nombreux indicateurs physiques des perversions pédophiles de George Bush. Je l'ai surpris à de nombreuses reprises en train de parler sans la moindre gêne des sévices sexuels qu'il lui faisait subir. Il s'en servait, ainsi que des menaces contre sa vie, pour « tirer mes ficelles » et me contrôler. Les ramifications psychologiques consécutives au fait d'être violée par un président pédophile sont déjà suffisantes pour détraquer la santé mentale, mais Bush aurait en outre renforcé ses traumatismes contre l'esprit de Kelly avec des dispositifs de contrôle de l'esprit sophistiqués de la NASA basés sur l'électronique et les drogues. Bush a aussi inculqué dans l'esprit de Kelly les contraintes « Qui vas-tu appeler? » et « Je te surveillerai », renforçant ainsi encore davantage son sentiment d'impuissance. Les tortures systématiques et les traumatismes que j'ai endurés dans mon enfance me semblent à présent banals en comparaison des brutaux ravages physiques et psychologiques que George Bush a infligés à ma fille.

Dès que la porte s'est refermée derrière Bush et Kelly, Dick Cheney a tendu le bras vers le bureau de Reagan depuis son siège et il a retourné le sablier. (Oz) « Il ne lui (Kelly) reste plus beaucoup de temps. Tu ferais bien de faire attention et d'exécuter les ordres comme si sa vie en dépendait, parce qu'à partir de maintenant (hé! hé!) ce sera toujours le cas! Si tu commets une seule erreur - une seule - alors je l'aurai, ma jolie. »

Reagan a dit, « George est comme un metteur en scène. Il s'assure que le décor soit en place pour mettre en application le nouvel Ordre mondial tel que je l'envisage. Ensuite il s'assure que tout le monde ait un texte et connaisse son rôle. Il leur dit comment le dire et quand le dire. Comment s'habiller et (en me tapotant la tête) comment se coiffer. Il fait en sorte que chaque chose et chaque personne soient en place et il crie à tue-tête, "Action! " » Reagan a crié en se servant de ses mains comme si c'était un mégaphone et a discouru, « Le monde entier est une scène. Je suis le Magicien. Mais il fait la mise en scène du spectacle afin que tu fasses bien attention et que tu apprennes bien ton rôle d'après ses instructions. »

Cheney l'a interrompu, « George et moi, nous allons travailler en étroite collaboration sur quelques projets simultanément, et quand tu le verras, tu me verras. Quand on te donne des ordres de sa part, on te les donne de la mienne. »

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« Elle connaît la chaîne de commandement, Dick », a introduit Reagan, en parlant de sa façon de voir qui commandait, et dans quel ordre. Le président, le vice-président, Habib, Cheney, Byrd, etc. pouvaient bien être la chaîne de commandement dans l'esprit de Reagan, mais la définition de Cheney était nécessaire à ma compréhension. De mon point de vue, la chaîne de commandement était manifestement Bush, Cheney, Habib, Reagan, Aquino et en dernier lieu, à égalité avec celui qui me manipulait, Houston, on trouvait Byrd, tout ceci sous réserve de modification à n'importe quel moment donné. Cheney a juste roulé des yeux à la remarque de Reagan et n'a pas cessé de le faire alors qu'il reprenait, « En ce moment, on est en train de mettre en place un décor et tu seras guidée par le vice-président sur la manière exacte dont il veut que tu joues ton rôle dans la préparation du terrain pour le rôle du Mexique dans le nouvel Ordre mondial. »

Reagan a renchéri, « Avec le nouvel Ordre mondial, il y aura la paix mondiale. En plaçant à un endroit stratégique un Patriote américain dévoué à la cause de la propagation de la démocratie dans toutes les parties du monde, nous pouvons influencer l'opinion de chaque dirigeant national et lui décrire un tableau de la liberté et des valeurs américaines qu'il n'oubliera jamais. Il le diffusera dans le peuple et toute la planète sera animée par un seul esprit - un seul but - une seule cause. La Liberté. De temps en temps, tu parleras en mon nom avec certains de ces amis et de ces dirigeants. »

Bush est retourné discrètement à la réunion, sans Kelly. Cheney a continué, « Prise en compte de mes ordres et de ceux de ton nouveau directeur - le vice-président. Leçon numéro un. Tu connais Miami Vice. Des agents des stups infiltrés qui prennent le contrôle de l'industrie de la drogue. Un vice-président est exactement ça - un agent des stups infiltré qui prend le contrôle de l'industrie de la drogue - pour le président. »

Bush a élevé la voix. « Le Mexique est un problème. Ils ont plein de drogue, mais ni les cerveaux ni les moyens pour la vendre à l'extérieur de leur propre pays. Aussi comment pouvons-nous prendre le contrôle de leur industrie de la drogue (en pleine croissance) alors que nous ne pouvons même pas y mettre la main dessus? C'est ton devoir en tant que citoyenne américaine d'ouvrir les voies et de faire naître la liberté de la pauvreté dans toute leur nation en leur offrant de l'argent comme un moyen d'attirer leur industrie de la drogue tout droit entre nos mains en l'amenant directement jusqu'à nos portes. »

« Opération "Greenbacks for Wetbacks" », [Ndt: jeu de mots: des dollars, dont le dos (back) est vert (green) pour des ouvriers agricoles clandestins mexicains dont le dos (back) est humide (wet) de sueur] a dit Cheney, en riant. Bush a ri avec lui.

Bush a retrouvé son calme pour conclure, « Ta mission commence à Miami avec NCL (Norwegian Caribbean Lines) et se terminera lorsque tu rentreras du Mexique avec des nouvelles de ta réussite. »

Cheney a attiré mon attention avec un geste de la main qui a détourné mon regard de Bush pour le diriger vers le sablier, lequel se vidait rapidement. Dès ce moment-là je me suis trouvée dans un état de transe profonde et j'ai complètement perdu le contact avec mon environnement tandis qu'on faisait devenir ma transe encore plus profonde d'une manière intemporelle pour une programmation supplémentaire. J'ai quitté la Maison Blanche avec un message pour le vice-président du Mexique, Carlos Salinas de Gortari, de la part du vice-président des États-Unis, et avec une enfant très malade.

1 M. Roger s'exprime grâce à des marionnettes dans son spectacle, et l'un de ses personnages-clés du Pays des Chimères est le roi Vendredi XIII.

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CHAPITRE 20

NOUVEL ORDRE MONDIAL DE LA ROSE

Me sentant encore droguée suite à la séance de programmation que Bill Bennett m'avait inculquée au tout proche Centre Goddard pour les Vols spatiaux, j'ai assisté plus tard dans la soirée à un cocktail de la Maison Blanche comme on m'en avait donné l'ordre.

Habillée « à l'Ordre », je portais une robe noire moulante qui était froncée sur une seule hanche ornée de rubis, et j'avais dans les cheveux une barrette représentant une rose rouge. « Le Patron l'a demandée », a dit mon escorte des Services secrets au majordome alors qu'il me laissait à la porte. Les lumières étaient faibles et l'atmosphère était protocolaire tandis que le majordome me faisait traverser la foule exceptionnellement nombreuse des personnes présentes. Il m'a lâché le coude, me dirigeant dans la direction du président de l'époque, Ronald Reagan.

Alors que je marchais à travers la foule vers Reagan, j'ai vu des visages familiers qui avaient des liens avec « l'Ordre de la Rose ». 1 De l'autre côté de la salle, Bill et Bob Bennett étaient en train de rire avec Dick Cheney. Dick Thornburgh, qui était à l'époque Gouverneur de la Pennsylvanie, avait engagé la conversation avec le sénateur Arlen Spector. À l'extrême limite de ma vision périphérique élargie, j'ai vu George Bush en train de parler avec sa confidente de l'ONU, Madeleine Albright. 2 Sachant que je pouvais le voir comme si j'avais des yeux derrière la tête, Bush m'a discrètement fait signe de les rejoindre.

« Tu connais Madeleine Albright », a commencé Bush. Utilisant de façon experte la terminologie des croyances des Jésuites catholiques qu'on m'avait inculquées auparavant, il a poursuivi, « Elle est la révérende mère de toutes les sœurs (les esclaves). Elle est si proche de Dieu qu'un ordre reçu de sa part est un ordre de Lui. » Albright a pouffé de rire, apparemment impressionnée par la manipulation « spirituelle » du verbiage de programmation de Bush. « Elle a fait son chemin à l'ONU grâce à moi pour mettre en place le processus de paix du nouveau Monde. »

Albright m'a dit, « Il parait qu'on fait tourner le monde en te faisant tourner la tête. »

« Qui vous a dit ça? » a demandé Bush.

« Larry Flynt, à cause de son séjour en Jamaïque », 3 a-t-elle rapidement expliqué.

Bush a levé la main, apparemment écœuré à l'idée de relations sexuelles avec quelqu'un qui a un âge à deux chiffres. « Épargne-moi ça », a-t-il dit.

« C'est mon travail », a dit Albright d'un ton neutre avec un sourire de fierté. Elle m'a chassée en me disant avec condescendance, « Je te verrai demain au bureau de l'OEA (Organisation des États américains). À présent, tu vas jouer ailleurs. » Remarquant que l'imprécision de ses ordres me laissait littéralement dans l'incapacité de déterminer à quel saint me vouer, elle m'a fait remettre le cap sur la direction de Reagan.

Reagan portait un complet bleu marine sombre et une cravate de soie rouge. Son bouton de rose rouge 4 à la boutonnière m'a commutée instantanément en mode esclave sexuelle de type « Ordre de la Rose » jésuite. « Tiens! Bonjour, Chaton! » a dit Reagan, en me soufflant au visage son haleine chargée de cognac alors qu'il se penchait pour me baiser la main.

« Oncle Ronnie... » ai-je dit, en répondant d'une manière sexuelle comme on m'avait conditionnée à le faire.

Reagan s'est tourné vers l'homme qui était à côté de lui et a dit, « Brian, c'est l'un de ces bienfaits supplémentaires du nouvel Ordre mondial dont je te parlais. Chaton, je te présente Brian Mulroney, le Premier ministre du Canada. »

Les connotations de mon expérience d'enfance avec l'ancien premier « ministre » du Canada, Pierre Trudeau, suggéraient que Mulroney était jésuite - comme l'était le mode sur lequel je fonctionnais. Lui aussi, il avait une rose rouge à la boutonnière, ce qui indiquait son implication et son engagement dans l'Ordre de la Rose.

« Je suis enchantée de vous rencontrer, Monsieur », lui ai-je dit en lui tendant la main.

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« Tout le plaisir est pour moi », a dit Mulroney en me baisant la main. « Je te prie de m'appeler Brian. »

« Oui, Monsieur, Brian », ai-je répondu, la tête me tournant encore à cause des drogues de synthèse de la NASA.

Avec un petit rire mais en insistant, Mulroney a réaffirmé, « Je ne suis pas un Monsieur. »

Reagan a sauté sur l'occasion, « Il est Premier ministre, ce qui veut dire qu'il est plus important qu'un ministre ordinaire, et certainement plus important que n'importe quel Monsieur. Brian est mon ami. »

« Oh, Brian », ai-je dit, comprenant enfin.

« O'Brien est le nom de son père », a dit Reagan à Mulroney. « Elle est de descendance irlandaise et elle est originaire du Michigan. »

Brian s'est tourné vers moi, « Dernièrement, j'étais dans ton coin, ici - dans l'une de mes escapades favorites - sur l'île Mackinac. »

« L'île Mackinac a été son point de lancement dans le projet », a expliqué Reagan dans les termes utilisés par ceux qui sont familiers avec les opérations de contrôle de l'esprit. Mulroney était apparemment au courant du fait que j'étais sous contrôle de l'esprit et il me lorgnait comme si j'étais une marchandise. Reagan a remarqué son intérêt et s'est mis à se comporter comme s'il était un proxénète. « Je te recommande chaudement de l'emmener avec les autres. Elle sera pour toi un excellent jouet à utiliser dans n'importe quelle position. Et il n'y a pas de problème de sécurité. Sa tête est dans les éthers et si tu reviens demain, elle ne saura pas te distinguer du visage que l'on peut imaginer en regardant la lune. Je te donnerai les clés plus tard. »

Utilisant habilement les signaux et les déclics de l'Ordre de la Rose, Mulroney a dit, « Donne-moi seulement la clé de son cœur, et elle sera mienne. »

« Tu sais très bien comment fonctionne le monde », a commenté Reagan.

« Il faut que je domine parfaitement bien la situation. C'est un nouvel Ordre mondial », a dit Mulroney d'un ton neutre.

Alors qu'un garde m'emmenait, j'ai entendu Reagan dire à Mulroney, « Tu seras bientôt aux anges. »

J'ai été fouillée par des gardes du corps canadiens en uniforme et on m'a dirigée vers l'une des nombreuses chambres à coucher de la Maison Blanche. Lorsque j'ai ouvert la porte, j'ai vu trois esclaves sexuelles blondes qui se déshabillaient et qui préparaient le lit - dont l'une était mon amie intime ainsi que l'esclave du sénateur Arlen Spector.

J'ai appelé mon amie sur un ton animé. « Qu'est-ce que tu fais ici? » lui ai-je demandé alors que nous nous embrassions.

« Petit monde », a-t-elle dit, comme chaque fois que nous étions expédiées ensemble en divers endroits pour de la prostitution et / ou de la pornographie. Cette expression universelle était souvent employée entre ceux qui connaissaient bien le programme de contrôle de l'esprit basé sur le tout petit Monde développé par Disney.

J'ai encore embrassé mon amie. « Oh là là, le monde est petit! Ça me fait plaisir de te voir ici. » Je n'avais aucune idée de la situation difficile dans laquelle nous étions et je ne pouvais pas voir au-delà du moment présent.

« Diable, les filles! Que le monde est petit! » Mulroney est entré et a marché à grands pas à travers la pièce, en jetant son manteau sur une chaise et en dénouant sa cravate. « Regardez comme tout devient de plus en plus petit tandis que nous nous éloignons de plus en plus comme une fusée. » Il a enlevé rapidement ses chaussures, ses bretelles et son pantalon tandis qu'il continuait ses métaphores hypnotiques. « S'élançant à travers l'océan d'espace noir. Alors que le monde devient de plus en plus et de plus en plus petit, puis qu'il sombre dans l'océan noir de l'espace. » En enlevant son caleçon, il a annoncé, « Je vous ai amenées ici dans un but... » et il a entrepris d'accéder à notre programmation sexuelle.


Rétrospectivement, je sais que ce n'était pas une coïncidence si mon amie et moi, nous avions été rassemblées pour satisfaire la perversion de Brian Mulroney pour les esclaves sous contrôle

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de l'esprit. Soumises à un programme miroir identique, nous procédions à l'unisson. La délicate rose rouge tatouée sur le poignet gauche de mon amie signifiait son asservissement au (nouvel) Ordre (mondial) de la Rose auquel Mulroney appartenait.

Mon amie et sa petite fille auraient souvent été transportées de l'autre côté de la frontière américano-canadienne, aux chutes du Niagara, pour être prostituées à Mulroney. Les abus sexuels perpétrés sur sa chère enfant étaient utilisés comme traumatisme de base pour maintenir le contrôle de son esprit, tout comme les abus sexuels sur Kelly me traumatisaient. Mulroney avait auparavant accédé à ma programmation sexuelle et à celle de mon amie aux chutes du Niagara - ainsi qu'à celle de nos filles - pour satisfaire ses perversions qui tombent sous le coup de la loi comme si « les affaires continuaient comme d'habitude ». Aurais-je été capable de relier les événements, j'aurais éprouvé un immense soulagement de savoir que nos filles n'aient pas été forcées de participer à ses violences sexuelles cette fois-là.

« Mission » accomplie, j'ai remis ma robe et je me suis préparée à partir. Mulroney m'a désignée du doigt et m'a dit à mots couverts, « Je te reverrai dans les parages. Peut-être, je te verrais dans l'île Mackinac. Il se peut que ce soit quelque part dans le temps. » En trois lignes, Mulroney avait habilement lié le moment immédiat aux signaux de mon enfance et aux opérations actuelles concernant l'ALENA au Mexique, tout en m'ayant préparée pour ma prochaine rencontre avec lui sur l'île Mackinac.

1 « L'Ordre de la Rose » était l'emblème de ceux qui implantaient le nouvel Ordre mondial. « Des ordres de la Rose » étaient des ordres de George Bush.

2 Reagan m'avait d'abord présentée à l'ambassadeur auprès de l'ONU, Madeleine Albright, car elle devait être « mon mentor » dans les opérations des Jésuites aux Antilles. « Madeleine Albright est une Sainte », m'a dit Reagan, déterminant ainsi l'image que je devais avoir d'elle. « La Mère Térésa des Antilles. »

3 Pendant que j'étais à la Jamaïque sous la directive d'Albright (par l'intermédiaire de Bush), les photographes de Larry Flynt ont profité de ma présence pour utiliser les pittoresques chutes de la Dunns River comme arrière-plan pour des photos pornographiques destinées à être utilisées dans Hustler.

4 La rose rouge de Reagan déclenchait un mode sexuel habituellement utilisé pour compromettre / soumettre à un chantage des dignitaires et verrouiller ainsi leur loyauté envers l'Ordre de la Rose.


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CHAPITRE 22

MA CONTRA-BUTION

Les relations entre les États-Unis et le Mexique s'épanouissaient dans les succès des travaux préparatoires de l'ALENA, tandis que les différends politiques relatifs au Nicaragua demeuraient un point mineur de discorde. Depuis que la branche des Jésuites qui constitue les services secrets catholiques du Vatican travaillait en étroite collaboration avec les services secrets des États-Unis pour instaurer le nouvel Ordre mondial, elle se servait de son influence bien établie au Mexique et au Nicaragua pour offrir un terrain d'entente pour des « relations diplomatiques ». Le fait d'avoir été victime du contrôle de l'esprit à la fois de la part de la CIA et de celle des Jésuites depuis l'enfance, ainsi que mes précédentes « relations diplomatiques » au Mexique m'ont imposée dans le rôle de messagère et de prostituée pour le Nicaraguayen Daniel Ortega.

Les Combattants nicaraguayens de la Liberté du président Reagan étaient-ils des combattants DE la liberté ou POUR la liberté? Ma vie lorsque j'étais sous contrôle de l'esprit me rendait incapable de me poser de telles questions. Néanmoins, j'avais une « passion programmée qui brûlait dans ma poitrine » pour les Contras, comme on me l'avait patriotiquement inculquée grâce à la torture, lorsque je me suis embarquée dans ma « mission de maintien de la paix » au Nicaragua pour le compte de Reagan vers la fin de l'été 1985.

Je suis montée à bord de NCL comme d'habitude pour arriver à ma destination convenue. Comme le Nicaragua n'était pas une escale de NCL, j'ai pris l'avion au Yucatan, au Mexique, pour une piste d'atterrissage militaire isolée de Managua. C'est dans cette petite clairière au sommet d'une montagne que j'ai rencontré le Commandant Daniel Ortega, ainsi qu'il en avait été convenu par l'intermédiaire du Vatican.

J'étais opportunément vêtue d'un short, avec mes longs cheveux blonds tirés en arrière pour former une tresse à la française. La tenue d'Ortega, elle aussi, reflétait l'allure décontractée de la rencontre. Son uniforme militaire brun clair était usé jusqu'à la corde, et était dépourvu de tout insigne protocolaire. Les lunettes de soleil rose sombre à travers lesquelles il me regardait n'avaient apparemment pas changé sa vision pessimiste de la « noble cause » qu'il prétendait représenter. En homme peu loquace, il m'a accueillie en me donnant un ordre, « Venez avec moi. » J'ai roulé avec lui en silence alors qu'il conduisait une jeep sur une courte distance à travers la piste d'atterrissage vers une petite maison blanche en bois, bien entretenue et à deux étages.

Alors que nous nous étions arrêtés en face de la maison, Ortega m'a dit d'une voix triste et lente, « J'ai des besoins comme n'importe quel homme. Mais je me sens comme une putain d'avoir accepté l'offre de votre président. »

Sa chambre était propre et fonctionnelle, avec de nombreuses armes d'assaut éparpillées. Je n'ai vu ni confort moderne ni effets personnels, mais Ortega avait l'air d'être chez lui, dans son environnement.

Le comportement d'Ortega était celui d'un homme qui s'est abstenu de relations sexuelles plus longtemps que la plupart de ceux qui sont dans sa position politique. Alors qu'il déboutonnait lentement sa chemise, j'ai remarqué un médaillon catholique sur lequel il y avait le symbole jésuite secret de l'Ascension et de la Chute, un accessoire courant chez les barbouzes jésuites. Il s'est assis dans un fauteuil en osier alors que je me conformais à son invitation silencieuse en lui donnant du plaisir avec ma bouche.

Tandis qu'il fumait cigarette sur cigarette, je me suis assise en face de lui sur le plancher, et je lui ai transmis le message de Reagan comme c'était programmé. J'ai commencé, « Le président Reagan m'a envoyée en tant que messagère de paix. »

Il m'a interrompue avec désinvolture, en me regardant lentement de haut en bas. « J'aimerais manger un morceau dans quelques minutes. »

J'ai repris, « Votre peuple a supporté de nombreuses souffrances tout au long de son existence. Il (Reagan) veut seulement vous aider. Le peuple américain veut voir

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la paix et la liberté dans votre pays. Les relations entre les États-Unis et le Mexique se renforcent de jour en jour, et il est impératif pour nous de résoudre votre conflit afin de résoudre notre propre conflit avec le gouvernement mexicain. Nous sommes tombés d'accord avec le Mexique pour affirmer que le conflit nicaraguayen doit être résolu tout autant pour le bien de votre peuple que du nôtre. Je suis ici pour une mission de maintien de la paix représentative d'un terrain d'entente appuyé par le Vatican et partagé àla fois par les gouvernements mexicains et américains, pour vous éclairer sur nos intentions pacifiques. Les efforts conjoints des missions catholiques américano-mexicaines consistent à promouvoir la paix dans votre région, seulement en améliorant votre culture. Le monde est en train de se tourner rapidement vers la paix mondiale, et le Nicaragua est très en retard sur son temps - depuis la technologie et l'éducation jusqu'aux idéaux du gouvernement et aux convictions religieuses. Le pape Jean-Paul II est en train de prier avec zèle pour la paix dans votre région, et il s'est joint au président Reagan, au Mexique, et même à l'Union soviétique pour garantir cette paix. Il (le pape) connaît vos objectifs, il connaît vos motivations (Je me suis penchée en avant, presque en chuchotant, influencée par la conviction qu'on m'avait inculquée), il connaît votre âme. Nous pouvons tous travailler en collaboration pour parvenir à cette paix. Le Nicaragua, si petit qu'il puisse être par rapport au reste du monde, est un marchepied d'une grande portée vers l'unification des puissances mondiales. Il ne peut plus être une source de dispute et de désaccord. Votre peuple doit être libre. Libre d'adorer Dieu grâce à votre sainte Église catholique. C'est d'abord et avant tout ce qui est àl'ordre du jour du président Reagan, aussi bien qu'à celui du pape et à celui du président de la Madrid. Un nouvel Ordre mondial est en train de se mettre en place avec ou sans vous; c'est un processus inéluctable qui ne peut être interrompu. Tout un nouveau monde de paix nous attend tous. Je vois que vous êtes un homme pacifique. Cela émane de votre être. Le sang a coulé si fort à travers votre pays que votre peuple s'y noie dedans. Ensemble, nous pouvons cautériser cette plaie. Remplacer le flot de sang par un flot d'argent. L'américanisation peut moderniser votre technologie à un rythme rapide. Votre peuple pourrait participer aux marchés mondiaux dès le tournant du siècle. Votre future position mondiale a déjà été déterminée par la seule géographie. Laissez-vous porter par elle. Faites sortir votre peuple de la pauvreté. Éduquez-le d'une manière propice à la position qui lui est destinée sur les marchés mondiaux. Libérez-le de ses luttes qui l'ont emprisonné pendant si longtemps. Permettez aux cloches des églises de résonner des bonnes nouvelles de paix, de prospérité et de liberté. Vous pouvez réaliser tous vos objectifs pour le progrès de votre pays avec notre aide. »

Ortega a fini de fumer pensivement sa cigarette, et en a allumé une autre alors qu'il répondait avec assurance, « Dites à votre président que j'ai vu sa liberté, et que j'ai écouté ses paroles qui m'ont été présentées grâce à ce qui est encore un autre échantillon de celle-ci. Il décrit un beau tableau suspendu dans son cadre. Un tableau peut avoir l'air serein pour son spectateur pendant qu'il le regarde. Je ne peux pas adorer une image gravée, et le tableau qu'il brosse n'est que cela. Nous avons combattu trop durement et trop longtemps, répandant la sueur et le sang à travers ce pays dans nos efforts résolus pour maintenir les valeurs humaines inculquées en nous par nos ancêtres, dont la profonde sagesse leur a été donnée par les premiers missionnaires catholiques. Ces valeurs sont les mêmes que celles qui sont représentées dans le tableau brossé par le président Reagan - seulement les nôtres sont vraies. Les siennes ont seulement une valeur superficielle, comme n'importe quelle autre peinture. Si je devais céder, je serais seulement encadré dans le tableau qu'il peint, accroché à son mur comme un trophée. Je ne tromperai pas mon peuple, en dépit de ses offres de richesse et de position. Je suis fidèle à mes convictions, et quand il sera fidèle aux siennes, alors nous nous retrouverons sur un terrain d'entente et nous aurons quelque chose de solide pour en discuter. Pour l'instant, les paroles ne sont pour nous qu'une perte de temps. »

Ortega a éteint sa cigarette, et il a tiré les couvertures en arrière sur son lit. « Je vais vous emmener dans un endroit agréable. » Il a sorti de son buffet un bang (pipe à eau - l'eau sert de filtre) à opium qui avait déjà bien servi

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et il m'a tendu un tuyau. J'avais été entraînée à accepter toutes les drogues qu'on me donnait à une seule exception qui était la formellement interdite marijuana. J'ai hésité jusqu'à ce qu'Ortega m'ait assurée que c'était de l'opium. Comme la drogue produisait son effet il a dit, « Ce pourrait être le chemin de la paix mondiale. » Les rapports sexuels avec Ortega étaient au moins dépourvus de souffrance et de perversion. Contrairement à la plupart de ceux avec qui j'étais forcée d'avoir des « relations diplomatiques » pour l'administration Reagan, il s'est endormi quand il a eu fini en raison de la différence entre l'opium et la cocaïne.

Le coup de klaxon d'une jeep à l'extérieur l'a réveillé. Alors que je me préparais à partir, il m'a dit, « Attendez. » Il a pris une petite boule d'opium noir d'environ un demi-centimètre dans sa réserve personnelle, l'a enveloppé dans la cellophane de l'emballage de son paquet de cigarettes, et m'a dit, « Donnez ceci à votre président et dites-lui que vous et moi, nous avons trouvé plus de paix avec cette substance qu'il n'en répandra jamais sur la surface de son globe peint. » Alors qu'il refermait doucement la porte derrière moi, il m'a dit, « Revenez me voir quand vous aurez davantage à m'offrir. »

Je suis immédiatement rentrée en avion à Washington d'où ma « mission » avait pris naissance. Cette fois, on m'a emmenée directement au bureau de Bush, où je lui ai remis mot à mot le message d'Ortega. Éliminant la plus grande partie du dialogue, Bush m'a ordonné de remettre un message partiel à Reagan. Incapable de percevoir la teneur du message et les personnes au-delà de ma perspective limitée par le contrôle de l'esprit à « ce que vous avez besoin de savoir », j'étais loin de me douter que le message d'Ortega aurait un impact négatif. Il ne m'était jamais venu à l'esprit qu'Ortega s'était révélé être lui-même aussi hypocrite qu'il prétendait que Reagan l'était en se servant de moi comme une prostituée et une porteuse de mauvaises nouvelles tout en sachant parfaitement que je ne disposais pas du libre arbitre qui m'aurait permis de rendre le message plus acceptable. La révision par Bush du message d'Ortega a jeté de l'huile sur un feu proverbial et je ne savais même pas qu'il brûlait déjà quand j'ai remis le message à Reagan.

Bush était avec Reagan et moi dans le bureau secondaire de Reagan (au bureau ovale) à la Maison Blanche alors que je transmettais le message de la manière dont il me l'avait ordonné, « Daniel Ortega est un homme pacifique, qui recherche les mêmes résolutions des problèmes que nous. Mais il m'a dit de vous dire - (j'ai fouillé dans mon porte-monnaie pour trouver l'opium) que lui et moi, nous avons trouvé plus de paix dans cette substance - (j'ai tendu l'opium à Reagan) que vous n'en répandrez jamais sur la surface de votre globe peint. »

Bush a souri alors que le visage de Reagan virait instantanément au rouge pivoine de rage. Bush a ensuite réagi et s'est levé de son fauteuil en le faisant tourner, il a pris l'opium pour lui, et a dit à Reagan, « Calme-toi. Il y a plus. Il semble que la seule paix qu'elle ait répandue était entre ses jambes. » Il s'est dirigé vers la porte, en disant, « Je reconsidérerais ma position si j'étais dans tes chaussures - en considérant ce qui est en train de remplir les siennes. » Bush a laissé tomber son regard le long de l'arrière de mes jambes jusqu'à mes chaussures alors qu'il poursuivait, « C'est en train de dégouliner des deux côtés de ses jambes. »

Manifestement je n'aurais pas à subir de rapports sexuels avec Reagan ce jour-là. J'en ai été vite dispensée et j'ai pris l'avion pour retourner au Mexique, où j'ai repris ma croisière avec NCL. Avec ma mémoire des événements qui était compartimentée grâce à la haute tension, je croyais à ce moment-là que je n'étais jamais partie du tout.

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CHAPITRE 24

UNE PETITE « À LA CHASSE NOUS IRONS &raquo

Le 4 décembre 1986, j'ai dépassé les 29 ans. Habituellement les esclaves sous contrôle de l'esprit étaient mises au rebut, « éjectées du train de la liberté », à l'âge de 30 ans; mais j'ai argumenté avec Houston quand il m'a dit qu'il ne restait plus qu'un an aux membres du gouvernement qui me faisaient subir des sévices sexuels pour « achever de me consommer ». Je n'avais eu aucune conscience de l'écoulement du temps, et je croyais que je n'avais encore que 24 ans. Sans se soucier de ce que je croyais, ceux qui me faisaient subir des sévices sexuels allaient faire de leur mieux pour « achever de me consommer » physiquement et psychologiquement avant même qu'un seul mois ne se soit écoulé.

J'étais à Washington en voyage de routine, ce qui incluait d'être prostituée au président Reagan. Les joues « d'Oncle Ronnie » étaient empourprées par l'excitation et le cognac lorsqu'il m'a dit, « Je prends toujours deux semaines de congés à Noël pour retourner en Californie. » Reagan s'est interrompu pour se mettre à chanter une vieille chanson à danser hollywoodienne, « Californie, me voilà! J'arrive... » La Maison Blanche, affirma-t-il, lui avait toujours paru comme une prison, et il avait l'air vraiment excité à l'idée de son prochain voyage. « Tous les ans, j'attends avec plaisir ce voyage parce qu'il me permet de revoir de vieilles connaissances. Bien sûr, je travaille pendant que je suis là-bas - le travail d'un président n'est jamais fini - mais au moins j'y suis. Il est temps que tu voies l'endroit que j'appelle chez moi. » Ensuite, citant le Magicien d'Oz, il a dit, « "Il n'y a pas de meilleur endroit que chez soi." Et tu vas voir pourquoi. Dis-le avec moi, "Il n'y a pas de meilleur endroit que chez soi. Il n'y a pas de meilleur endroit que chez soi". » Puis il m'a donné des instructions en langage codé d'Oz, « Claque des talons. Il n'y a pas de meilleur endroit que chez soi. »

Il m'a semblé qu'une lumière blanc bleuté explosait dans ma tête, comme si j'étais atteinte par un courant électrique alternatif à basse tension mortel. Reagan était « en train de mettre en place le décor » pour une tentative de glissement du temps destinée à brouiller ma mémoire, qui devait être réactivée lors d'une prochaine séance que j'aurais avec lui à Bel Air, en Californie. Le camping-car était bourré d'une paroi à l'autre, et les parois étaient bourrées de cocaïne lorsque Houston, Kelly, et moi, nous sommes partis pour notre long trajet vers la Californie. Houston avait prévu plusieurs « haltes touristiques » le long du chemin qui se sont révélées aussi cauchemardesques que l'épreuve californienne elle-même.


À Las Vegas, au Nevada, Houston nous a tenues occupées, Kelly et moi, en nous prostituant à toute personne qu'il savait être « au courant » et qui assistait à la convention annuelle de l'Association de Country Music. Lasse d'être renvoyée de chambre en chambre, j'&eacutetais de retour au vestibule, littéralement en train d'essayer de retrouver mon souffle lorsque j'ai vu Michael Danté. Il portait un coûteux complet de soie gris clair et des lunettes noires, ressemblant davantage à un agent du FBI qu'à un gangster, et il était en train de m'attendre, appuyé contre un pilier. Les mots « Notre amour » qu'il employait au téléphone dans des intentions de conditionnement mental n'étaient certainement pas de mise en ce moment-là. « Tu es en retard », a-t-il grommelé en regardant sa montre. Il m'a ordonné d'entrer dans les toilettes des dames afin d'activer la programmation désirée en me faisant « me perdre » dans les miroirs sans fin qui recouvraient les murs. Ayant mis mon esprit dans les dispositions qu'il désirait, il m'a ensuite utilisée et dirigée dans de la pornographie commerciale. Plus tard, il a fait la même chose avec Kelly. Au Grand Canyon, Houston nous a traumatisées, Kelly et moi en prévision des prochains événements en Californie. Tout en descendant en randonnée dans le canyon, Houston a entrepris, en utilisant l'hypnose, d'ancrer tous les événements du voyage derrière la programmation d'anéantissement et d'aliénation mentale qu'il nous faisait subir. Lorsque nous nous sommes arrêtés pour un déjeuner de fin d'après-midi dans le Canyon, Kelly s'est effondrée en état de choc, incapable de manger. Houston était content parce qu'il « allait pouvoir tout manger tout seul ». Je subissais, comme

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d'habitude, la privation d'eau et de nourriture. J'avais tellement soif qu'il m'était impossible de manger. L'état de Kelly amplifiait mon propre sentiment de terreur, et je faisais tout ce que je pouvais pour empêcher Houston de lui faire subir plus de choses qu'elle n'en pourrait supporter. Je l'ai portée pendant des heures tout le long du chemin en sortant du canyon, sans m'arrêter pour me reposer. Dans mon esprit, je désirais croire que j'étais réellement capable de la protéger. Le fait est que Houston était en train de m'épuiser physiquement pour s'assurer que je ne puisse pas la protéger lorsque nous serions arrivés à notre prochaine destination : le Mont Shasta et le lac qui porte le même nom, en Californie.

George Bush était très actif, que ce soit dans les complexes d'abris fortifiés de Lampe au Missouri ou dans ceux de Shasta en Californie. Tout comme celle de Lampe, la couverture de Shasta était la musique country. D'après tous les gens que je connaissais, l'auteur compositeur interprète Merle Haggard était censé mener le bal au Lac Shasta, détournant ainsi complètement l'attention du tout proche complexe du Mont Shasta. Shasta était le plus grand camp secret d'esclaves soumis au contrôle de l'esprit parmi ceux que je connais. Dissimulés dans les corrals entourées de clôtures militaires des collines boisées, une énorme flotte d'hélicoptères noirs sans immatriculation et plus de robots militaires soumis au contrôle de l'esprit que je n'en ai vu dans tout Haïti. Cette opération militaire secrète servait ses propres desseins, pas ceux de l'Amérique. On m'a dit et j'ai pu entendre que c'était une base pour la future Force de Police multijuridictionnelle; pour faire respecter la loi et l'ordre au sein du nouvel Ordre mondial. Au centre du complexe de haute sécurité, se trouvait une autre zone très bien gardée et entourée de clôtures militaires qui était considérée comme une sorte de « Camp David « pour ceux qui dirigent notre pays. George Bush et Dick Cheney y partageaient un bureau, et revendiquaient les bois situés à l'extérieur du périmètre comme leur propre terrain de chasse où ils jouaient au « Jeu le plus dangereux ». Sur la base des conversations que j'ai surprises entre eux, c'était cette expérience militaire de police mondiale qui avait valu à Dick Cheney sa nomination comme ministre de la Défense 1 du gouvernement Bush.

Houston est resté à la station du Lac Shasta d'Haggard tandis que Kelly et moi, nous étions emmenées en hélicoptère au Mont Shasta pour notre rendez-vous programmé avec Bush et Cheney. Le pilote de l'hélicoptère a attiré notre attention sur les clôtures militaires qui entouraient le périmètre extérieur du complexe. Il arrivait rarement que les pilotes ne parlent à l'une de nous deux, mais celui-ci souriait d'un air malicieux alors qu'il nous disait que nous aurions besoin de connaître les limites extérieures pour Le Jeu le plus dangereux.

Dès que nous sommes arrivées au sanctuaire intérieur de Bush et de Cheney, j'ai remarqué que George Bush Junior était avec eux. Je savais par expérience personnelle que Junior se tenait près de son père pour le couvrir chaque fois que Bush pouvait devenir incapable de remplir sa fonction à cause des drogues ou avait besoin d'un soutien criminel. Il est devenu clair que Junior était là pour rendre les deux services pendant que son père et Cheney profitaient de leurs vacances de travail.

Surexcités par les drogues, Cheney et Bush étaient impatients de partir à la chasse de leur proie humaine dans « Le Jeu le plus dangereux ». Ils m'ont accueillie avec les règles du jeu, m'ont demandé de me mettre à poil malgré les vents froids de décembre, et m'ont dit en langage codé d'Oz de « prendre garde aux lions, aux tigres et aux ours ». La vie de Kelly est devenue l'enjeu, comme d'habitude, ce qui a ranimé mon instinct maternel naturel ainsi que celui qui avait été programmé d'une manière excessive. Des larmes ont coulé silencieusement le long de mon visage au moment où Bush m'a dit, « Si nous t'attrapons, Kelly sera à moi. Alors cours, cours aussi vite que tu le peux. Je t'aurai et ta petite fille, elle aussi, parce que je le peux, je le peux, je le peux. Et je le veux. »

Cheney, me défiant de répondre, demanda, « Des questions? »

Je répondis, « Il n'y a nulle part où s'enfuir parce qu'il y a une clôture - du genre que je ne peux pas franchir. Je l'ai vue. »

Plutôt que de m'agresser physiquement, Cheney s'est moqué de mon sentiment de « nulle part où aller, nulle part où se cacher » et il a expliqué qu'un ours avait fait un trou quelque part dans la clôture, et que tout ce qu'il me restait à faire c'était de le trouver. Il a abaissé son fusil vers ma tête et a dit, « Que les jeux commencent! Partez! »

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Ne portant que mes tennis, j'ai couru à travers les arbres aussi vite et aussi loin que j'ai pu, ce qui n'était pas très loin du tout. Bush se servait de son chien de chasse pour le gibier à plumes [Ndt : bird dog en anglais] pour me suivre à la piste, le même dont on s'était servi récemment avec moi dans un tournage de zoophilie en guise de plaisanterie sur l'expression « Byrd-dog » au dépens de mon propriétaire, Robert C. Byrd. Une fois attrapée, Cheney a de nouveau pointé son fusil sur ma tête alors qu'il se penchait sur moi, en ayant l'air d'être au chaud dans son manteau en peau de mouton. Bush m'a ordonné de prendre sexuellement son chien pendant qu'ils regardaient, puis Cheney et lui m'ont fait revenir à leur cabane.

J'ai remis mes vêtements et je me suis assise dans la partie de la cabane qui servait de bureau en attendant les instructions. J'ignorais absolument où se trouvait Kelly et je n'en ai pas su davantage après coup. Bush et Cheney étaient toujours dans leurs vêtements de chasse lorsque la séance de programmation a commencé. Bush a dit, « Toi et moi, nous sommes sur le point de nous embarquer dans Le Jeu le plus dangereux des relations diplomatiques. C'est mon jeu. Tu suivras mes règles. J'aurai le net avantage de te faire la chasse avec mon Œil dans le Ciel (satellite). Je surveillerai les moindres gestes que tu feras. Aussi longtemps que tu joueras le jeu selon mes règles et que tu ne commettras aucune erreur, tu vivras. Une seule erreur et je t'aurais, ma jolie, et ta petite fille aussi. Tu mourras, et Kelly devra jouer avec moi. Je préfère que ce soit comme ça. Ensuite ce sera son Jeu le plus dangereux. Les cartes sont truquées en ma faveur parce que, eh bien, c'est mon jeu! Es-tu partante? »

Il n'y avait pas d'alternative. J'ai répondu comme on m'avait conditionnée à le faire, « Oui monsieur ! Je suis partante. » Les parallèles avec Le Jeu le plus dangereux qui venait juste d'avoir lieu dans les bois étaient délibérés et intentionnels pour rendre « impossible » tout rappel de souvenirs par suite de brouillage par crypto amnésie.

« Bien. Alors que les jeux commencent. écoute attentivement tes instructions. Tu n'as pas de marge d'erreur. » Cheney a fait basculer son « chronomètre de jeu » - un sablier. Bush a poursuivi, « Ce jeu s'appelle Le Roi et l'Œil, et voici la donne. Tu vas renforcer selon les ordres les relations diplomatiques entre le Mexique, les États-Unis, et le Moyen Orient. Ton rôle exigera un changement de visage à chaque nouvel endroit. Je planifierai ton itinéraire, je déterminerai ton rôle, et je tirerai tes ficelles. Tu prononceras mes paroles quand je tirerai tes ficelles. Il n'y a pas de marge d'erreur. »

Cheney était à moitié couché en travers du simple bureau de style militaire réglementaire, manifestement abruti par la drogue alors que Bush parlait. Ayant encore sur lui son chapeau et son manteau de chasse, Cheney a pointé son fusil sur moi depuis le bureau et m'a menacée, « Ou alors ce sera une petite "à la chasse nous irons". » Bush a donné la touche finale à la menace de Cheney en chantant, « Nous attraperons un renard pour le mettre dans une caisse et le faire descendre dans un trou. »

Bush a regardé Cheney et a éclaté de rire. De le voir vêtu de sa tenue de chasse avec un fusil à deux coups de très gros calibre à l'épaule donna l'idée à Bush de lui dire qu'il « ressemblait à Elmer Fudd » (le chasseur de Bugs Bunny).

Cheney, imitant le personnage du dessin animé, a dit, « Où est ce ouascar de ouapin? »

L'opération Le Roi et l'Œil entraînerait la participation de Philip Habib, l'envoyé numéro un de Reagan (qui selon le code secret jouait le rôle du Lapin blanc d'Alice au Pays des Merveilles avec des esclaves telles que moi-même) et du roi Fahd d'Arabie Saoudite. Aussi, quand Bush a appelé ces deux derniers « Elmer Fahd et ce ouascar de ouapin », Cheney et lui en ont pleuré de rire. étant donné que de toute façon tous les deux planaient déjà à cause de la drogue, ils eurent beaucoup de difficulté à garder leur sang-froid suffisamment longtemps pour terminer ma programmation.

1 Dick Cheney n'a pas d'états de service officiels de l'Armée des États-Unis pour justifier son poste d'ancien ministre de la Défense de notre nation sous la présidence de George Bush.

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CHAPITRE 28

« LIBRE-ÉCHANGE » DE DROGUE
ET D'ESCLAVES À LA FRONTIÈRE DE JUAREZ

Le jour suivant, Danté m'a conduite jusqu'à un manoir de Bel Aire perché sur une colline où une autre réception se déroulait. Alors que je rejoignais ceux qui s'étaient rassemblés sur la pelouse impeccable, j'ai reconnu un grand nombre des mêmes mafieux qui étaient aussi à la retraite de Malibu alias « l'Hôtel California ». C'était une réception de bienvenue pour le président Reagan qui venait juste d'arriver. Il marchait vers moi à travers le jardin avec son ami, Jack Valenti, qui était le président de la puissante Association cinématographique américaine. Reagan semblait fait pour son rôle parmi ses amis de la pègre, son manteau beige à col de fourrure drapé sur ses épaules laissant voir en dessous un costume rayé gris foncé. Rétrospectivement, il m'a laissé le souvenir de quelqu'un d'habillé comme le seul gangster que je n'ai pas été forcée de rencontrer, John Gotti. Dès que nos regards se sont croisés, j'ai été jetée à terre par une décharge blanc bleuté familière (haute tension) comme celle dont j'avais récemment fait l'expérience à Washington.

Lorsque j'ai repris connaissance et que ma vision est redevenue claire, Danté me soulevait. Reagan m'a dit, « Bien, salut Chaton. »

« Oncle Ronnie, comment se fait-il que vous soyez ici? » ai-je demandé avec une naïveté enfantine.

« L'arc-en-ciel, Chaton, l'arc-en-ciel », a-t-il répondu en langage codé d'Oz. « Je t'ai dit que je rentrais chez moi. Il n'y a pas de meilleur endroit que chez soi, et tu l'as dit avec moi. Nous voilà donc ici. J'ai gardé un petit morceau d'arc-en-ciel dans ma poche et je peux donc rentrer (à Washington) en marchant dessus chaque fois que je le veux. Je fais un vœu, je claque des talons, et me voilà parti. »

Pour le moment, Reagan parvenait à m'embrouiller les idées avec des métaphores en langage codé d'Oz, confirmant encore une fois à ma personnalité d'enfant qu'il était vraiment le puissant Magicien. Alors que nous rentrions pour une courte réunion, on a délibérément commuté ma personnalité sur celle qui s'était occupée de de la Madrid la nuit précédente.

La maison recouverte de stuc gris-blanc était décorée de moquette pelucheuse bleu présidentiel et de tons merisier foncé. Le « bureau » était petit et en outre bondé par tous ceux d'entre nous qui assistaient à la réunion. De la Madrid était confortablement assis, tout comme Jack Valenti. Je n'étais pas au courant du rôle exact de Valenti dans l'ouverture de la frontière de Juarez. Je sais seulement qu'il était bien informé sur les détails de cette réunion. Danté et moi, nous sommes restés debout puisque nous allions vite devoir partir dès que j'aurais entendu ce que Reagan, qui était en train de remuer des papiers et d'arpenter la pièce, avait à me dire.

« Eh bien! Chaton », m'a dit Reagan, « voici ton arrêt de mort: Tu disparaîtras auréolée de gloire. » Je n'étais pas surprise de recevoir la confirmation de ma mort imminente de la part de Reagan. J'avais entendu parler de mort par le feu par apparemment tous ceux qui étaient impliqués dans la mise en place du « libre-échange », grâce au Mexique, des enfants de notre nation contre de la drogue. L'utilisation par Reagan des métaphores patriotiques et des jeux de mots tandis qu'il m'informait d'un ton neutre qu'il avait ordonné ma mort reflétait son manque de respect si souvent affiché pour la vie humaine. Ce qui reflétait encore plus son tempérament, c'était que les crimes auxquels il était mêlé l'incitaient à se protéger en me « condamnant » à mort. J'avais été témoin des bases criminelles de l'ALENA, ce qui à son tour pouvait menacer la réussite de l'instauration du nouvel Ordre mondial si jamais ces secrets venaient à être révélés. Le « libre-échange » initial y compris celui de la drogue et de la traite des blanches s'étendait bien au-delà de la frontière américano-mexicaine. Il

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acheminait des enfants américains traumatisés, au comportement de robot et soumis au contrôle de l'esprit vers l'Arabie Saoudite, tout en accumulant des stocks d'armes au Nicaragua et en Iraq. Bien que je ne sois pas considérée comme étant une menace, ce qui était basé sur la conviction (erronée) selon laquelle je ne pourrais pas être déprogrammée pour retrouver le souvenir de ces événements, ma mort aurait procuré une garantie supplémentaire à ceux qui étaient impliqués. De toute façon, j'étais presque « complètement utilisée » et l'enregistrement de ma mort par le biais d'un « film porno sadique » était acceptée d'un commun accord comme étant une preuve pour de la Madrid et pour d'autres dirigeants menacés par mon existence, qu'on m'avait vraiment fait taire définitivement grâce à ma mort.

Il m'était impossible d'avoir l'idée de réagir contre « l'arrêt de mort » de Reagan. Danté a voulu s'assurer que je comprenais ce qu'il voulait dire en l'expliquant d'une manière imagée, « La prochaine fois que je ranimerai ta flamme (sexuelle), ma belle, elle te consumera, corps et âme. Et tu brûleras, ma belle, tu brûleras. Et puis je prendrai tes cendres et les disperserai au vent. Je vais te faire disparaître. Dans le film. »

En entendant quelque chose en langage codé qu'il pouvait comprendre, Valenti a ri de la tournure de phrase employée par Danté. En faisant allusion à la vieille publication trimestrielle porno dessinée au crayon bleu « Blue movies », il a ajouté, « Flammes bleues. »

Danté a ri avec lui. « Nous l'appellerons "Qui Était-Ce Dans Les Flammes Bleues?" Ou, comment "prendre d'assaut" "Celle qui mangeait de la crème"? »

De la Madrid a remarqué que Reagan ne riait pas et il a dit, « C'est comme provoquer une collision avec une Mercedes pour filmer une cascade. » Il s'est penché en avant dans son fauteuil pour être plus proche de Reagan, a baissé la voix et lui a dit, « C'est mon désir d'en avoir sept exactement comme elle qui sortent de la chaîne de montage et qui me soient expédiées préalablement à la signature de l'accord. »

Reagan a accepté, en répondant, « Ces belles gosses (blondes aux yeux bleus) qui se trouvent dans la zone de transfert vers l'Arabie Saoudite sont du haut de gamme, mais elles n'ont pas ce qu'elle a. »

« Celles qui ont deux visages sont difficiles à obtenir », a raillé de la Madrid, en faisant allusion à ma mutilation vaginale et au code de programmation présidentiel. Il a brusquement retourné son regard vers moi, s'est touché les parties et a continué de parler à mots couverts, « - d'un seul point de vue, en tout cas. Et j'aime en avoir "Une" sur laquelle je puisse "compter". »

Reagan a ri tout bas tandis que Danté a bougé les pieds et a décroisé les bras le temps de tousser pour cacher son rire. Valenti avait l'air ennuyé par les clichés ou bien il ne comprenait pas une bonne partie des phrases codées à double sens, mais à en juger d'après le ton de la réunion, c'était tout aussi bien. « J'en toucherai un mot à Bobby (Byrd) et lui ferai suivre ta commande », a dit Reagan à son homologue mexicain. « Il devrait être relativement simple d'en rajouter une pour toi toutes les deux ou trois cargaisons environ, une fois que la frontière de Juarez sera ouverte comme prévu à de telles activités de libre-échange. » Reagan parlait comme s'il était distrait et qu'il pensait à autre chose, même quand il regardait dans ma direction.

« S'il vous plaît, monsieur », ai-je commencé, « J'ai le Sceau présidentiel d'Approbation et je suis prête à remplir mon rôle. » Danté a regardé sa montre, conscient qu'il était prévu que je serai à la frontière de Juarez pour le « coup de minuit ». Reagan s'est approché pour voir le papier que j'avais reçu de de la Madrid la nuit précédente.

« D'accord. Bien, adieu, Chaton », a dit Reagan, en m'embrassant sur la joue. Il a ajouté en langage codé d'Oz, « Je te verrai de l'autre côté (de l'arc-en-ciel à Washington). Claque des talons... »

Mon univers est devenu tout noir. Quelqu'un m'avait touchée avec un puissant pistolet assommant et j'étais par terre, avec l'impression que Danté me traînait à moitié en me conduisant à sa voiture, dont le moteur tournait déjà au ralenti dans l'allée circulaire. Nous sommes bientôt arrivés près du camping-car, à la station-service qui se trouve sur Hollywood Boulevard, où il nous avait prises, Kelly et moi, plusieurs jours auparavant. Kelly était déjà dans le camping-car, en train de vomir et terriblement traumatisée. Quelqu'un l'avait convaincue qu'on m'avait tuée. Houston a entrepris de créer, en la suggérant par l'utilisation de l'hypnose, une

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« disparition du temps, » en se comportant comme si je m'étais seulement absentée pendant quelques minutes. Nous avons roulé vite, en nous arrêtant seulement pour faire le plein, afin que je sois à Juarez à l'heure convenue.

J'y ai présenté comme un robot le Sceau présidentiel d'Approbation aux fonctionnaires concernés comme prévu, ouvrant ainsi officiellement la frontière au « libre Échange » de crimes contre l'humanité. Houston et moi, nous nous sommes dépêchés de traverser la frontière de Juarez où le fonctionnaire mexicain chargé du dossier nous a retrouvés. Le garde avait l'air d'approcher de la cinquantaine, avec de rudes traits mexicains classiques. Il mesurait environ un mètre quatre-vingt et il avait les cheveux noirs, une moustache négligée, des yeux de fouine noirs et une bedaine qui dépassait au-dessus de ses courtes jambes trapues. Il parlait en espagnol avec animation, avec un ton froid et rauque dans sa voix au moment de cracher les paroles indispensables en anglais, « Donnez-moi le Sceau. » Il faisait claquer ses doigts avec impatience pour me faire dépêcher. Il a pris le Sceau présidentiel et il m'a plaqué le visage sur un petit bureau de métal nu tandis qu'il examinait attentivement le document. Même Houston était exceptionnellement silencieux pendant que ce garde pointilleux en uniforme arpentait la petite salle de la tour, en suant à grosses gouttes tandis qu'il parlait dans son talkie-walkie. Finalement, il a accédé aux codes des transactions bancaires fournis par celui qu'il a dit être George Bush junior et il les a contrôlés. Il a conclu la rencontre en tirant un pistolet assommant de son ceinturon et en s'en servant pour me donner une secousse électrique, soi-disant pour effacer ma mémoire.

J'avais la nausée et je me sentais faible à cause de la haute tension et des épreuves tandis que Houston et moi, nous revenions en traversant la frontière. Mon estomac vide grognait, ce qui a incité Houston à mentir, « Je t'avais dit de ne pas boire d'eau. » En réalité, je n'avais rien eu à boire depuis le champagne à l'hôtel California, et je n'avais rien mangé pendant plusieurs jours. J'étais complètement épuisée quand nous sommes arrivés près du camping-car, à El Paso, mais Houston était excité sexuellement à cause de la cocaïne et des événements criminels qui unissaient le Mexique aux États-Unis à la frontière de Juarez.


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CHAPITRE 29

LE LÉZARD D'AHS

Après l'ouverture de la frontière de Juarez, on m'a tenu activement occupée, selon le plan destiné à « finir de m'utiliser » avant l'arrêt de mort de mon trentième anniversaire. J'ai été soumise à une brutale « représentation de fête » (viol collectif jusqu'au seuil de la mort) dans une Loge maçonnique connue de Warren, en Ohio pour « célébrer les avantages du libre-échange » obtenus par les politicards impliqués de la Côte Est. Des centres tels que la toute proche « École de Charme » de Youngstown se sont lancés dans la production en série d'esclaves destinés à servir de fourmi dans le trafic de drogue ou à faire partie des « opérations de transe-sport » d'esclaves sexuelles sous contrôle de l'esprit. Le Mexique n'était pas le seul pays qui recueillait les avantages économiques du libre-échange criminel.

Après le supplice de Kelly en Californie, Danté et Houston l'exploitaient de façon criminelle pour littéralement « tout ce qu'elle pouvait donner ». Par la suite, elle a manqué une quantité considérable de jours de scolarité. Quand elle était à l'école, elle rencontrait des difficultés avec son entourage. Ces facteurs ont suscité des plans pour l'envoyer dans une école catholique locale l'année suivante, où son comportement insolite serait surveillé et dissimulé.

Peu de temps après, le sénateur Byrd est venu à Nashville pour jouer du violon au Grand Ole Opry [Ndt: émission de musique country] ainsi que, comme me l'a fait remarquer celui qui me manipulait, Houston, pour « jouer avec moi » à l'Hôtel Opryland. Byrd m'a expliqué qu'il était devenu risqué d'être en étroite relation avec moi en raison de mes rôles dans l'Iran-Contra et l'ALENA, et qu'il devrait donc prendre ses distances à mon égard. Il a passé la majeure partie de « notre dernière nuit ensemble » à travailler à ses mémoires pour un livre volumineux sur la Constitution des États-Unis qu'il était en train d'écrire (à présent édité aux frais du contribuable), et qui se concentre sur ses interminables discours (obstructionnistes) au Sénat.

Byrd a entrepris de renforcer mon « contrat programmé de loyauté » envers lui pour que je me tienne tranquille « jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Il m'a dit, « Si ça ne tenait qu'à moi, je te laisserais vivre. » Il m'a longuement parlé de la manière dont de la Madrid et Reagan avaient tous les deux empiété sur le temps que nous avions passé ensemble. L'amertume qu'il ressentait à cause des contrôles plus profonds qu'ils exerçaient sur moi était évidente quand il se moquait de leurs rôles autoproclamés de Magicien et de Lézard d'Oz. La fascination qu'exerçait sur de la Madrid les esclaves américains sous contrôle de l'esprit lui aurait inspiré de combiner les thèmes d'extraterrestres ayant l'aspect d'un lézard chers à Bush et ses soi-disant théories sur le lien entre les racines mayas et l'homme lézard avec les thèmes dans le style d'Oz de Reagan pour revendiquer le rôle de Lézard d'Ahs. D'après les divagations de Byrd, il apparaissait que ses railleries au sujet de leurs rôles étaient dues au fait qu'ils avaient décidé comment « son » esclave allait mourir, et qu'elles n'avaient rien à voir avec le fait de se soucier du fait que je devais être tuée. Byrd a poursuivi toute la nuit sa comédie de programmation de « liens affectifs ». Il a joué de son violon et il a chanté « pour moi » au lieu de ses atroces coups de fouet et de sa violence habituels. Pour la première et dernière fois, les rapports sexuels étaient dépourvus de souffrance.

Byrd ne s'était pas trop distancié de moi, cependant, lorsqu'il s'agissait d'opérations du gouvernement. Quand j'étais « sur l'arc-en-ciel » à Washington au cours de l'été 1987, c'était comme avant avec Byrd. On m'a escortée jusqu'au Centre Goddard pour les Vols spatiaux où Byrd m'attendait dans un couloir stérile près des ascenseurs garnis de laiton et de miroirs. Il était chargé d'articles, qu'il a déposés sur une petite table en m'accueillant. Il a pris un badge d'identification de la NASA et l'a fixé sur mon mamelon, les pinces métalliques me mordant avec leurs côtés en dent de scie. Quand j'ai (doucement) poussé un cri, il a dit, « Oh, d'accord. Je vais le porter », il l'a enlevé, et l'a fixé sur sa blouse blanche. Il m'a tendu une blouse blanche de la NASA comme la sienne et un casque blanc. Sur son casque il était inscrit de façon suggestive et « avec humour » HARD en

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caractères gras et rouges. Sur mon casque il était inscrit NASA, dans une version inversée comme par un miroir des caractères standards gras et rouges. Quand je l'ai lu dans un miroir, on aurait dit que j'étais du mauvais côté du miroir et qu'il fallait que je passe à travers (selon la programmation d'Alice Au Pays des Merveilles / NASA). Cela indiquait aussi clairement aux initiés que j'étais sous contrôle de l'esprit. Byrd a regardé sa montre de gousset, ce qui a suscité en moi une vague de terreur, et il a dit en langage codé du Pays des Merveilles, « Nous sommes en retard. Comme l'ascenseur tombe dans le terrier du lapin, nous allons inverser la marche du temps afin d'y être quelques minutes plus tôt. »

Byrd m'a fait tourner sur moi-même pour me faire face aux portes recouvertes de miroirs de l'ascenseur en disant, « Regarde profondément dans le miroir et sois tout ce que tu peux être en devenant infiniment perdue dans tout ce que tu vois. » Byrd avait minuté son induction hypnotique de telle sorte que lorsqu'il a ordonné, « Passe à travers le miroir », les portes se sont ouvertes et nous avons traversé.

Alors que l'ascenseur était censé « descendre de 99 (tiré du simple retournement des chiffres 6 par Aquino) niveaux vers les profondeurs de l'enfer, » Byrd m'a dit que la Terre « tourne de plus en plus vite au noyau, ce qui nous fait descendre en vrille dans un effet de tornade. » Je suis tombée plus profondément dans ma transe hypnotique. Les portes de l'ascenseur se sont ouvertes sur ce qui m'a paru être une exacte réplique de l'étage que nous venions juste de quitter. Toutefois, l'entrée de cet étage menait vers une salle informatique et vers une zone de laboratoires d'aspect très hygiénique. Plusieurs des scientifiques qui travaillaient là ont été amusés par nos casques, ce qui a poussé Byrd à forcer son numéro de comédie. Byrd ignorait le fait que ces employés de la NASA, comme de nombreux autres, pouvaient avoir délibérément heurté son amour-propre d'artiste parce qu'ils dépendaient de ses dotations budgétaires pour leur financement.

Byrd m'a fait annoncer comme un robot aux employés, « Il m'emmène voir votre chef. »

« Ici, c'est moi le chef », a dit celui qui était apparemment le directeur du laboratoire souterrain. Les employés ont repris leurs occupations au moment où il s'est levé, les bras croisés sur la poitrine d'une manière défensive, tandis que ses yeux à lunettes intelligents jetaient des regards furtifs dans la salle en faisant un tour d'horizon de la situation. Le chef avait quelques mèches grises qui parsemaient ses courts cheveux bruns, et pourtant sa carrure était étonnamment jeune et svelte pour son âge. Apparemment, lui et Byrd se connaissaient parfaitement bien. Byrd s'est avancé à grands pas vers lui, en m'entraînant derrière lui. « Tom », a crié Byrd à son ami qui avait la cinquantaine et faisait un mètre quatre-vingt-cinq. « Voici le spécimen qu'un jour j'ai promis de te remettre. Je serai très intéressé de voir ce que toi tu peux nous procurer puisque les relations diplomatiques avec le Mexique en dépendent. Non pas que je veuille accroître une pression que tu ressens peut-être, mais nous en avons besoin de sept de plus comme elle pour en gaver sa Lézarderie royale (de la Madrid) afin de l'empêcher de se répandre en paroles sur le projet. »

« C'est tout aussi bien, mon cher », a dit le chef, en se touchant le menton sans décroiser les bras. « De cette façon il ne peut pas parler sans s'impliquer lui-même. »

« C'est comme ça que le Patron voit les choses », a reconnu Byrd. « De toute façon il est déjà dedans jusqu'au cou, mais cette commande (d'esclaves) l'atteindra plus sûrement dans la mesure où elles s'occuperont personnellement de lui. »

Nous avons marché jusqu'à une zone médicale aseptisée qui comportait un dédale de petites salles où on m'a déshabillée et préparée pour le labo. Une soi-disant infirmière m'a injecté de la drogue « Tranquillité » de la NASA et m'a donné l'ordre de remettre ma blouse blanche. « Prends cette direction », m'a-t-elle ordonné tandis qu'elle me faisait descendre le couloir, en se déhanchant d'une manière exagérée. J'ai immédiatement obtempéré. La drogue Tranquillité n'avait pas d'effets euphorisants, mais elle provoquait une attitude de servilité paisible vis-à-vis de tout ordre donné. Alors que nous nous approchions du labo aménagé comme un théâtre, un petit groupe d'hommes qui devaient être de service était en conversation avec Byrd et avec celui qu'on appelait le

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chef. Ils nous ont regardées et ils ont ri de la conformité littérale de ma démarche avec celle de l'infirmière.

Le chef m'a alors conduite vers une entrée « derrière la scène » qui était en fait un labo aux parois de verre entouré de sièges en rangées ascendantes. Des scientifiques en blouse blanche de la NASA regardaient vers le bas sur la table de laboratoire où j'étais allongée tandis que le chef me connectait à une machine informatisée. Une caméra était placée en hauteur dans l'un des coins de la pièce, et elle filmait tout ce qui se passait. Je savais grâce à des conversations entre Byrd et le chef que de la Madrid avait demandé une vidéo des derniers progrès en matière de technique de contrôle de l'esprit dont on allait se servir pour créer ses sept esclaves. En réalité, la caméra était en train de filmer des méthodes scientifiques assaisonnées de désinformation « comique » en guise de « non » humoristique à sa demande.

Puisque j'étais considérée comme étant « complètement utilisée » et que ma mort était imminente, le chef a dit aux scientifiques de « ne pas hésiter à baiser le spécimen de laboratoire ». « Mais d'abord », a-t-il dit, « avant de satisfaire votre curiosité mentale et physique en goûtant à la marchandise du président (celle de Reagan), nous devons satisfaire l'esprit pervers d'El Presidente (celui de de la Madrid) avec un peu d'humour spatial. » Il s'est adressé à l'un des techniciens et lui a dit, « Vous allez devoir faire le montage de cette cassette vidéo pour de la Madrid et couper la partie pendant laquelle nous la préparons pour une farce "scabreuse" de caméléon. »

On m'a introduit dans le vagin un lézard vivant enfermé dans une sorte d'éprouvette en verre. La caméra était dirigée sur cette zone tandis que mes jambes étaient écartées en position d'accouchement. Se comportant comme si j'avais conçu en ayant des rapports sexuels avec de la Madrid, le chef a dit, « Et maintenant, allons-y pour le produit fini, qui en termes simples est l'équivalent de la progéniture reproductrice d'une machine à engendrer des Lézards. » Il a enfilé un gant de caoutchouc en le faisant claquer théâtralement et il m'a examiné comme s'il me faisait un examen gynécologique. En fait, il était en train d'ouvrir la trappe du tube du Lézard pour le faire sortir. Très lentement, le lézard engourdi a sorti la tête de mon vagin et est sorti en rampant sur la table métallique. « Ceci termine entièrement la démonstration expérimentale du clonage d'un mannequin présidentiel », a dit le chef.

On m'avait apparemment choisie comme prototype pour les sept esclaves programmées que de la Madrid avait demandées. De la Madrid s'intéressait à des esclaves programmées de la NASA dont le vagin serait mutilé comme le mien. Il était sexuellement obsédé par l'affreuse balafre. Je n'avais aucun moyen de savoir quels progrès technologiques, si tant est qu'il y en ait eu, étaient vraiment offerts à de la Madrid grâce au film. Je sais seulement que les méthodologies qui étaient décrites étaient entachées de désinformation délibérée, et que je n'avais jamais connu ni auparavant, ni à ce moment-là des programmations ou des expérimentations réalisées par de telles méthodes.

Cette vidéo créée pour « sa Lézarderie royale » était l'un des nombreux thèmes codés basés sur les lézards dont la NASA se servait dans ses opérations mexicaines. Tous mes rôles qui étaient programmés au Mexique impliquaient la participation des prolifiques lézards-iguanes locaux. De la Madrid m'avait transmise la « légende de l'Iguane », en m'expliquant que des Extraterrestres qui ressemblaient à des lézards étaient descendus parmi les Mayas. Les pyramides mayas, leur technologie astronomique avancée, et même les sacrifices de vierges, étaient soi-disant inspirés par les extraterrestres qui ont une apparence de lézard. Il m'a dit que lorsque les extraterrestres se sont croisés avec les Mayas pour engendrer une forme de vie sous laquelle ils puissent vivre, ils fluctuaient entre l'apparence d'un humain et celle d'un iguane grâce à des capacités semblables à celles du caméléon. « Un véhicule parfait pour se transformer en dirigeants mondiaux. » De la Madrid prétendait avoir dans son sang une ascendance Maya / extraterrestre, grâce à laquelle il se transformait « à nouveau en iguane quand il le voulait ». De la Madrid produisait un hologramme similaire à celui de Bush dans

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son initiation « Tu Es Ce Que Tu Lis ». Son hologramme avec une langue et des yeux semblables à ceux d'un lézard donnait l'impression qu'il se transformait en iguane. Pendant mon séjour au Mexique, on me donnait toujours l'ordre d'attendre à côté de rochers où de nombreux iguanes prenaient le soleil avant d'être « transe-portée » vers mes rendez-vous programmés avec « sa Lézarderie royale », le Lézard d'Ahs.

Traduit par Daniel Maury pour les ÉDITIONS NENKI.























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Une gentille femme abusée et brisée par des bandits qui se croient au-dessus e nos lois. Montrons-leurs que dorénavant personne ne seront au-dessus de nos lois et TRAÎNONS-LES EN COURS INTERNATIONALE ET LARGEMENT DIFFUSÉE DANS TOUS NOS MÉDIAS...... AFIN QU'ILS CESSENT DE MAL AGIR... SINON nous devenons complices de ce qu'ils font à notre insu.
Et cessez de dire : ''ON N'EST PAS CAPABLE, C'EST IMPOSSIBLE, ON NE PEUT RIEN FAIRE, ÇA PREND DE L'ARGENT.....'':

La JUSTICE, les juges et les AVOCATS DE LA COURONNE doivent poursuivre officiellement ces (Reagan, Trudeau, Gérald Ford) Bush, sénateurs Benet... pour les donner en exemple et surtout pour prouver à l'Humanité que la Justice est la même pour les riches que pour les démunis.
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LES ÉLITES DEMEURENT TOUJOURS IMPUNIES et protégés de la Justice Élitiste.

Un prisonnier sur 4 est détenu pour pédophilie, viol ou inceste.
Par contre nous savons que la classe dirigeante est beaucoup plus perverse et pourtant on ne retrouve pas de députés en prison, on ne retrouve pas de sénateurs et encore moins de ministres ou de Premiers Ministres: POURQUOI? Cela prouve qu'il y a une Justice pour les riches (et elle est aveugle et sourde) et une sévère pour les pauvres.

Nous constatons que nos médias quotidiennement diffusent des scandales concernant des réseaux bien organisés (et dirigés par des États) de prostitutions entre États, qu'il y a UN COMMERCE MONDIAL D'ENFANTS-OBJETS SEXUELS destinés à servir sexuellement nos Chefs d'États...... nous avons plein de preuves sur cela et pourtant les Sénateurs et les Ministres mis en causes réussissent toujours et facilement à étouffer l'affaire ou a créer des guerres et des crises financières pour se faire oublier sous le prétexte de s'y rendre utiles.... Mensonges, mensonges et mensonges !

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Maintenant revenons à notre sujet de départ: LE CONTRÔLE DE L'ESPRIT PAR LA REINE VIA LA CIA

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ANNEXES



DES TEMOINS RACONTENT

K. Sullivan qui révèle que " plusieurs personnes entraînèrent, conditionnèrent puis brisèrent ma volonté et ma psyché, et me programmèrent à différents états altérés ". Les états altérés sont des personnalités différentes qui sont créées indépendamment les unes des autres dans le même corps. Ces personnalités, ces " alter ", peuvent être réactivées à volonté pour faire effectuer des tâches spécifiques à la personne programmée. Les déclencheurs de ces alter peuvent être des tonalités téléphoniques, des comptines, des dialogues de film ou des signes de la main. Lorsque le déclencheur est perçu par la personne programmée, cette dernière se met à exécuter le plan qu'on lui aura préalablement inséré dans l'esprit à l'aide de drogues ou d'hypnose. D'une seconde à l'autre, un citoyen inoffensif préalablement programmé va inconsciemment changer de personnalité grâce à un déclencheur, et pourra devenir un assassin en puissance. K. Sullivan pouvait être soit au service sexuel d'hommes et de femmes, garde du corps, assassin ou encore utilisée pour libérer des otages selon le déclencheur employé. Le comportement des parents et arrière parent de K. Sullivan nous ramène directement aux événements censés se passer dans la forêt du Bohémian Club : " Mon père fut celui qui m'en fit subir le plus. Il le fit par la terreur. Il le fit par la torture. (...) Son père était un Druide gallois qui avait été vendu enfant à un capitaine qui l'amena aux Etats-Unis. C'est du moins la mentalité de ma famille, l'esclavage des enfants est admis. J'ai entendu cela des membres les plus vieux de la famille. Ils ne l'ont jamais nié. Mais mon grand-père était également un druide clandestin. Je suis sûre qu'il avait amené cette religion avec lui du Pays de Galles. Une des choses qu'il faisait était d'aller dans le cimetière voisin déterrer des cadavres, les ramener dans la cave, et s'amuser avec. Il faisait aussi parfois des rituels de nuit dans la forêt durant lesquels il sacrifiait des bébés ". K. Sullivan parle de son milieu d'origine comme d'un mélange réunissant une soumission à l'élite de génération en génération et un comportement relié au satanisme.


Brice Taylor était un "mannequin présidentiel" dont la programmation consistait à avoir des relations sexuelles avec les présidents, comme elle le révèle dans son livre Starshine : One Woman's Valiant Escape from Mind Control (Comment une femme a courageusement échappé au contrôle de l'esprit). Elle fréquentait alors les hommes qui soutenaient le Nouvel Ordre Mondial, une politique qu'elle explique de la façon suivante : " C'est la tentative de mettre en place un gouvernement mondial permettant aux familles de l'élite d'obtenir ce qu'elles veulent. Leur croyance était que la planète était surpeuplée et que quelque chose devait être fait : une guerre psychologique et biologique. Ils considéraient le contrôle de l'esprit comme un outil, leur atout maître, une chose vraiment différente qui pourrait agir comme une arme invisible ". Ceux qui dirigent toutes ces manigances sont en fait un " groupe d'hommes qui se tient au-dessus de Kissinger et des Rockefeller. Ils ont été configurés génétiquement de façon à ... posséder différentes capacités à diriger. C'est aux, en fait, qui prennent les décisions".


Ted L. Gunderson prit sa retraite du F.B.I. en 1979 alors qu'il dirigeait le bureau de Los Angeles dans lequel 800 personnes étaient sous ses ordres. Il fut ensuite détective privé et consultant en sécurité. En1993 il déclare : " Au cours des années j'ai rassemblé des données. Jusqu'il y a environ deux ans, j'ai continué à dire qu'il y avait un réseau clandestin à l'oeuvre dans ce pays, impliquant la drogue, la pédophilie, la prostitution, la corruption, etc... Depuis l'approfondissement de mes recherches, je suis convaincu que c'est beaucoup plus sérieux. Plus qu'un réseau clandestin de relations, il s'agit d'une réelle conspiration - et vous savez bien comment les médias vous traitent lorsque vous utilisez ce terme. Mais je vais vous le prouver. Dans les faits, cette conspiration concerne la pornographie, la drogue, la pédophilie et les enlèvements organisés d'enfants ". Son site est rempli de documents et témoignages d'autres victime de MK-Ultra et elle dédie sa vie en dépit des dangers qu'elle court à diffuser la vérité et les atrocités dont nos leaders et "héros", (Bob Hope par exemple, quelle déception), enfin des gens en qui on avait une grande confiance, en sont les maniganceurs et les auteurs.

Voici une vidéo où
le Président Clinton s’excuse pour le Projet MK Ultra


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ANNEXE
LE PROJET ''MONARCH'' DE LONDRES
et qui est également connu sous le nom de projet MK Ultra
L'un des secrets les mieux gardés de l'histoire est le monarque Mind-contrôle qui utilise la programmation basée sur le traumatisme le contrôle de l'esprit avec l'état de l'art de créer le contrôle de l'esprit humain, qui sont entièrement contrôlées par un gestionnaire sans même savoir qui ils sont contrôlés. Ceci est accompli par l'utilisation sophistiquée de la capacité du cerveau à se dissocier, qui est utilisé à l'extrême pour créer structuré trouble de personnalité multiple esprits.

Harmoniques et les ondes sonores sont utilisés pour manipuler l'ARN portant sur les voies de neurones à l'inconscient. Harmonic générateurs nom de code "ether-onde» sont en mesure d'insérer détaillée des commandes qui sont liées à trlggers audible. c'est l'une des fonctionnalités standard de la Monarch programme. Il permet aux esclaves d'être contrôlée par les mots qui déclenchent pas de sens ou semblent porter aucune connotation négative à l'extérieur d'auditeurs. Par exemple, les mots "Mr. Postman attendre et voir" pourrait déclencher une séquence de sorte que l'accès d'un esclave vivant loin de son capitaine se rend à son maître (également appelée gestionnaire). Certaines sont transformées en esclaves traverses. Ils vivent une vie normale, mais peut-être effectuer une cession 40 ans, la route, à une avance ou d'une date de déclenchement prédéterminé. Certains des Illuminati hiérarchie ont été transformés en traverses de sorte qu'ils puissent être disponibles au moment de l'Anti-Christ commence décision de former le grand afflux de nouvelles personnes dans les Illuminati et le satanisme.

Sous les nazis, la satanique utilisation de MPD a été affinée. Après la Deuxième Guerre mondiale, les Britanniques par la CIA en contrebande aux États-Unis. en complicité avec des scientifiques Allemands et italiens et les spécialistes qui ont participés au développement de la programmation Monarch.

La PROGRAMMATION ''MONARCH'' CRÉE DES HUMAINS MARIONNETTES. Une marionnette est une marionnette, et les psychologues nazis allemands travaillaient avec acharnement à créer la parfaite des marionnettes humaines. Le résultat final de tout le travail acharné des spécialistes allemands, italiens, des chercheurs américains et britanniques a été la création d'une quasie infaillibilité et impossibilité de détecter l'esprit humain contrôlée comme esclave.


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Photo de gauche: le hibou géant devant lequel un grand feu est allumé durant la célébration "occulte" de ces dignitaires (sic) de notre planète à Bohemian Grove, Russian River, California. Comme vous pouvez le constater ce hibou mesure plus de 10 mètres de hauteur.


Photo de gauche dévoile la foule composée de mâles vêtus de froques assez médiévales ou désuettes. Et dire que ce sont des milionnaires qui s'amusent à faire la Bohème et de petites orgies et sacrifices assez peu orthodoxes. Attendez voir la liste des membres au bas de la page. Et dire que ce sont eux qui dirigent notre système actuel et leurs descendants depuis des millénaires. Je ne crois pas que le prêtre qui célèbre ce rituel est un hurluberlu qui s'amuse à une partouse. Il est un des plus haut-gradés de leur confrérie satanique et/ou luciférienne et sait très bien ce qu'il fait: invoquer les forces démoniques de la 4 ième basse fréquence pour empuissancer leurs pouvoirs personnels et nourrir ces forces diaboliques d'une énergie négative de la plus haute intensité soit l'horreur et la torture de jeunes innocents.

Les liens avec les programmes de contrôle de la pensée.

Cathy O'Brien, Trance Formation of America, The True Life Story of a C.I.A. Slave. "Les esclaves d'un âge avancé ou avec une programmation défaillante ont été assassinés selon un rite sacrificatoire, au hasard, sur les terres boisées du Bohemian Club, et j'ai senti que c'était seulement une question de temps jusqu'ê ce que ce soit mon tour." Sur la photo du dessous, l'inscription "Je suis LaFitte" pirate bien connu, dois plutôt se lire comme "Je suis La Fille" , voulant dire que dans ce trou sous l'arbre se trouve l'immolation, ou la fille prête au sacrifie. Une tête de mort accueille les invités. Comme c'est joli.

Cathy O'Brien et sa fille de 8 ans étaient sujettes à un programme de contrôle de l'esprit impliquant l'armée américaine, la CIA, la NASA et d'autres agences du gouvernement américain. Elles ont été secourues, rééduquées et prises en charge en Alaska en 1988 par Mark Phillips. Elles étaient victimes d'opérations de programmation du contrôle de l'esprit par traumatisme. Ces opérations sont connues sous le nom de Monarch Program. Aucun document écrit ne permet de lier le Monarch Program au projet MK-ULTRA (Manufacturing Killers Utilizing Lethal Tradecraft Requiring Assassinations - Production de tueurs utilisant un conditionnement à l'assassinat) de la C.I.A. bien qu'il s'agisse dans les deux cas d'une manipulation du comportement.

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A l'image de Cathy O'Brien, de nombreux autres rescapés de ce programme témoignent tel que K. Sullivan qui révèle que " plusieurs personnes entraînèrent, conditionnèrent puis brisèrent ma volonté et ma psyché, et me programmèrent à différents états altérés ".

Les états altérés sont des personnalités différentes qui sont créées indépendamment les unes des autres dans le même corps. Ces personnalités, ces " alter ", peuvent être réactivées à volonté pour faire effectuer des tâches spécifiques à la personne programmée. Les déclencheurs de ces alter peuvent être des tonalités téléphoniques, des comptines, des dialogues de film ou des signes de la main. Lorsque le déclencheur est perçu par la personne programmée, cette dernière se met à exécuter le plan qu'on lui aura préalablement inséré dans l'esprit à l'aide de drogues ou d'hypnose. D'une seconde à l'autre, un citoyen inoffensif préalablement programmé va inconsciemment changer de personnalité grâce à un déclencheur, et pourra devenir un assassin en puissance. K. Sullivan pouvait être soit au service sexuel d'hommes et de femmes, garde du corps, assassin ou encore utilisée pour libérer des otages selon le déclencheur employé.

Le comportement des parents et arrière parent de K. Sullivan nous ramène directement aux événements censés se passer dans la forêt du Bohémian Club : " Mon père fut celui qui m'en fit subir le plus. Il le fit par la terreur. Il le fit par la torture. (…) Son père était un Druide gallois qui avait été vendu enfant à un capitaine qui l'amena aux Etats-Unis. C'est du moins la mentalité de ma famille, l'esclavage des enfants est admis. J'ai entendu cela des membres les plus vieux de la famille. Ils ne l'ont jamais nié. Mais mon grand-père était également un druide clandestin. Je suis sûre qu'il avait amené cette religion avec lui du Pays de Galles. Une des choses qu'il faisait était d'aller dans le cimetière voisin déterrer des cadavres, les ramener dans la cave, et s'amuser avec. Il faisait aussi parfois des rituels de nuit dans la forêt durant lesquels il sacrifiait des bébés ". K. Sullivan parle de son milieu d'origine comme d'un mélange réunissant une soumission à l'élite de génération en génération et un comportement relié au satanisme.

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Henry Kissinger, Brice Taylor et Bob Hope, tous des contrôlleurs.

Ted L. Gunderson prit sa retraite du F.B.I. en 1979 alors qu'il dirigeait le bureau de Los Angeles dans lequel 800 personnes étaient sous ses ordres. Il fut ensuite détective privé et consultant en sécurité. En1993 il déclare : " Au cours des années j'ai rassemblé des données. Jusqu'il y a environ deux ans, j'ai continué à dire qu'il y avait un réseau clandestin à l'oeuvre dans ce pays, impliquant la drogue, la pédophilie, la prostitution, la corruption, etc… Depuis l'approfondissement de mes recherches, je suis convaincu que c'est beaucoup plus sérieux. Plus qu'un réseau clandestin de relations, il s'agit d'une réelle conspiration - et vous savez bien comment les médias vous traitent lorsque vous utilisez ce terme. Mais je vais vous le prouver. Dans les faits, cette conspiration concerne la pornographie, la drogue, la pédophilie et les enlèvements organisés d'enfants ". Son site est rempli de documents et témoignages d'autres victime de MK-Ultra et elle dédie sa vie en dépit des dangers qu'elle court à diffuser la vérité et les atrocités dont nos leaders et "héros", (Bob Hope par exemple, quelle déception), enfin des gens en qui on avait une grande confiance, en sont les maniganceurs et les auteurs.

L'origine de Moloch, Druide et Culte de Canaan

Dans l'ouvrage du sataniste Aleister Crowley, Magick inTheory and Practise (Théorie et pratique de la magie) on découvre que " pour les plus hauts travaux spirituels on doit (…) choisir une victime ayant la plus grande et la plus pure énergie. Un enfant mâle d'une parfaite innocence et d'une haute intelligence est la victime adéquate la plus satisfaisante ". Gunderson précise que " nous parlons lê de sacrifice humain ". Aleister Crowley écrit dans The Law Is For All (La loi est pour tous) : " De plus, la bête 666 (il se désigne ainsi) conseille que tous les enfants soient, dés le plus bas âge, accoutumés à assister à tous types d'actes sexuels, ainsi d'ailleurs qu'au processus de la naissance, de peur que le brouillard du mensonge et du mystère n'impressionn leur esprit, ne contrarie et ne fausse leur système subconscient de symbolisme ".

"Notre travail est par conséquent historiquement authentique ; il s'agit de redécouvrir la Tradition Sumérienne."

Aleister Crowley, sataniste. Canaan regroupe les territoires de Phénicie et de Palestine, les prédécesseurs d'Israël. La religion cananéenne est supposée être un dérivé de la religion babylonienne, elle même provenant de la théologie sumérienne dont nous avons vu l'interprétation qu'en fait Zecharia Sitchin (cliquez ici). Par la suite, la culture religieuse cananéenne influença amplement la religion israélite. De ces territoires proviennent les enseignements qui nous apprennent que Moloch était un synonyme de Nemrod ou de Tammuz.

Il est fréquent que nous retrouvions dans les mythologies sumériennes, babyloniennes, et autres, des personnages dont l'histoire est semblable et seul le nom diffère. Le personnage Moloch/Nemrod/Tammuz était connu pour avoir fondé Babylone lorsqu'il portait le nom de Nemrod, ainsi que pour avoir construit des cités telles que Ninive où de nombreuses tablettes sumériennes ont été retrouvées.

Sur la photo de gauche on voit que Nimrod ici est amphibien ! Ea l'était aussi et bien d'autre...

Sémiramis ou Isis, dont les ailes sont devenu le symbole de la colombe . (Avez-vous remarqués les 2 colombes sur le nouveau billet de 10 $ canadien ?) Avec le fleur-de-lys au Québec, symbole d'Horus, on sait à qui appartient le Canada. Hey ?

On a attribué à Nimrod le nom de Baal (le seigneur), et il a été aussi représenté dans un rôle où il était à la fois l'époux et le fils de Sémiramis. Cette dernière est aussi appelée Ninkharsag ou Nin-Khoursag, la " dame de la montagne ", dans les mythes sumériens, où elle est le compagnon du Dieu Enlil. Lorsque Nemrod avait le nom de Tammuz, il aurait été crucifié avec un agneau à ses pieds et placé ensuite dans une caverne dont il aurait disparu trois jours plus tard malgré le rocher obstruant le seul accès existant. Cette histoire est similaire à celle de mythes égyptiens, indiens, chinois, asiatiques ou encore à la résurrection de Jésus au jour prêt.

Ces cultes ont été basés sur le sacrifice humain. Pourquoi faire appel à des cérémonies de culte au 20ème siècle ?

Au minimum, cela montre un attrait vis-ê-vis de pratiques sectaires, c'est-à-dire l'adoration de la destruction, le sang, la barbarie et le sacrifice d'enfants. Les sacrifices humains ont duré longtemps, puisqu'on connaît encore à Carthage le fameux sacrifice " molk " au cours duquel des nouveau-nés étaient livrés au feu. La Bible mentionnera des sacrifices d'enfants encore mille ans plus tard en Israël.

John Milton dans Le Paradis Perdu décrit Moloch de la façon suivante : " D'abord s'avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu'ê cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsque à travers le feu ils passaient à l'idole grimée ".

Une autre représentation de Moloch - Notez la présence du bûcher à ses pieds et de l'enfant prêt à être sacrifié. ¨Ca ressemble étrangement au hibou devant et sous lequel ce grand feu est érigé. Tout ça est symbolique, bien entendu...

Ces sacrifices d'enfants se poursuivaient encore par le biais du rituel celtique " Bealltainn " accompli par les druides en Grande-Bretagne le 1er mai. David Icke nous apprend que le mot " druide " pourrait tout aussi bien venir du gaélique " druidh " signifiant " un homme sage " ou " un sorcier ", mais il peut venir du mot irlandais " Drui " qui signifie " hommes des chênes ". Le Druidisme des Îles britanniques était simplement un dérivé de la sorcellerie satanique et de la magie de l'Egypte ancienne. Les mystères druidiques de Grande-Bretagne, d'Irlande ou de France étaient enseignés à l'orée des bosquets. Les réunions du Bohemian Club se tiennent en un lieu appelé le Bohemian Grove (Bosquet Bohémien), et les photos nous montrent la densité et la majesté des arbres du lieu. Ci contre, vous pouvez observer la position élevée du Grand Conseil des Druides dans la pyramide de la fraternité satanique.

En fait les sacrifices auraient une double origine. Par le sacrifice effectué, on fait en sorte que l'âme de la victime anime le lieu ou l'être auquel elle est consacrée. L'immolation rituelle d'une victime est créatrice dans le sens où elle permet à l'être immolé de retrouver un nouveau corps et de rendre " vivant " et donc durable ce nouveau corps, quel qu'il soit. D'inspiration cosmogonique, le rituel se retrouve aussi dans les mythes de la création de l'homme. L'Enouma Elish, le poème babylonien de la création daté officiellement de 2000 ans avant notre ère, nous explique que l'homme est le résultat de la lutte des dieux. Les dieux perdants sacrifient l'un des leurs pour créer l'homme. L'homme se devra d'assurer le service divin par le culte et les sacrifices. Il assumera en fait la faute et le châtiment des dieux perdants à leur place. Dans la tablette VII de l'Enouma Elish on peut lire en caractère cunéiforme :

Maître de l'incantation sacrée, qui ressuscite les morts,Qui eut pitié des dieux enchaînés, Débarrassa les dieux, ses ennemis, du joug imposé, Et, pour les sauver, créa l'humanité.

Le dieu sacrifié, Kingou, paraît alors devant son bourreau, Ea, qui lui tranche les veines et, de son sang, crée l'homme. L'homme n'est donc pas à sa naissance un être innocent et pur puisque coule dans ses veines le sang d'un dieu coupable et condamné. L'homme assume le châtiment d'un crime qu'il n'a pas commis tout en étant créé pour le service divin.



Conclusion

Mircea Eliade (1907-1986) élargit le domaine d'action des actes rituels : " Ce n'est pas seulement le Cosmos qui prend naissance à la suite d'une telle immolation, ce sont aussi les plantes alimentaires, les races humaines ou les différentes classes sociales ". Plus en avant il écrivait : " L'Enouma Elish nous révèle donc comment, à partir d'une réalité préexistante, larvaire et chaotique, a été créé notre Monde. (…) Le mythe du combat entre un Dieu champion et un Dragon est attesté dans le Proche-Orient, en Grèce et dans l'Inde. Leurs significations diffèrent de celle de l'Enouma Elish, et varient d'un cas à l'autre tout en restant fondamentalement solidaires. (…) Un certain nombre de mythes et légendes, narrant la lutte d'un héros venu de l'étranger et le Dragon maître absolu d'un pays, expriment le conflit entre les autochtones - ou les représentants de l'ordre ancien des choses - et les envahisseurs victorieux qui finissent par fonder un nouvel ordre (nouvel Etat, nouvelle dynastie, nouvelle organisation sociale, etc.) ".

Au début de ce texte vous vous demandiez certainement quel pouvait bien être le rapport entre le Bohemian Club, ce rassemblement des puissants d'Amérique, et les rites que l'on englobe sous le terme trop vague de satanique. J'espère que maintenant vous saisissez mieux le rapport. Si le satanisme tel qu'il est connu du grand public est une sorte de fourre-tout révélateur d'un mal être social, la mise en, application de certains de ces rituels par des personnes initiées dépasse l'entendement par leur nature et leurs effets. Comme nous l'avons vu, le druidisme se situe à un niveau élevé de la pyramide de connaissance de la fraternité satanique. D'après de nombreux témoignages et des preuves vidéo, il semblerait que les personnalités qui prônent l'institution du Nouvel Ordre Mondial mettent tous les atouts de leur côté en faisant usage de rituels sacrificatoires visant à faire " vivre " leur projet.

Sources (en anglais) :

L'histoire que People ne vous laissera pas lire : www.fair.org/extra/best-of-extra/bohemian-grove.html

DARK SECRETS: INSIDE BOHEMIAN GROVE : aussi le vidéo sur http://infowars.safeshopper.com/11/cat11.htm?110

Une liste plus complète des personnages fréquentant le club : www.sonic.net/~kerry/bohemian/grovenukes.html

The Bohemian Grove and The Nuclear Weapons Industry: Some Connections

Article and photos © Kerry Richardson.

Harold Brown is a club member and was Secretary of Defense for President Carter. Brown was a former Director of the Lawrence Livermore nuclear weapons laboratory.

Charles Duncan in 1980 is listed as a guest of Harold Brown at the Grove. Duncan was then head of the Department of Energy, the branch of the U.S. Government that makes nuclear bombs.

General Dynamics Corporation is primarily in the weapons business, building the Trident nuclear missile submarine, cruise missiles, and FB-111 bombers. In 1982, 88 percent of General Dynamics net sales were to the U.S. Government. In 1985, General Dynamics was number two in Department of Defense contracts with $7,439,914,000 in sales. In 1982 they were number one with about $5,891,000,000. In 1979, David S. Lewis, General Dynamic's Chairman and Chief Executive Officer was listed as a guest of former General Dynamics Chairman Roger Lewis at the Grove. Their camp was Owl's Nest, one of over one hundred residence groupings inside the Grove. Owl's Nest is the camp Ronald Reagan belongs to. General Dynamics Executive Vice President and Director Lester Crown was listed as a Grove guest in 1979 also. The Crown family and their associates owned over 20 percent, more then 5,000,000 shares of General Dynamics stock according to the 1980 Corporate Data Exchange Profile. Forbes magazine in 1986 estimated the Crown family fortune as over 1.3 billion dollars. CEO David Lewis, who resigned not long ago in the wake of scandals, held more than 200,000 shares of stock. General Dynamics Director Thomas G. Ayers, former Commonwealth Edison of Chicago Chairman, was on the 1981 guest list.

Rockwell International is a mainstay of the nuclear weapons industry.

Robert Anderson, Chairman and CEO of Rockwell, is a club member and Rockwell Chief Financial Officer Robert A. dePalma has attended grove gatherings. Willard F. Rockwell Jr. is listed as a club member. The Rockwell family was the second largest stockholder in the company according to a 1980 Corporate Data Exchange Profile. Rockwell directors associated with the Bohemian Grove include members Fred L. Hartley, Chairman of Unocal, and Henry T. Mudd, former Chairman of Cyprus Mines, and 1981 guest J. Harrington Drake of Dun and Bradstreet. It has been written that no company benefitted more from Reagan administration policies than Rockwell International. They are the main B-1B bomber and space shuttle contractor and they work on the MX and Trident missiles. Rockwell helps operate the Department of Energy facility at Hanford, Washington that produces plutonium for nuclear weapons, and they manage the Rocky Flats Colorado facility that produces plutonium triggers for hydrogen bombs. Rockwell was number three in Department of Defense contracts with over $6,000,000,000 in fiscal 1985.

General Electric was ranked number four in D.O.D. contracts with $5,890,670,000 in fiscal 1985. G.E. operates a plant in Florida that makes neutron generators for nuclear bombs. They made the reentry vehicle for the Minuteman missile. They make propulsion systems for nuclear submarines and jet aircraft engines and are involved in electronic warfare work. They are developing the engine for the Stealth bomber. General Electric Chairman John F. Welch has been listed as a Grove guest as has Edward E. Hood, G.E.'s Vice Chairman of the Board. Welch was named America's toughest boss by Fortune magazine in 1984. Club member Edmund W. Littlefield is a G.E. Director and is listed as a member of G.E.'s largest stockholding family. In addition to Welch, Hood, and Littlefield, Directors of General Electric whose names appear on lists from the Grove include member James G. Boswell II, Chairman and CEO of J.G. Boswell Co., 1980 guest Andrew Clark Sigler, Chairman and CEO of Champion International, and 1980 guest Walter B. Wriston, retired Chairman of the Board of Citicorp bank.

The Boeing Company has in recent years had six members of its Board Of Directors who are listed as members of the Bohemian Club: Harold J. Haynes, retired Chairman of Chevron Corporation, Stanley Hiller Jr. of Hiller Investment Co., Rene C. McPherson, a 1986 honor winner in Fortune magazine's business hall of fame, Charles M. Piggot, CEO of Paccar Corporation that makes Peterbilt trucks, and D.E. Skinner, Skinner Corporation Chairman. Boeing Vice Chairman Malcolm T. Stamper was listed as a 1980 guest. Boeing had $5,458,404,000 of D.O.D. contracts in fiscal 1985, ranking number five. Boeing has contracts for the air launched cruise missile, the MX missile, the Minuteman missile, and has been adapting its B-52 bombers to use cruise missiles. Boeing is a subcontractor for the Stealth advanced technology bomber and is a principal contractor for Strategic Defense Initiative Star Wars.

United Technologies Corporation Chairman Harry Gray, recently retired, is a frequent visitor to the Bohemian Grove.

U.T. was number seven in fiscal 1985 D.O.D. contracts with about$3,905,629,000, down from their 1982 number three ranking with $4,208,000,000. United Technologies Chemical Systems Division builds rocket motors for Titan, Minuteman III, Trident, and Tomahawk cruise missiles and has a manufacturing facility near San Jose, California. U.T. makes Pratt and Whitney jet aircraft engines and Sikorsky helicopters. Alexander Haig who frequents the Bohemian Grove was President and Chief Operating Officer of United Technologies in 1980 before becoming Secretary of State, and more recently has been a consultant to the company. United Technologies Directors associated with the Bohemian Grove are member Robert H. Malott, Chairman and CEO of FMC Corporation, and 1980 guests William I. Spencer, retired President of Citicorp and Charles W. Duncan Jr., and current Citicorp Chairman and CEO John S. Reed.

Westinghouse Electric Corporation Chairman Robert E. Kirby was listed as a Grove guest in 1979 and 1981. Westinghouse contracts include radar for the B-1B bomber and launch tubes for the Trident missile. They are heavily involved with nuclear propulsion systems and fuels. Westinghouse Director Roger Milliken, Chairman and CEO of the textile firm Milliken and Company, was listed as a 1981 Grove guest and Director Rene C. McPherson is a member.

Tenneco Inc. Chairman and CEO James L. Ketelsen is listed as a Grove guest in 1979 and 1981. His host was D.J. Russell, a Director Emeritus of Tenneco. Club member B.F. Biaggini, retired Southern Pacific Chairman, is a Tenneco Director. Tenneco operates the Newport News Shipbuilding and Dry Dock Co. and builds nuclear submarines capable of carrying nuclear warhead armed missiles and builds Nimitz class nuclear propelled aircraft carriers.

Northrop Corporation is a lead contractor on the top-secret Stealth advanced technology bomber. Costs for the Stealth program may reach 30 billion dollars. Northrop has contracts for MX missile guidance systems. Northrop Chairman of the Board and CEO Thomas V. Jones is a member of the Bohemian Club. In the summer of 1986 Jones and his wife hosted a barbecue at their Los Angeles estate for Ronald and Nancy Reagan and their friends. Northrop Director Tom Killefer, retired Chairman of the U.S. Trust Co. bank, was on the 1981 Grove guest list.

TRW Corporation is a leader in Strategic Defense Initiative Star Wars contracts and was recently selected to manage the Pentagon's free electron laser experiment program. They have been researching a new method of producing weapons grade plutonium using lasers. Ruben F. Mettler, TRW Chairman and CEO was listed as a Grove guest in 1981. TRW Directors named on lists from the Grove are member Jack S. Parker, retired Vice Chairman of General Electric, and member H. Guyford Stever, a scientist and consultant. TRW is a MX missile contractor.

UNC Resources, formerly known as United Nuclear Corporation, is a contractor at the Department of Energy's Hanford Nuclear Facility where it operates the N-reactor to produce plutonium for nuclear bombs. The N reactor is a type similar in design to the Soviet Union's Chernobyl reactor. Former UNC Chairman James R. Bancroft is a member of the Bohemian Club. His guest at the 1980 Grove encampment was former UNC Chief Executive Officer Keith A. Cunningham.

AT&T (American Telephone and Telegraph) through its Western Electric subsidiary manages the Sandia National Laboratories on a no fee no profit basis. Sandia Labs has facilities in Albuquerque New Mexico, Livermore California, and Tonopah Nevada. The Sandia Lab is involved with the design, testing, quality control, safe handling, and storage of nuclear weapons. They train military personnel on their use and maintenance and are involved with a weapon from its inception until its retirement from the stockpile. Former AT&T Chairman Charles L. Brown was on the 1979 guest list and new Chairman James E. Olson was observed en route to the Grove in 1986. AT&T Director Phillip Hawley is a club member and Directors James H. Evans, Rawleigh Warner Jr., and Joseph D. Williams are named on guest lists.

Monsanto Corporation Chairman and CEO Richard J. Mahoney was observed in transit to the Bohemian Grove in 1986. Monsanto manages the Mound Facility in Miamisburg Ohio for the Department of Energy. 2,060 people were on Monsanto's payroll there in 1982. The main activity of the Mound Facility is the production and maintenance of the non-nuclear components for U.S. nuclear weapons: detonators, timers, firing sets, and test equipment. Some work with nuclear materials also occurs there.

The Bechtel Company is a privately owned construction firm operating worldwide and headquartered in San Francisco and is a mainstay of the nuclear industry. S.D. Bechtel Sr.. and S.D. Bechtel Jr., who now runs the company, are members of the Bohemian Club. Forbes magazine in 1986 estimated the Bechtels' net worth at over 800 million dollars. The 1981-82 Bechtel Report announced that its Nuclear Fuels Operation division would pursue defense related projects. Bechtel worked on the Waste Isolation Pilot Project located in New Mexico intended for military nuclear waste. Bechtel designed the military space shuttle facility at Vandenburg Air Force Base.

Hewlett Packard Corporation co-founders David Packard and William R. Hewlett are both members of the Bohemian Club. Hewlett Packard is a contractor on the B-52 bomber and the Pershing missile. In Sonoma County, the location of the Bohemian Grove, Hewlett Packard is the largest employer and the number one recipient of Department of Defense funds.

Dr. Edward Teller, Associate Director emeritus of the Lawrence Livermore Laboratory, gave a speech at the grove in 1980. Teller is a physicist who played a major role in developing the hydrogen bomb and he is a leading promoter of Star Wars weaponry. The Livermore Lab is the number one recipient of Strategic Defense Initiative Star Wars research dollars. Teller and Bohemian Club member Karl R. Bendetsen and 1980 Grove guest Joseph Coors were members in 1981 of an advisory group to Ronald Reagan that received security clearances to learn about new weapons developments such as nuclear x-ray lasers. The group first met with the President in January 1982. Teller also had private meetings with Reagan before the President's March 1983 Star Wars speech.

Main sources for this article include: "The Nuclear Weapons Industry" by Kenneth A. Bertsch and Linda S. Shaw, Investor Responsibility Research Center, Washington D.C.; "Star Warriors" by William J. Broad, Simon and Schuster, New York; various corporate annual reports; "1982 List of Camps and Camp Members and Key to Camp Locations 1982 Midsummer Encampment - Bohemian Grove"; Grove Guest List 1979, 1980, 1981; "FAA List of Registered Aircraft by N-number, 4/13/85"; "CDE Stock Ownership Directory", Corporate Data Exchange, Inc., New York; "Aviation Week and Space Technology, May 12, 1986".

Mind control out of control: interview avec Cathy O'Brian et Mark Phillips. www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/cathyandmark.html

San Francisco Bohemian Club: Power, Prestige and Globalism : http://www.sonomacountyfreepress.org/bohos/San_Francisco_Bohemian_Club_Power_Prestige_and_Globalism.html

Counter Punch : The Truth About The Bohemian Grove : www.counterpunch.org/bohemian.html

Bohemian Grove Action Network : www.sonomacountyfreepress.org/bohos/bohoindx.html

Sources (en français) :

La Naissance du Monde, collectif aux éditions du Seuil.

Le Plus Grand Secret, David Icke, Louise Courteau Editrice.

Nexus, n°2, Le Nouvel Ordre Mondial et l'esclavage par le contrôle de la pensée par Uri Dowbenko, Editions MOAN, Les Cheyroux, 24 580 Plazac.


Allez...la messe est dite...


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Annexe



MK-ULTRA: Contrôle de l'esprit







Hommages à Reagan:
partie 1
Brice Taylor, esclave présidentielle monarque du projet MK-Ultra,
dévoile ses moments
avec Uncle Ronnie.









L'histoire que vous vous apprêter à lire n'est pas rose; le témoignage bouleversant de Brice Taylor est des plus courageux, honnête et intègre qui soit. Très peu d'esclaves du MK-Ultra ont survécu à ce programme. Je ne vous blâme pas d'éprouver de la difficulté à croire ce récit pris hors texte car on voudrait tellement que cette affaire ne soit pas vraie. Surtout lorsqu'on éprouve des sentiments d'admiration pour une personne dont on apprend les agissements cachés. Mais les accusations sont aussi pénibles à porter. Cette affaire est tellement grande et le témoignage de Brice Taylor tellement important.


Pourtant vous n'avez jamais entendu parlé de cette femme, ou de son histoire. J'ai eu la chance de discuter longuement avec Susan Ford (qui est le nom civil de Brice Taylor) et croyez-moi cette histoire est réelle et cette femme est plus que sincère.
J'ai vu les vidéos de ses conférences avec Ted Gunnerson et les autres victimes réchappées de ces projets du contrôle de l'esprit. Son dévouement acharnement à récuperer sa fille agée aujourd'ui dans la vingtaine et qui est encore sous leur emprise hospitalisée dans un institut psychiâtrique subissant la prolongation de ses mauvais traitements afin qu'elle ne puisse parler.

Mais Susan Ford n'est pas la seule victime du projet de contrôle de l'esprit MK-Ultra. Cathy O'Brian en est une autre. David Icke a aidé à la faire connaître en citant dans son livre "Le plus grand secret" tome 2 (chez Louise Courteau Éditrice) un extrait de son histoire vécue avec les mêmes têtes ou presques. Mais il n'y a pas que des femmes dans ce programme diabolique. Paul Bonaci en est un autre qui a survécu aux sévices du projet Monarch. Il a témoigné devant une court aux É-U et ce qu'il a révélé au grand jour n'était que la pointe du glacier. Il a gagné. Fritz Springmeir et Cisco Wheeler en ont longement expliqué les ramifications et techniques. La liste des victimes-esclaves de "contrôleurs" dirigeants, militaires, acteurs, financiers et autres membres de l'Élite du Nouvel Ordre Mondial est très longue.

L'histoire telle qu'on vous l'a raconté est un grand mensonge. Les héros qu'Hollywood et les médias nous dépeignent sur leurs écrans lumineux sont créés et montés de toute pièce alors qu'en réalité beaucoup de ces acteurs, chanteurs populaires, musiciens, politiciens, ministres, présidents, financiers, médecins, psychiâtres, haut-gradés militaires,vedettes du sport et des arts ne sont que de pauvres victimes ou pantins manipulées par leurs maîtres, en mal d'Égo, de pouvoir, d'honneurs, de gloire, de $écurité, de protection, parfois crapules, ignobles et pervers, d'autres malgré eux, mais la plupart possédés par diverses séductions ou tromperies suivi d'un chantage bien calculé se font attrapper dans les tentacules de la pieuvre, de la bête.


Mais les maîtres-joueurs du Conseil (selon le terme que vous désirez utiliser pour traduire "The Concil") du Nouvel Ordre Mondial sont très intelligents et astucieux, guidés et inspirés par les forces invisibles d'un égrégore encore plus puissant que toute l'Élite mondiale réunie ensemble. Elle appartient même à un autre monde, une autre espèce, un autre temps.


Sans le savoir ni s'en rendre compte, nous contribuons quotidiennement, pour ne pas dire horairement, à l'agenda du contrôle planétaire des masses et dirigeants des pays en la nourissant de nos énergies, nos sueurs, nos pensées, nos émotions et en demeurant figés et tacites devant l'ampleur de cette conspiration dirigée directement contre nous tous, l'humanité entière. C'est une moquerie gigantesque qu'il faut dénoncer à tout prix. Nous nous devons de démolir l'édifice du mensonge dans lequel ils habitent et se cachent. Ils sont en possessions de technologies au-delà de votre imagination, et maintenant les puces micro, émetteurs d'ondes, radio, télévision, journaux et maintenant la nanotechnologie. Ces prédateurs ont tout en main. Pas vraiment. C'est pourquoi ils ont peurs et se hâtent d'installer leur système de "La Guerre des Étoiles" mais cela est une autre histoire. Une bouchée à la fois.


Tout ceci dans un seul but: l'avancement de la race humaine et sa qualité de vie ? FAUX" Un seul but: le contrôle total de la masse planétaire après l'avoir épurée des gênes défectueux, les bouches inutiles et les indésirables pour conserver les meilleurs pour "le meilleur des mondes" avec une nouvelle race de bleus.

Les extraits de son livre ci-bas sont seulement ceux qui font allusion à Ronald Reagan, en l'honneur de sa mort qui en a libéré plusieurs...


Couverture du livre "Thanks for the memories" ("Merci pour les souvenirs" ici a deux connotations) (titre en moquerie pour la chanson que chantaient entre autre Frank Sinatra et Bob Hope, deux des contrôlleurs de Brice Taylor)




Les pays riches et puissants se sont construits sur la guerre, le meurtre, l’exploitation et le pillage des autres pays... et ils continuent de le faire.

La Famille Royale d'Angleterre oblige tous ses membres et surtout TOUS SES ENFANTS a des entraînements militaires DURANT TOUTES LEURS VIES ET CELA DÈS L'ENFANCE. L'Humanité peut bien condamner les musulmans fanatiques de se servir de ses enfants comme chair à canon et d'entraîner leurs enfants à la guerre: ET BIEN LA COURONNE D'ANGLETERRE LE FAIT AUSSI et depuis toujours..... et personne ne les condamne ni ne les pointe du doigt.

Sa Majesté de la pauvreté; des 70% de pauvres nécessaires à leurs hiérarchies
ou
Sa Majesté de la richesse pour tous
Sa Majesté royale du Non Partage
Lords des hiérarchies des revenus par l'Équitré (contraire de l'Égalité)
Premiers Ministres de la Concurrence entre les Pays au lieu du Partage
Ô Présidents du ''Diviser pour régner'' au lieu d'unir et de sécuriser

Donc, lorsque les futurs rois-reines sont accoutumés dès l'enfance aux armes et à l'esprit de guerre: il n'est pas étonnant que leurs entraîneurs (rois-reines) aillent même jusqu'à fabriquer des guerres pour les exercer à bien contrôler les armées amies et les armées qui jouent aux ennemies... sauf que les militaires ne savent rien de tout cela car ils croient obstinément au sérieux de ces guerres, guerres d'amusements pour cette Monarchie qui gouverne hypocritement le Monde à travers Ordres/Trilatérale/FMI/ONU/Bilderber/USA/G-8/......
ACCOUTUMER DES ENFANTS À L'UTILISATION D'ARMES C'EST CRIMINEL ET C'EST COMPLÈTEMENT CINGLÉ: LAISSEZ LES ENFANTS ÊTRE DES ENFANTS ET NON PAS DES ENFANTS-MILITAIRES







La peur est notre pire ennemi.





Un peureux meurt plusieurs fois pas jour.

Une personne qui n'a pas peur une seule fois



Et un humaniste, par ses oeuvres, peut-être jamaios.




















P. S.
NE CROYEZ PAS CES BLOGS ''MILITAIRES'' qui vous parlent de conspirations et qui vous donnent la moitié des informations mais seulement dans le but de vous faire croire que la cause des causes CE N'EST PAS LA COURONNE D'ANGLETERRE mais les illuminaty ou des extras terrestres ou les rotschids ou les rockefeller ou....... Ces BLOGS MILITAIRES ignorent volontairement que LA FAMILLE ROYALE DE LONDRES ET SES ARMÉES ET SES 2,6 millions d'entreprises dans le Monde a mis en plce tout: et oui, les leaders Britanniques ontmis en place les banquiers rotschils, les rockefeller, la franc maçonnerie dont la loge mère est à Londres, les Chefs des États .......

C'était une version ‘’COMMENTÉE’’ et ‘’IMAGÉE’’ sur les faits concernant l’histoire triste de Mme Cathy O’Briand qui affirme avoir été manipulée/violée/programmée par la violence par la CIA durant la 2ième Guerre Mondiale jusqu’en 1986.

Si vous voulez aussi voir la VERSION NON COMMENTÉE cliquez sur ce titre : ‘’CONTRÔLE DE L’ESPRIT PAR DES TRAUMATISMES’’

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ANNEXE

Déprivatisons les milliardaires Entreprises pour qu'elles ne créent plus des autos faites pour briser rapidement (c'est voler notre argent et le fruit de notre travail): afin de construire des BIENS DURABLES comme des autos qui ne brisent presque plus ---- c'est ça en avoir pour son argent et avoir une Économie Rationelle et Intelligente. Nous avons tout inversé, il urge de tout ramener `a l'endroit..... Vers des États HUMANISTES et une Économie du Partage entre tous les Pays.

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Pourquoi des guerres ? Nous allons y répondre mais d'une façon différente tout en considérant les différences de coutumes et de croyances entre les peuples; le Commerce International, les Armées en arrière de tous les États, ....... et l'Angleterre qui tient à sa monarchie mondiale, et ....

" Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin . " L'industriel Henry Ford.

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Des Multinationales criminelles de guerre ont contribuées à tuer les 6 millions de Juifs

Ford, GM et les nazis


Dernière mise à jour le lundi 30 novembre 1998, 09 h 20 CODE_HAE.

Dans son édition de lundi le Washington Post affirme que des historiens et des juristes ont découvert, preuves à l'appui, que les constructeurs automobiles américains Ford et General Motors ont collaboré avec le régime nazi pendant la guerre.

Un rapport de l'Armée américaine en date du 5 septembre 1945, accusait la filiale allemande de Ford d'avoir servi d'arsenal au nazisme pour les véhicules militaires, avec le consentement de la maison mère.



GM aurait joué un rôle déterminant dans l'invasion de la Pologne et de l'URSS par les troupes d'Hitler.

General Motors, recevra d’Hitler l’ordre de l’Aigle d’Or
HENRY FORD QUI REÇOIT la médaille de l'Aigle d'Or des Nazis.

En outre, le chef de laVermittlungstelle Wehrmacht, Carl Krauch, était aussi le directeur de Ford Motor Co. en Allemagne. En avril 1943, une enquête menée par le gouvernement américain sur les filiales de Ford en France conclut que « leur production ne bénéficie qu’à l’Allemagne et aux pays que celle-ci occupe ». En outre, « l’activité accrue des filiales françaises de Ford pour le compte des Allemands est approuvée par lafamille Ford en Amérique ».


La fameuse photo avec les quatre lors de la conférence de Munich : Chamberlain, Daladier, Hitler, Mussolini



Pour dominer le Monde, se sont unis : la Grande Bretagne, Esso, ALCAN, Massy-Ferguson, Otis Elevator Vauxhall, GM, International Harvester, Chrysler…



La Bank of England est détenue par la famille Rotschild et ces derniers furent mis en place par la Reine-Mère.



Alexandrine Victoire de Hanovre (en anglais Alexandrina Victoria of Hanover) dite DrinaEdouard d'Angleterre, duc de Kent et de Strathearn et de Victoria de Saxe-Cobourg-Saalfeld. Née à Londres le 24 mai 1819 et décédée à Osborne le 22 janvier 1901.
est la fille du prince
La vie personnelle de Victoria est marquée par de nombreuses tragédies personnelles, dont la mort de son fils, le prince Alfred, duc de Saxe-Cobourg-Gotha, la maladie mortelle de sa fille, l'impératrice douairière allemande Victoria, princesse royale. Et se maria avec l'ALLEMAND
Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Voici son titre: prince François Auguste Charles Albert Emmanuel de Saxe-Cobourg et Gotha.Et voici le nom Allemand du mari de la reine Victoria: Franz August Karl Albert Emanuel von Sachsen Coburg und Gotha. D'origine allemande, ses activités politiques furent officiellement limitées. Mais au moment de la guerre de Crimée, il participa à la réorganisation de l'armée, puis se révéla un excellent conseiller pour la reine qui le mit discrètement à contribution, écoutant ses avis avec beaucoup d'attention. Si les premières années, il n'assistait pas aux entretiens de la reine avec les ministres, il fut par la suite toujours présent, au courant de tout et accomplissant, avec passion et compétence, un travail important pour alléger la tâche de sa femme. C'est d'ailleurs en reconnaissance de ce travail que la reine Victoria créa le titre de prince consort. Le 10 février 1840, il épousait sa cousine la reine Victoria.

1917, L'ALLEMAGNE, ÉTAIT DIRIGÉE PAR

UN DES PETIT-FILS DE VICTORIA, GUILLAUME II



À Victoria succède son fils aîné, le prince Édouard, prince de Galles, qui règne sous le nom d'Édouard VII. La mort de Victoria sonne, au Royaume-Uni, la fin de la Maison de Hanovre, une branche de la Maison d'Este ; Édouard VII, comme son père le prince Albert, appartient à la Maison de Saxe-Cobourg-et-Gotha, une branche de la Maison de Wettin. Le fils et successeur d'Édouard VII, le roi George V, change le nom de la Maison royale en Maison de WindsorPremière Guerre mondiale (1917), car le nom Saxe-Cobourg-Gotha est associé à l'ennemi du Royaume-Uni, à savoir l'Allemagne, dirigée pourtant par un des petit-fils de Victoria, Guillaume II.

Il est d'ailleurs à noter que deux autres souverains allemands de cette période sont aussi des petit-fils de Victoria: le grand-duc de Hesse, frère de la tsarine et le duc de Saxe-Cobourg-Gotha.

*** Alors, vous voyez que les guerres qu'ils font ne sont que pour mater les populations et éliminer qui ils veulent et surtout les pauvres que leurs hiérarchies monarchites ont créés.

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Henry Ford : "Ni les Alliés, ni l’Axe ne devraient gagner la guerre. Les USA devraient fournir aux deux camps les moyens de continuer à se battre jusqu’à ce que tous deux s’effondrent."


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Sans Ford (et d'autres industriels et penseurs de differentes nationalités), il n'y aurait pas ete possible de faire le blitzkrieg et donc il n'y aurait pas eu l'horrible seconde guerre mondiale!!!


De plus ayant tout comme d'autres industriels, des usines dans les trois camps differents (USA,URSS ,Allemagne) ils ont fait durer la guerre le plus longtemps possible pour un max de benefice et pour marquer du mieux possiles esprits pour qu'ils desirent la paix grace a un gouvernement mondial crée grace aux nombreuses unions economiques (union europeenne, union mediterraneenne, union nord americaine, union asiatique,...)!!!



La Compagnie Ford par exemple, bénéficie de l'abondante main-d'œuvre gratuite ou à très bon marché, que le système concentrationnaire nazi suscite.



Et ces multinationales de guerres demeurent impunies et mènent encore la Planète.... elles osent même venir nous quêter des aides financières comme GM le fait aux américains et sans se gêner de faire en même temps des centaines de mises à pieds...... Nationalisons toutes les Multinationales, elles doivent être LE BIEN DE L'HUMANITÉ et tous les profits doivent être distribués également entre tous les les adultes du Monde Entier



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Comment LONDRES, par General Motors, a créé et
mobilisé le Troisième Reich
Le 2 Mai 1934, le président de General Motors Corp outre-mer se trouve à une rencontre avec Adolf Hitler dans son bureau de la chancellerie. James D. Mooney a pris avec lui deux cadres supérieurs du GM division allemande, Adam Opel AG

QUAND DES MULTINATIONALES SONT AU-DESSUS DE NOS PAYS ET ALIMENTENT LA RUSSIE, L'ALLEMAGNE.....


Sloan, président de GM en 1937, a dit que les actionnaires de GM était «trop gros» pour être entravé par les "petits chicanes internationale», selon une enquête du Congrès. Et SLOAN banaisait sa relation avec les nazis en disant que ce n'était que des relations d'affaires (affaires criminelles)....


Opel --- FILIALE DE GM en Allemagne --- Opel produit des camions, des moteurs de bombardiers, des mines, de torpilles de détonateurs et d'autres matériels de guerre, une quantité importante de celui-ci par la sueur de milliers de prisonniers ou travailleurs forcés d'autres travailleurs; certains de ces travailleurs ont été torturées si elles ne répondent pas aux attentes.


Opel --- FILIALE DE GM en Allemagne --- Opel produit des camions, des moteurs de bombardiers, des mines, de torpilles de détonateurs et d'autres matériels de guerre, une quantité importante de celui-ci par la sueur de milliers de prisonniers ou travailleurs forcés d'autres travailleurs; certains de ces travailleurs ont été torturées si elles ne répondent pas aux attentes.




Escroqueries de GM

Le 2 Octobre 1946, une note du ministère de la Justice a atterri sur le bureau de J. Edgar Hoover, en décrivant les éléments de la conspiration GM.

En effet, GM a mobilisé le Troisième Reich, la société a également été la tête d'une conspiration criminelle à saper les monopoles de transit de masse dans des dizaines de villes américaines pour le TRAFIC DES DROGUES aux États-Unis et du pétrole... Le ministère de la Justice a découvert que National City Lines vient d'une société de façade pour General Motors, dans la ligue avec Mack Truck, Phillips Petroleum, Standard Oil de Californie et de pneus Firestone - tous les intérêts pétroliers. Les sociétés sont devenues les principaux actionnaires préféré de National City Lines, mais exploité dans les coulisses.... En avril 1947, les actes d'accusation alléguant deux chefs d'accusation de conspiration criminelle ont été prononcées contre General Motors, Mack Truck, Phillips Petroleum, Standard Oil de Californie et de pneus Firestone, ainsi que contre de nombreux dirigeants clés des entreprises. CES SOCIÉTÉS ONT ÉTÉ CONDAMNÉES À DES AMENDES RIDICULES DE 1000 $ ET 5000$ le premier avril 1949.

were branded as Boron. In the 1980s, British Petroleum bought Truckstops of America, then adding Gulf’s southeastern units as Gulf oil regrouped. Then they

Le Royaume-Uni a utilisé toutes ces multinationales pour diviser les pays en les alimentant de technologies de guerres..... car le but pour les anglais était d'expérimenter et de développer divers outils....... mais toujours de guerres évidemment.


En Juin 1940, après la chute de la France, Henry Ford fait produire des moteurs Rolls-Royce pour avions de combat britanniques, et aussi en Allemagne

Et plein de fillettes seront enlevées par les Allemands pour
travailler à l'usine Ford े
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ESSO ou EXXON Mobil appartient à John Davison Rockefeller, fondateur de la Standard Oil

Les Actionaires : Angleterre : Barclays (4,42 %); JP Morgan Chase (1,40 %)….. Chiffre d’affaires : $404,5 milliards USD (2007).





Durant la Seconde Guerre mondiale, ESSO finance une partie de l'armement d'Hitler.


Les pays riches et puissants se sont construits sur la guerre, le meurtre, l’exploitation et le pillage des autres pays.


La puissance économique des multinationales dérive des concessions des États d’origine. ITT, firme pétrolière et d’autres sont accusés d’intervenir dans la politique d’autres pays, d’où elles tirent de gros profits ; d’acheter des dirigeants, des officiers supérieurs, de fomenter des Coups d’États…


L’ÉCONOMIE ET LE SYSTÈME AMÉRICAIN SONT FONDÉS SUR LE VOL ET L’EXPLOITATION …….. LES VÉRITABLES TERRORISTES SONT L’ÉCONOMIE ET LES PUISSANCES DERRIÈRES

FORD, IBM, GÉNÉRAL ÉLECTRIC, GM, IT&T ……. TOUS ONT PARTICIPÉES À LA GUERRE D’HITLER


Ils doivent le reconnaître et faire des excuses mondialement



Ford, General Motors et le Troisième Reich : une collaboration ...


General Motors, IBM, Standard Oil et bien d'autres ont été classés les rapports avec les ennemis des États-Unis diffusé dans les instances publiques. However, one criminal has had little exposure - Prescott Bush, father and grandfather to two occupants of the Whitehouse.

Cependant, un criminel a eu peu d'exposition - Prescott Bush, père et grand-père de deux occupants de l'Whitehouse.


GM, qui a été commandé par la famille de dupont pendant les années 30, a possédé 80% des actions d'Opel AG, qui ont fait 30% des voitures du tourisme de l'Allemagne. Hitler Aidant : Quand les divisions du panzer de Hitler roulées en la France et l'Europe de l'Est, elles montaient dans les camions d'Opel et tout autre équipement. Opel a gagné à GM des $36 millions lourd dans 10 ans avant que la guerre a éclaté, mais parce que Hitler a interdit l'exportation du capital, le GM a réinvesti les bénéfices à d'autres compagnies allemandes. Au moins $20 millions ont été investis aux compagnies possédées ou commandées par des fonctionnaires de nazi.


Le GM a pu avoir même tracé contre l'administration de Roosevelt. Selon Charles Higham en son livre "commerce avec l'ennemi," les représentants de GM se sont réunis secrètement avec le von Killinger de baron Manfred, le chef occidental Nazi de la côte de l'Allemagne de l'espionnage, et le von de baron Tippleskirsch, général Nazi de consul et chef de Gestapo, à Boston 23 novembre 1937. Le groupe "a signé un accord commun montrant l'engagement total à la cause Nazie à l'avenir indéfini," et a proclamé que "en raison de l'attitude de Roosevelt envers l'Allemagne, tout effort doit être fait pour l'enlever par défaite à la prochaine élection. L'influence juive dans la vie politique, culturelle, et publique en Amérique doit être emboutie dehors. La pression et la radio doivent être subventionnées pour enduire l'administration, "et un führer, peut-être Sen. Burton Wheeler du Montana, devrait être dans la Maison Blanche . Bien que le groupe ait essayé de garder le secret d'accord, John représentatif M. Coffee de Washington découvert à son sujet et a fait imprimer le texte entier de l'accord dans le disque congressionnel en août 1942.



Opel, la filiale allemande de GM, et Ford-Allemagne étaient les deux premiers constructeurs de camions pour les forces militaires allemandes.


Churchill a été financé par le BOE, qui est contrôlée par les Rothschild. The Rotschilds also controlled Hitler, who was 1/4 Rothschild. Le Rotschilds également contrôlée Hitler, qui était de 1 / 4 de Rothschild.


Ford,_Edison,_Harding,_and_Firestone,_New_York_Times,_1921.JPG



HENRY FORD, fondateur de Ford Motor Company - le raccordement Nazi : Ford, un anti-Semite franc, était un grand donateur à la partie Nazie.


Henry Ford participe à l'effort de guerre allemand avec Opel, filiale de General Motors
Henry Ford crée, dans les années 1930, la première usine automobile moderne d'Union Soviétique, à Gorki. À peu près à la même époque, Henry Ford est aussi le plus célèbre des bailleurs de fonds étrangers d'Adolf Hitler, et il a été récompensé dans les années 1930 pour ce soutien durable avec la plus haute décoration nazie pour les étrangers
Ford met en place avec sa Ford Motor Company une idéologie industrielle basée sur les principes d'ordre et d'autorité. Foncièrement antisémite et furieux de découvrir que son entreprise pourrait être affectée par ce qu'il considère indigne de forces politiques[58], il n'hésite pas à accuser les Juifs d'avoir déclenché la Première Guerre Mondiale[57]. Nombreux sont les mouvements américains qui reprennent ses théories antisémites pour raviver une haine latente.
Un procès en diffamation intentée par un avocat de San Francisco et une coopération agricole juive en réponse à des articles antisémites conduisent Ford à fermer le journal en décembre 1927.


Hitler Aidant : Ford bankrolled prétendument Hitler au début des années 20, à un moment où la partie a eu peu d'autres sources de revenu. En fait, la partie pourrait avoir péri sans patronage de Ford. Hitler a admiré Ford énormément. En 1922, les temps de New York rapportés, "le mur près de son bureau dans le bureau privé de Hitler est décoré d'une grande image d'Henry Ford. Dans l'antichambre il y a une grande table couverte de livres, presque qui sont des traductions des livres écrits et édités par Henry Ford." (passages réellement empruntés de Hitler du livre de Ford le juif international à employer dans Mein Kampf).

La même année, le journal allemand Tageblatt berlinois, un ennemi de Hitler, a invité l'ambassadeur américain à étudier le placement de Ford de Hitler, mais rien n'a été jamais fait.
Ford n'a jamais nié qu'il a eu bankrolled le führer. En fait, Hitler a présenté la plus haute décoration Nazie de l'Allemagne pour des Étrangers, la croix grande de l'aigle allemand, à Ford.


Hitler fit décorer Henry Ford d'une très haute distinction nazie qui lui fut remise par le Consul

Il faut dire que Ford Motors venait d’inaugurer à Berlin une usine d’assemblage de camions pour le transport des troupes de la Wermacht.

Au début de la guerre, en 1939, tant Ford que GM convertirent leurs usines allemandes et autrichiennes vers la production d’équipement militaire. GM et Ford construisirent 90 % des transports blindés Mule, et 70 % des camions lourds du Reich. Les services d’espionnage États-Uniens considéraient ces véhicules comme la colonne vertébrale du système de transport allemand.

En Juillet 1938, avant le déclenchement de la guerre, le consul allemand à Cleveland décerna à Ford, pour son 75ème anniversaire, une Grand-Croix de l'Aigle allemand, la plus haute médaille de l'Allemagne nazie sur l'honneur que peut recevoir un étranger



March 1941, certificat du mérite allemand de FORD remis par Hitler

La filiale Ford avait débuté en 1933. Jusque décembre 1941, elle fut sous la direction des Américains Edsel Ford et Robert Sorenson. L'offensive éclair Barberousse sur l'URSS permit l'arrivée d'esclaves ; dès lors, d'immenses profits furent amassés La preuve du contrôle de l'usine de Cologne par Ford en 1941 est donnée par l'existence d'actions de 1000 reichsmark portant la signature de Ford, émises en mars 1941 : voir le fac-simile sur le site : http://www.scripophily.net/foakr19.html





CES CRIMINELS (FORD, GM.... DE LONDRES) IMPUNIS


« Henry Ford, le plus que septuagénaire milliardaire américain, est un antisémite maladif. Il accuse les Juifs d'avoir déclenché la grande Guerre et commence à les attaquer dès 1916. En 1920, il achète un hebdomadaire, le Dearborn Independant, qui lui fournit une tribune. Il entretient des relations privilégiées avec l'Allemagne nazie. Henry Ford est décoré, à Detroit le 30 juillet 1938, de l'ordre allemand de l'Aigle. Cette distinction, réservée aux étrangers, lui est remise par le consul allemand à Detroit, Karl Capp et par son homologue à Cleveland, Fritz Heiler[N 4]. Il participe le 26 juin 1940 à un dîner de gala au Waldorf Astoria de New York, destiné à célébrer la victoire allemande sur la France, après que cette dernière lui eut déclaré la guerre. »

Henry Ford a publié un ouvrage en quatre volumes, The International Jew, qui rassemble des articles parus dans le journal The Dearborn Independent. Une phrase dans un texte dédié à la salutaire « réaction de l’Allemagne contre le Juif » illustre cet esprit soi-disant "scientifique" et dont le langage est chargé de métaphores médicales : il s’agit d’une question d’« hygiène politique », parce que « la principale source de la maladie du corps national allemand [...], c’est l’influence des Juifs »

La contribution de Ford à la propagation de l'antisémitisme va au-delà de l'imprimé. Il travaille activement à former une communauté. Au départ, réunis autour du Dearborn Independent, ces hommes constituent une force importante dans l'évolution américaine de l'antisémitisme, et inclus un grand nombre de profascistes. Selon Ford, leur émigration massive d’Europe de l’Est en Amérique du Nord est une véritable invasion : le « Juif international » peut déplacer un million de personnes de la Pologne vers l’Amérique « comme un général déplace son armée[74] ». Les Juifs sont responsables de l’introduction dans les arts de la scène aux États-Unis d’une « sensualité orientale » sale et indécente, « instillant un poison moral insidieux


Il faut savoir qu'Henry Ford, comme Prescott Bush (grand-père du prés. Bush actuel en 2008) faisait parti du conseil d'administration de BBH (Brown Brothers Harriman, qui prétendait être la plus grande banque d'investissement privée du monde). Durant toutes les années 30, il n'y avait rien d'illégal à faire des affaires avec les Thyssen et nombre d’entreprises américaines, parmi les plus connues, avaient lourdement investi dans la reprise économique allemande. Cependant, tout changea après que l'Allemagne eut envahi la Pologne en 1939. Même à cette date, on pourrait soutenir que BBH était dans ses droits en continuant ses relations d'affaires avec les Thyssen, et ce jusqu'à la fin de 1941, puisque les Etats-Unis étaient techniquement toujours neutres, du moins, jusqu'à l'attaque de Pearl Harbor.




Autre livre prouvant la participation de GM, de FORD.... à armer la guerre de Londres par Hitler...... Edited and Translated by Nicholas Levis. Published by Berghahn Books, New York 2000
Hardcover, 350 pages, 59 illustrations, select bibliography, index. ISBN 1-57181-224-5


Hélas, les gens pour u job et un peu d’argent ont toujours été prêts à faire n’importe quoi…॥ Que la morale de la survie et du salaire! Ô Citoyens : ne soyez plus jamais achetables, restez intègres et préférez vivre même pauvrement qu’en tueurs et complices de tueurs internationaux! Ne soyez plus jamais COMPLICES d’aucune guerres! POPULATIONS ASSASSINES, DES MÈRES ET DES PÈRES VENDUS













Sans l'aide des États-Unis des industriels, Hitler n'auraient jamais été en mesure de mener la Seconde Guerre mondiale. GM, qui a été contrôlé par la famille du Pont

during the 1930s, owned 80% of the stock of Opel AG, which made 30% of pendant les années 1930, appartenant à 80% du stock d'Opel AG, qui fait 30% de

Germany's passenger cars.* De l'Allemagne des voitures particulières .*












Ford Werke AG produced more than 10,000 of these vehicles on special order from the Wehrmacht in 1943













Raymond Aron, le chef de file français du Congrès pour la liberté de la culture 1950


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Raymond et Suzanne Aron avec leur officier traitant de la CIA, Michael Josselson, et Denis de Rougemont



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ENTREPRISES MILITAIRES DE GUERRES

LA REINE-MÈRE EN ARRIÈRE DE CES GRANDES FAMILLES


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Pendant des dizaines d'années, des rumeurs liant lde grandes familles américaines (Bush, Ford, Kennedy, Rockfeller, etc...)
à la machine de guerre nazie ont circulé.

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Standard Oil mai ont également contribué à diffuser pro-nazis dans la littérature

fortune fondée sur le sang des Juifs

Hitler eSt admirateur du seigneur de la presse britannique Randolph Hearst et Irénée Du Pont, le chef de Du Pont de confiance qui, selon Charles Higham, a déjà "tout à fait suivi la carrière du futur Fuhrer dans les années 1920, et soutenu financièrement. Eventually, most American captains of industry learned to love the Fuhrer. Finalement, la plupart des capitaines américains de l'industrie appris à aimer le Führer.


James Mooney, qui dirigeait les filiales européennes étrangères de GM, eut des entretiens avec Hitler deux semaines après l’invasion de la Pologne, ...






Il y a près de soixante ans, les GIs américains qui se battaient en Europe contre les troupes d’Hitler eurent la surprise de découvrir que les militaires allemands conduisaient des camions Ford.

S’ils avaient porté leurs regards vers le ciel, ils auraient pu voir voler les avions nazis construits par Opel, une filiale de General Motors (GM). En 1939, les filières allemandes de General Motors et Ford approvisionnaient 70% du marché allemand de voitures.

Les filiales allemandes de ces deux géants de l’automobile ont aussi fabriqué du matériel militaire pour les armées de l’Etat fasciste. Des recherches historiques ont établi que certains des dirigeants de ces deux firmes collaborèrent à la conversion en industries militaires des usines Ford et GM d’Allemagne et des zones occupées de France et de Pologne.

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Au sujet des rapports entre Ford et les Nazis, l’historienne Miriam Kleinman écrit : "Quand vous pensez à Ford, vous pensez au baseball ou aux donuts. Vous ne pensez pas au portrait d’Henry Ford qu’Hitler avait accroché dans son bureau."

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De fait, les rapports entre Henry Ford et le dictateur allemand sont antérieurs à la prise de pouvoir par les Nazis, en 1933. Parmi les anti-sémites, Henry Ford s’est distingué en publiant de nombreuses calomnies contre le peuple juif dans un journal qui lui appartenait. Si bien qu’en 1931, Hitler disait, dans le Detroit News : "Je considère Henry Ford comme une inspiration." L’admiration était apparemment réciproque. En juillet 1938, Henry Ford acceptait une médaille du gouvernement allemand, la plus grande récompense qui pouvait être remise à un étranger par les Nazis. Un mois plus tard, James Mooney, un haut dirigeant de GM, recevait également une médaille du gouvernement allemand "pour les grands services rendus au Reich." L’écrivain anglais Charles Higham cite ces paroles de Mooney, en 1940 : "Hitler est dans le vrai, et je ne ferai rien qui puisse le contrarier." A la fin de la guerre, Henry Schneider, un enquêteur de l’armée américaine, qualifiait la filiale allemande de Ford d’"arsenal du nazisme, du moins pour les véhicules militaires". D’après Schneider, ce dispositif avait l’approbation des dirigeants de Ford, aux USA. La reconnaissance des Nazis pour Ford et GM était bien fondée : les camions "Blitz", produits dans une usine construite par GM à Berlin, étaient une composante majeure de la "Blitzkrieg", l’agression allemande contre ses pays voisins : la Pologne, l’URSS et la France. Opel, la filiale allemande de GM, et Ford-Allemagne étaient les deux premiers constructeurs de camions pour les forces militaires allemandes.


La relation mutuellement avantageuse entre les deux géants américains de l’automobile et l’Etat fasciste dépassait largement le cadre du commerce de camions. Schneider affirme que Ford livrait aux Allemands de grandes quantités de caoutchouc, une matière vitale pour assurer la mobilité des armées fascistes. L’écrivain Snell accuse GM d’avoir fourni au régime nazi la technologie nécessaire pour produire du carburant synthétique. Snell dit avoir été informé par le chef des armées nazies Albert Speer que, sans cette technologie, Hitler "n’aurait jamais songé à envahir la Pologne." Le déchaînement de la guerre en 1939 n’a donc pas du surprendre GM ou Ford ; ces deux firmes qui ont rivalisé pour le marché allemand depuis les années 1920. James Mooney, qui dirigeait les filiales européennes étrangères de GM, eut des entretiens avec Hitler deux semaines après l’invasion de la Pologne, à la suite de quoi les filiales allemandes de GM continuèrent de fabriquer du matériel de guerre pour l’armée nazie.

La France occupée par les Allemands continuèrent de produire des camions pour l’armée nazie après 1941, et que Ford ouvrit une autre filiale en Algérie, pour fournir au Général Rommel des camions et des voitures blindées. En avril 1943, le secrétaire américain au trésor Henry Morgenthau estimait que la production de la filiale française de Ford était "au seul profit de l’Allemagne", qui avait "clairement démontré sa volonté de protéger les intérêts de Ford."


Ford recevant une récompense des officiels nazis



Sloan et Ford n’étaient pas les seuls à entretenir des relations privilégiées avec les Nazis : c’était aussi le cas du patriarche de la famille Bush, Prescott Bush. L’enthousiasme suscité par Hitler chez une large fraction de la classe dirigeante américaine est une expression claire du fait que ce n’est pas la bonne classe sociale qui détient le pouvoir.


Quant au fait que GM, Ford et toute leur classe de sangsues assoiffées de profit continuent de mener les affaires de ce pays et du monde entier, il démontre clairement la nécessité d’un changement complet !

Ford, General Motors et le Troisième Reich : une collaboration “hautement profitable”

GM et Opel étaient impatients, désireux et rouages indispensables dans le Troisième Reich de l 'réarmement géant, un réarmement que, comme beaucoup l'ont craint durant les années 1930, permettrait à Hitler à la conquête de l'Europe et de détruire des millions de vies .





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À l’époque, ce magnat présidait la German Steel Trust, consortium de l’industrie de l’acier fondé par Clarence Dillon, un des hommes forts de Wall Street. Samuel Bush, père de Prescott, grand-père de George senior et arrière-grand-père de George junior, l’actuel président des Etats-Unis, était un collaborateur de confiance de Dillon. En 1923, Harriman et les Thyssen décidèrent de créer la banque et nommèrent à la présidence Prescott, père de George Herbert Walker. Ils créèrent plus tard, en 1926, l’Union Banking Corporation (UBC) et mirent à sa tête Prescott. Cette même année, il fut nommé vice-président et associé de la Brown Brothers Harriman. Les deux sociétés permirent aux Thyssen d’envoyer leur argent d’Allemagne aux États-Unis via les Pays-Bas. « Bien que d’autres sociétés aient aidé les nazis (la Standard Oil, la Chase Bank de Rockefeller ou les grands constructeurs de voitures nord-américains comme FORD et GM), les intérêts de Prescott Bush étaient beaucoup plus profonds et sinistres », écrit l’économiste nord-américain Victor Thorn. Thorn ajoute que « la UBC devint la voie secrète de la protection du capital nazi ; il partait de l’Allemagne aux États-Unis en passant par les Pays-Bas. Et quand les nazis avaient besoin de renouveler leurs provisions, la Brown Brothers Harriman envoyait directement des fonds en Allemagne ».

La UBC recevait donc l’argent des Pays-Bas et la Brown Brothers Harriman le renvoyait. Et qui faisait partie de la direction de ces deux compagnies ? Prescott Bush en personne, le premier blanchisseur d’argent des nazis.


"Le fait que, depuis le début de la guerre, nous pourrions produire du plomb tétraéthyle est entièrement dû à des circonstances qui, peu de temps avant, les Américains [Du Pont, GM et Standard Oil] nous a présenté avec les usines de production avec des connaissances expérimentales. Sans-plomb tétraéthyle la méthode actuelle de la guerre serait impensable. "

En 1934, la Commission d’enquête du Sénat confirma « les soupçons [de Butler] selon lesquels le big business - Standard Oil, United Fruit, le trust du sucre, les grandes banques - avait été derrière la plupart des interventions militaires qu’on lui avait ordonné de conduire ».

En Grande-Bretagne aussi, un puissant courant oligarchique soutint Hitler tout au long des années 30, jusqu’à défendre, en 1940, une paix négociée avec lui. The Link était une organisation britannique de sympathisants nazis haut placés, dirigée par Lord Halifax, le ministre des Affaires étrangères et futur ambassadeur aux Etats-Unis. Parmi les personnalités pro-nazies, il y avait aussi le duc de Windsor. En été 1937, le duc rencontre deux envoyés d’Hitler, Rudolf Hess et Martin Bormann, à l’hôtel Meurice à Paris, où il promet d’aider le premier à contacter le duc d’Hamilton, un homme directement lié à Himmler et à Kurt von Schröder, à la Schröder Bank et à la synarchiste Banque Worms. Hess était déterminé à forger une alliance avec la Grande- Bretagne, au point où il entreprit le vol se terminant par son parachutage dramatique sur la propriété d’Hamilton en 1941. On compte aussi, parmi les fervents sympathisants d’Hitler, Montagu Norman, de la Banque d’Angleterre et de la BRI, et Lord McGowan
Signalons deux autres membres du cercle, Sir Samuel Hoare et Lord Beaverbrook. Le premier, en sa qualité de secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères en 1935, se joignit au Premier ministre français Pierre Laval pour soutenir l’invasion de l’Ethiopie par Mussolini.

Lorsque Winston Churchill arriva au pouvoir, il nomma Hoare
ambassadeur dans l’Espagne de Franco, de mai 1940 à juillet 1944.
Quant à lord Beaverbrook, il accompagnait Hoare dans les négociations avec
Laval concernant l’Ethiopie et soutint le roi pro-nazi Edward VIII (l’ancien
duc de Windsor), lors de la crise d’abdication. En 1935, Beaverbrook
rencontra personnellement Hitler et Mussolini et fut l’invité du ministre
allemand des Affaires étrangères, Joachim von Ribbentrop, aux jeux
olympiques de Munich l’année suivante. L’homme de confiance du lord,
Sefton Delmer, qui dirigeait le bureau du Daily Express de Beaverbrook à
Berlin, était un confident d’Hitler. Dans son reportage sur l’incendie du
Reichstag, il prit à son compte la version des nazis qui devait faciliter la
consolidation du pouvoir d’Hitler.


Au même moment, le président de la Standard Oil de Rockefeller dans le New Jersey, Walter Teagle, est nommé directeur de American IG (Farben) Chemical Corp, dont le conseil d’administration comprend entre autres Edsel Ford, président de Ford Motor Co., Charles Mitchell, président de la National City Bank of New York de Rockefeller, Paul Warburg, président de la Réserve fédérale, et Herman Metz, directeur de la Bank of Manhattan.

Le rôle d’IG Farben dans la guerre d’agression
Après l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933, IG Farben mit en place sa propre
entité d’espionnage international, opérant à partir d’un bureau dans le
quartier Nord-Ouest 7 (N.O.7) de Berlin.


AUCUN PAYS NE PEUT FAIRE UNE GUERRE SI IL N'EST PAS AIDÉ DU COMMERCE INTERNATIONAL LONDONIEN

Quant à ITT, il continuera tout au long de la guerre à collaborer avec le
gouvernement nazi. La branche allemande d’ITT, dont le PDG était Gerhardt
Westrich, l’associé juridique de John Foster Dulles, fournira la Wehrmacht en
téléphones, avertisseurs de raids aériens, équipements radars, mèches pour
pièces d’artillerie, etc.
ITT contrôlait aussi le trafic entre les pays ibéro-américains et ceux de l’Axe.
CIDRA, filiale d’ITT en Argentine, s’occupait des appels à Buenos Aires, en
Allemagne, en Hongrie et en Roumanie. Une autre filiale d’ITT, United River
Plate Telephone Co., a géré 622 appels téléphoniques entre l’Argentine et
Berlin au cours des seuls sept premiers mois de 1942.

CES BANQUES ET FINANCIERS MPUNIS CONTINUENT DE NOS JOURS À .....




Voici le document dont je me suis référé:

http://www.noslibertes.org/doc/mondialisation/Le%20fascime%20financier.pdf


En réalité, c’est une oligarchie financière internationale basée à Londres et à Wall Street qui permit la montée au pouvoir d’Hitler. L’oligarchie financière basée à Londres et à Wall Street entretenait de multiples liens et relations avec les filiales allemandes des cartels ; ces sociétés continuèrent à commercer avec l’ennemi pendant la guerre et cherchèrent, par la suite, à protéger leurs avoirs. . . Le rôle des frères Dulles, John Foster et Allen, dans la création des cartels et dans ce qui allait devenir le projet Hitler, remonte à l’époque du traité de Versailles, en 1919, qui fit porter à l’Allemagne l’entière responsabilité de la Première Guerre mondiale. En conséquence, elle perdit 13,5 % de ses territoires d’avant 1914 et fut condamnée à verser des réparations de guerre. Pour tenter de les honorer, l’économie allemande fut saignée à blanc pendant les années 20, menant en fin de compte à la chute de la République de Weimar. L’aggravation de la dépression au début des années 30 contribua ainsi à la montée au pouvoir d’Hitler. Remontons à l’époque de la Première Le rôle des frères Dulles, John Foster et Allen, dans la création des cartels et dans ce qui allait devenir le projet Hitler, remonte à l’époque du traité de Versailles, en 1919, qui fit porter à l’Allemagne l’entière responsabilité de la Première Guerre mondiale. En conséquence, elle perdit 13,5 % de ses territoires d’avant 1914 et fut condamnée à verser des réparations de guerre. Pour tenter de les honorer, l’économie allemande fut saignée à blanc pendant les années 20, menant en fin de compte à la chute de la République de Weimar. L’aggravation de la dépression au début des années 30 contribua ainsi à la montée au pouvoir d’Hitler. Remontons à l’époque de la Première Guerre mondiale, Allan Dulles est envoyé à Berne (Suisse) par son oncle, Robert Lansing, à l’époque secrétaire d’Etat du président Woodrow Wilson, où il est chargé du renseignement à la Légation américaine. Par le biais du même oncle, les frères Dulles prennent part aux négociations du traité de paix de Versailles.

En 1920, Allen Dulles sera nommé premier secrétaire de l’ambassade américaine à Berlin. Son frère, l’avocat John Foster Dulles, représentera les intérêts de la Banque d’Angleterre et de la société J.P.Morgan dans l’Europe d’après guerre. Au printemps de 1920, au lendemain des négociations de Versailles, John Foster rencontre Hjalmar Schacht (1877-1970), à l’époque fonctionnaire subalterne auprès de l’autorité bancaire allemande créée par les Alliés et qui deviendra plus tard l’architecte de l’économie de guerre nazie basée sur les travaux forcés.


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L'accord secret de l'industrie pétrolière avec les nazis.

Par Gaby Weber *
Labournet
. Allemagne, le 11 avril 2007.

Leer en español

La révolution russe avait ordonné le monde à nouveau. Jusqu'à 1917 les Européens étaient au commande. Maintenant, les entreprises des Etats-Unis voulaient s'y mettre aussi, surtout John D. Rockefeller, qui avait fondé la Standard Oil en 1870. En 1879 il a acquis la Vacuum Company et d'autres entreprises jusqu'à la loi antitrust en 1911, et à les diviser en plusieurs firmes plus petites. Mais les Rockefeller ont gardé le pouvoir. A cette époque, on n'extrait pas de pétrole au Moyen Orient, mais au Texas et à Bakou, dans le Caucase, où les propriétaires étaient les familles Nobel et Rothschild. Mais avec la révolution russe, ils ont perdu leurs investissements. « A l'été 1918, Monsieur Nobel a fui les soviétiques et a demandé au Kaiser Wilhelm (l'Empereur allemand Guillaume), de l'aider à récupérer ses investissements à Bakou », explique l'historien berlinois Dietrich Eichholtz. Mais, une 'récupération' été impensable avec une République allemande désarmée.

Rockefeller avait les mêmes intérêts que la Deutsche Bank. La banque allemande, après la Première Guerre Mondiale, a perdu aussi toutes ses actions dans la 'Türkischen Petroleum Gesellschaft' (Société turque de Pétrole) et avec cela ses droits sur les gisements situés à côté du train à Bagdad. Pendant de nombreuses années, la Banque a vainement fait des procès jusqu'à qu'elle se soit rendu compte que le front juridique n'allait pas avancer. Alors, elle a parié sur un autre front. Elle a trouvé des alliés dans l'industrie pétrolière. Autour de 1927, cet accord secret entre Standard Oil et les nazis a du être signé. Adolf Hitler doit prendre le pouvoir pour conquérir le pétrole de Bakou. La Standard Oil voulait livrer le combustible. Durant cette même année, la Vacuum Oil Company, de l'empire de Rockefeller, a engagé le jeune nazi Adolf Eichmann, qui a maintenu cette relation prometteuse jusqu'à juin 1933.

En 1927, la Standard Oil et l'IG Farben ont fondé la Compagnie 'Standard Oil IG Farben' dont le siège se trouvait aux USA. Son président était William Farish, négociant en pétrole. La Standard Oil a cédé l'ensemble des brevets sur le processus d'hydrogénation du charbon pour produire du combustible synthétique et vice versa, la compagnie allemande leur a livré le brevet sur la production du buna [1], une gomme synthétique.

« L'Union Banking Corporation' vendait depuis 1924 des obligations allemandes sur le marché étasunien. Prescott Bush, grand-père de George W. Bush était au conseil d'administration. Prescott Bush dirigeait aussi la 'Walkers American Shipping and Commerce' avec liaison de l'atlantique nord, Hambourg-Etats-Unis. Au conseil d'administration siégeait Emil Helfferich membre du 'Cercle d'amis du Reichsführer-SS' et jusqu'à la fin de la Guerre, président de la Deutsch-Amerikanische Petroleum Gesellschaft, postérieurement ESSO, et de la Vacuum Oil Company à Hambourg. Des « Réseaux de petits copains » qui avaient comme but de camoufler les investissements. Dans le cas contraire, ils courraient le risque d'une confiscation comme "propriété de l'ennemi" et d'être poursuivi comme "complice des nazis". »

Après la prise du pouvoir en 1933, tout allait comme cela avait été planifié. La Deutsche Bank est rentrée via sa 'Petroleum SA' dans les affaires pétrolière. Avec la Standard Oil et la Shell elles se partageaient les risques et les profits, comme le dit un rapport de la Banque du 15 mars 1935 :


La Royal Dutch Shell est contrôlée par les monarchies anglaise et néerlandaise (Parents entre eux par la Reine Victoria) et Vacuum Oil Company veut dire : Standard Oil. L'accord secret répartit les risques et les profits des nouveaux champs pétrolifères. La Standard Oil voulait aussi aider les allemands dans l'attaque de l'Irak et de l'Iran, avec « des machines de forer », dit le « responsable pour les pays arabes » au ministère des relations extérieures allemand le 5 février 1942 :

En mars 1942, le Pentagone a demandé au président Roosevelt de fermer le dossier contre la Standard Oil pour ne pas mettre en danger la production de guerre. Roosevelt a accepté. La Standard Oil a eu à payer une amende de 5.000 dollars et du promettre qu'elle n'approvisionnerait plus les allemands avec en combustible et on a clos le dossier pénal. Mais Farish a dû témoigner face à une commission d'enquête du sénat dirigée par le futur président Truman, qui a parlé « de trahison ». Farish a déclaré face à la commission : « Nos contrats (avec l'IG Farben) étaient en vigueur depuis 1929 jusqu'en 1947. Vous, gentlemen, devez comprendre, que des contrats comme celui-ci ne sont pas plus d'actualité seulement parce que les gouvernements des parties sont en guerre. Les parties doivent trouver un chemin pour continuer avec leur propre affaire'.


Depuis 1919, John Foster Dulles était l’avocat de Richard Merton, fondateur du plus important de ces cartels, l’Interessen Gemeinschaft Farben (IG Farben). En 1924, il est choisi par J.P.Morgan pour mettre en oeuvre le plan Dawes prévoyant la réorganisation, dans le cadre de négociations avec Schacht, du versement des réparations de guerre. En 1926, il deviendra directeur exécutif de Sullivan and Cromwell, le cabinet d’avocats de tous les cartels. La formation Depuis 1919, John Foster Dulles était l’avocat de Richard Merton, fondateur du plus important de ces cartels, l’Interessen Gemeinschaft Farben (IG Farben). En 1924, il est choisi par J.P.Morgan pour mettre en oeuvre le plan Dawes prévoyant la réorganisation, dans le cadre de négociations avec Schacht, du versement des réparations de guerre. En 1926, il deviendra directeur exécutif de Sullivan and Cromwell, le cabinet d’avocats de tous les cartels. La formation des cartels De 1926 à 1929, le plan Schacht-Dulles-Morgan débouche sur une série d’arrangements impliquant nombre des plus grandes sociétés britanniques, américaines et allemandes. Les deux principaux cartels sont le trust chimique IG Farben et le Cartel international de l’Acier, dont la création est redevable aux prêts étrangers d’un montant de 800 millions de dollars accordés dans le cadre du plan Dawes, en vue de cartelliser la chimie et la sidérurgie allemandes. Ces prêts sont gérés aux trois-quarts par trois firmes de Wall Street : Dillon, Read & Co ; Harris, Forbes & Co et National City. En 1925, IG Farben regroupe six des plus gros producteurs chimiques allemands. En août 1927, Standard Oil conclura avec lui un programme conjoint de recherche et développement sur l’hydrogénation (production d’essence à partir du charbon), procédé découvert par un chercheur allemand en 1909. En 1928, Henry Ford fusionnera ses actifs allemands avec ceux d’IG Farben. Le 9 novembre 1929, un cartel pétrochimique international sera créé suite au mariage d’IG Farben avec les Britanniques ICI et Shell Oil, et les Américains Standard Oil et Dupont.



Lorsqu’éclate la Deuxième Guerre mondiale, IG Farben a passé des accords de cartel avec 2000 sociétés dans le monde, dont Ford Motor Co., Alcoa, General Motors, Texaco et Procter et Gamble, pour n’en citer que quelquesunes.

En 1926, le Cartel international de l’Acier ouvre ses bureaux au Luxembourg. Il servira de véritable « gendarme privé » du commerce mondial de l’acier de1926 à 1939. Sa composante allemande, qui regroupe les quatre plus grosproducteurs d’acier nationaux, s’appelle Vereinigte Stahlwerke. Dirigé parErnst Poensgen, Fritz Thyssen, Otto Wolff et autres, ce groupe recevra 100millions de dollars de la part d’investisseurs privés aux Etats-Unis. Dillon,Read & Co., la société de placement new-yorkaise de Clarence Dillon, JamesV.Forrestal et William H.Draper, Jr., s’occupe de l’émission des obligations.Lors de la signature du premier accord international, le 30 septembre 1926,tous les sponsors du cartel se vantent de ce que le premier pas vers laformation « des Etats-Unis économiques de l’Europe » vient d’être franchi.Douze ans plus tard, près de 90 % du fer et de l’acier commercialisé au niveauinternational est sous le contrôle du Cartel de l’Acier. Outre l’Allemagne qui ledirige, l’Autriche, la Pologne, la Tchécoslovaquie, le Royaume Uni et les Etats-Unis en font partie, même s’il est interdit aux compagnies américaines,U.S.Steel, Bethlehem et Republic, de signer les accords formels, sous peine devioler les lois anti-trust américaines.


Montagu Norman, le gouverneur de la Banque d’Angleterre de 1919 à 1944, fut le principal promoteur de la création de banques centrales indépendantes. Tout comme la Banque l’Angleterre, la Reichsbank allemande appartenait à des intérêts privés. Elle fut dirigée par un protégé de Montagu Norman, Hjalmar Schacht, de 1923 à 1930 puis à nouveau de 1933 (après la prise de pouvoir d’Hitler) jusqu’en 1939, quand il céda la place à Walther Funk. L’Allemagne comptait six banques commerciales et de placement centralisées : 1 ) la Bank der Deutschen Arbeit, créée par les nazis, 2 ) la Reichs Kredit Gesellschaft, 3 ) la Berliner Handelsgesellschaft, 4 ) la Commerzbank et 5) et 6 ) les deux géants qu’étaient la Dresdner Bank et la Deutsche Bank. Ces deux dernières combinaient les activités de banque de dépôt et de placements, pratique interdite aux Etats-Unis, ce qui faisait leur force. Elles étaient aussi directement liées à IG Farben : le seul directeur du géant chimique venu de l’extérieur était Edward Mosler, de la Deutsche Bank, et c’est un ancien d’IG Farben, Carl Pfeiffer, qui sera nommé directeur de la Dresdner Bank. En dehors de ces placement centralisées : 1 ) la Bank der Deutschen Arbeit, créée par les nazis, 2 ) la Reichs Kredit Gesellschaft, 3 ) la Berliner Handelsgesellschaft, 4 ) la Commerzbank et 5) et 6 ) les deux géants qu’étaient la Dresdner Bank et la Deutsche Bank. Ces deux dernières combinaient les activités de banque de dépôt et de placements, pratique interdite aux Etats-Unis, ce qui faisait leur force. Elles étaient aussi directement liées à IG Farben : le seul directeur du géant chimique venu de l’extérieur était Edward Mosler, de la Deutsche Bank, et c’est un ancien d’IG Farben, Carl Pfeiffer, qui sera nommé directeur de la Dresdner Bank.



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La bataille avait d'ailleurs commencé avant même la déclaration d'indépendance, en 1776, lorsque les banquiers de la City de Londres réussirent à faire voter par le gouvernement anglais une loi qui interdisait aux treize colonies d'Amérique de créer une monnaie locale , le Colonial Script, et de n'utiliser, pour leurs échanges, que la monnaie or et argent des banquiers. Comme cette monnaie était obtenue moyennant un intérêt, elle devenait automatiquement une dette des colonies.

Le Sénateur entretenait des relations commerciales étroites avec l'influent homme d'affaires et banquier, John Pierpont Morgan, beau-père de John D. Rockefeller et grand-père de Nelson Rockefeller, un ancien vice-président des États-Unis. Celui-ci n'était pas physiquement présent, mais triplement représenté, il marqua la réunion de son empreinte. Au Congrès, le Sénateur Aldrich passait pour être le porte-parole du banquier J.P.Morgan , lequel représentait également les intérêts des Rothschild d'Angleterre.
J.P. Morgan J.P. Morgan
- Le 27 juin 1893 a eu lieu le premier krach boursier à Wall Street. Faillites, incertitudes monétaires , diminution des réserves d'or ont provoqué une panique sur les titres et une classique ruée sur les achats d'or. Le sauveur sera , déjà, J. Pierpont Morgan, que nous retrouverons à la manœuvre en 1910 et en 1913 . Après sa victoire sur Jay Gould et Jim Fisk dans la " bataille du rail " de 1873, Morgan se présente en sauveur du Trésor américain, après un marché conclu avec le Président Cleveland le 8 février 1895.

- Nouvelle panique à Wall Street le 9 mai 1901 à propos d'une spéculation féroce sur la même Northern Pacific appartenant toujours au même J. Pierpont Morgan qui ruina d'un même élan les investisseurs honnêtes et les spéculateurs.

- Le 13 mars 1907 voit une nouvelle chute vertigineuse des cours et comme par hasard, la même Northern Pacific se retrouve au cœur de la crise. En même temps, J. P. Morgan annonce la faillite de Knickerbocker Trust Co et de Trust Company of America qui mettent en péril tout le réseau bancaire - une petite répétition de la situation que nous connaissons aujourd'hui.

C'est dans ces grands moments-là qu'on reconnaît le prédateur de haut vol. Après avoir été le poison, notre banquier, John Pierpont Morgan, dont le nom se retrouve dans toutes les crises depuis 1869, se présente en remède et en sauveur de la nation . Un parfait pharmakon monétaire, en somme.


Comme John Pierpont Morgan est un des acteurs majeurs de la création de la machine de la FED, il n'est pas inutile de préciser que ce magnat des finances : - se trouvait à la tête trois puissants groupes bancaires, J.P. Morgan & Co., First National, et National City Bank, - qu'il contrôlait aussi quatre des cinq plus importantes compagnies ferroviaires, - qu'il était propriétaire du méga trust de l'acier US Steel , - qu'il avait créé la General Electric en fusionnant les sociétés Edison et Thompson,- qu'il avait mis la main sur la flotte Leyland, ainsi que sur de nombreuses lignes qui assuraient la navigation sur le Mississipi,- qu'il avait créé une nouvelle ligne de bateaux, la White Star et que, parmi les paquebots construits dans les chantiers navals dont il était le propriétaire, figure … Son Titanic coula ......
Il proclama:
" Je n'ai nul besoin d'un avocat qui me dise ce que je n'ai pas le droit de faire. Je le paie pour me dire comment faire ce que je veux faire "

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Paul Warburg Paul Warburg
C'était l'un des hommes les plus riches du monde . Son expérience du fonctionnement des banques européennes, sa forte personnalité et ses compétences en firent le meneur , la tête pensante du groupe et le véritable initiateur de la création de la FED. Il révèlera d'ailleurs des capacités de manoeuvrier exceptionnelles en 1913, au moment du vote de la loi au Congrès.
Sommarställe Georgia / Jekyll Island Cette fine brochette représentait donc les intérêts croisés des plus grands groupes bancaires mondiaux : les Morgan, les Rothschild, les Warburg et les Rockefeller. Les historiens du Nouveau Monde les appelleront les Barons voleurs. La préhistoire du système monétaire : de la déclaration d'indépendance en 1776 à la crise de 1907 L'action des "barons voleurs" et la décision de 1913 qui en sera le point d'orgue, n'est pas un acte isolé


Nathan Rothschild LES BANQUIERS DE LONDRES
Nathan Rothschild Les monétaristes l'appellent une monnaie-dette et cette monnaie est un rackett permanent des banques sur l'Etat soumis à ce régime.

Au moment de la déclaration d'indépendance du nouvel Etat, méfiants, les Pères fondateurs inscrivirent dans la Constitution américaine signée à Philadelphie en 1787, dans son article 1, section 8, § 5, que "c'est au Congrès qu'appartiendra le droit de frapper l'argent et d'en régler la valeur". Thomas Jefferson était si persuadé du rôle pervers des banquiers internationaux qu'il a pu écrire : "Je considère que les institutions bancaires sont plus dangereuses qu'une armée. Si jamais le peuple américain autorise les banques privées à contrôler leur masse monétaire, les banques et les corporations qui se développeront autour d'elles vont dépouiller les gens de leurs biens jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront sans domicile sur le continent que leur Pères avaient conquis." Et voilà comment Jefferson a prophétisé, il y a plus de deux siècles, la crise actuelle des "subprime", qui jette de plus en plus de citoyens américains à la rue. Voir : La " main invisible du marché " Une histoire de " bulles ", de " subprimes " , de " monolines " et autres merveilles de la " finance structurée "


Mais les banquiers ne s'avouèrent pas vaincus. Ils trouvèrent des soutiens auprès du nouveau gouvernement et notamment auprès du Secrétaire au Trésor, Alexander Hamilton et du Président George Washington lui-même. Ils obtinrent en 1791 le droit de créer une banque, abusivement appelée Banque des Etats-Unis de manière à faire croire qu'il s'agissait d'une banque de l'Etat central alors que c'était une simple banque privé appartenant à ses actionnaires.Cette banque privée obtint, pour vingt ans, le privilège d'émettre la monnaie-dette du nouvel Etat. Lorsqu'au bout de vingt ans, le Président Jackson voulut mettre fin à ce droit exorbitant, sortir du cycle de la monnaie-dette et revenir au droit inscrit dans l'art. 1 de la Constitution , les banquiers anglais, menés par Nathan Rothschild, suscitèrent en 1812 , sous divers prétextes commerciaux - taxe sur le thé - et maritimes - contrôle des navires - une guerre de l'Angleterre contre ses anciennes colonies et ils mirent en action toute leur puissance financière afin de ramener le nouvel Etat au rang de colonie . "Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur avait crié le Président Jackson. J'ai l'intention de vous déloger, et par le Dieu Eternel, je le ferai!"

Durant la guerre de Sécession (1861-1865) , la banque Rothschild de Londres finança les Fédérés du Nord, pendant que la banque Rothschild de Paris finançait les Confédérés du Sud en application d'un scénario mis au point en Europe durant les guerres napoléoniennes . Les deux groupes , profitant de la situation, exigeaient des intérêts usuraires de 25 à 36%.


Billet de 1$ de 1862, représentant le Secrétaire d'Etat au Trésor, Salmon Chase. Le Président Lincoln l'avait chargé, en 1861, de rédiger le Tender Act
Billet de 1$ de 1862, représentant le Secrétaire d'Etat au Trésor, Salmon Chase. Le Président Lincoln l'avait chargé, en 1861, de rédiger le Tender Act
Le président Lincoln , qui avait percé à jour le jeu des Rothschild refusa de se soumettre au diktat des financiers européens et, en 1862 , il obtint le vote du Legal Tender Act par lequel le Congrès l'autorisait à revenir à l'art. 1 de la Constitution de 1787 et à faire imprimer une monnaie libérée du paiement d'un intérêt à des tiers - les dollars "Green Back" - ils étaient imprimés avec de l'encre verte . C'est ainsi qu'il a pu , sans augmenter la dette de l'Etat , payer les troupes de l'Union.

Billet de 5$ de 1862, représentant la statue de la
Billet de 5$ de 1862, représentant la statue de la
1864. Lincoln voyait clairement combien il était néfaste pour une nation souveraine que des puissances autres que l'Etat central aient le pouvoir de créer la monnaie. Les Banques Privées de l'époque, par John Wilkes Booth, l'ont fait assasiné. Il a été tué à Washington le 14 avril 1965 par une balle dans la tête que lui tira le franc Maçon John Wilkes Booth alors qu'il assistait à une représentation théâtrale dans la loge du Ford's Theater.

A 1963
A 1963
John Fitzgerald Kennedy s'est aussi fait assassiné à cause de sa nouvelle tentative de réforme monétaire. En effet, le 4 juin 1963 , le Président Kennedy signait l'Executive Order n° 11110 (4) par lequel le gouvernement retrouvait un pouvoir inscrit dans la Constitution, celui de créer sa monnaie sans passer par la Réserve Federale. Cette nouvelle monnaie, gagée sur les réserves d'or et d'argent du Trésor, rappelait les greenbacks et le coup de force du Président Lincoln ...... Le Président Kennedy fit imprimer 4,3 milliards de billets de 1, 2, 5, 10, 20 et 100 dollars. En 1994 il restait l'équivalent de 284,125,895 dollars en circulation aux Etats-Unis , détenus, probablement par des collectionneurs (source: The 1995 World Almanac). Cet assassinat était peut-être un avertissement aux futurs Présidents qui auraient voulu emboîter le pas à Abraham Lincoln et à Jahn Fitzgerald Kennedy et priver les banquiers de leur rente en éliminant le système de la monnaie-dette











C’est avec la 2e guerre mondiale que l’aluminium d’Alcan prend un nouvel envol; l’aviation devient un outil prisé par les armées, et que retrouve-t-on dans ... Région vendue à Alcan, multinationale de la guerre

ALCAN A ARMÉ TOUTES LES GUERRES

DE LA PLANÈTE DEPUIS 1920

''ILS CRÉENT DES GUERRES POUR OBLIGER L'HUMANITÉ DANS LEURS COURSES TECHNOLOGIQUES''

Ray Edwin Powell, surnommé « Rep », dirigeant d'entreprise (Table Grove, Illinois, 7 déc. 1887 -- Montréal, 9 nov. 1973). Après des études à l'U. de l'Illinois, Powell sert dans l'armée américaine pendant la Première Guerre mondiale. Il entre ensuite chez Alcoa, l'Aluminum Company of America, et arrive au Canada en 1928, devient vice-président d'ALCAN (Aluminium Company of Canada), une filiale d'Aluminium Ltd. De 1937 à 1957, Powell est président d'Alcan qui connaît sous sa direction une expansion extraordinaire. Comme L'ALUMINIUM est un matériau de guerre essentiel,

Powell est en mesure d'emprunter aux gouvernements britannique, américain et australien, et de conclure des ententes fiscales avec le gouvernement du Canada pour étendre les installations de la société le long de la rivière Saguenay. Entre 1937 et 1944, les actifs d'Alcan augmentent de 500 p. 100. Alcan s'agrandit de nouveau au début des années 50, créant un aménagement hydroélectrique et une fonderie à KITIMAT, en Colombie-Britannique. Sous la gouverne de Powell, Alcan passe du statut de filiale américaine à celui d'une société canadienne indépendante… Auteur ROBERT BOTHWELL

En 1941, une grève éclate à l'usine d'Alcan à Arvida, au Saguenay. C'est le plus important arrêt de travail au Canada cette année-là. Les ouvriers font la grève durant cinq jours et occupent l'usine. Les ouvriers de la construction suivent le mouvement et débraient également. Le mouvement de grève atteint 20 000 personnes.

Le secteur de l'aluminerie est alors considéré comme essentiel à l'effort de guerre.

C'est un métal très utilisé dans la fabrication du matériel de guerre, notamment les nombreux avions et navires que le Canada construit pour l'Angleterre. Le gouvernement intervient alors rapidement en dépêchant l'armée en vertu de la Loi sur les mesures de guerre.

Les quais de Port-Alfred. Plus de 400 cargos, venant de toutes les parties du monde, transportent chaque année les matières premières de l’aluminium.

Ville fabriquant de guerres




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petit rappel
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Quelque 44 entreprises représentent l'ensemble de cette industrie en France qui, en 2000, a réalisé un chiffre d'affaires de 3,555 milliards d'euros !

Les eaux du Saguenay sont profondes, d.ailleurs le mot ''saguenay'' veut dire : ''là où l'eau est profonde.

Cette région permet d'accueillir les grands navires qui transportent chez nous la bauxite et I'alumine et qui repartent avec I'aluminium et nos sous et notre sang et nos rêves et talents gaspillés.

LA FRANCE : BERCEAU HISTORIQUE DE L'ALUMINIUM
- 1831 : dans les environs des Baux-de-Provence, un minéralogiste français, Pierre Berthier, découvre des spécimens de minerai d'aluminium, qu'il appellera "bauxite".
- 1860 : Henri Sainte-Claire-de-Ville, chimiste et maître de conférences à l'Ecole Normale Supérieure, met au point un procédé et commence une production d'aluminium à Paris, puis à Nanterre.
- 1886 : à 23 ans, l'ingénieur Paul Héroult dépose le premier brevet au monde ayant pour objet la fabrication d'aluminium par un procédé d'électrolyse de l'alumine. A peine quelques mois plus tard, un Américain du même âge, le jeune ingénieur chimiste Charles-Martin-Hall dépose dans son propre pays un brevet décrivant exactement le même procédé.
- 1887 : un chimiste allemand, Carl-Joseph Bayer, fait enregistrer son brevet portant sur la transformation chimique de la bauxite en alumine.
- 1907 : à Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, la première usine française commence à produire de l'aluminium.


1886

l'Américain Charles Martin Hall : et le Français Paul Héroult décourent indépendamment et simultanément le même procédé d'extraction de I’ aluminium utilisant l'électricité: Le chimiste autrichien frn Joseph Bayer invente un procédé à base de soude caustique qui permet d'extraire efficacement I’ alumine de la bauxite.

En octobre 1899, Charles Martin Hall confie le mandat de superviser la construction de I’ aluminerie de Shawinigan à un jeune ingénieuç Edwin

Gonstruction de l'aluminerie de la Pittsburgh Reduction Company

1895, la Pittsburgh Reduction Company s'installe à Niagara Falls. Au Québec, les libéraux adoptent une nouvelle politique de développement économique fondée sur les ressources naturelles. 0n met à I'enchère I'imposante chute de Shawinipn.

L'aluminium métallique est purifié pour la première fois.

Construction, dans la région de Pittsbu4lt, d'une première usine de production alimentée par des génératrices à vapeur.

1902

L'usine de Shallnlgan,la succursale canadienne de la Pittsbur$hReduction Compary devient la Northern Alumlnum Company

HISTOIRE

L'aluminium est l'élément métallique le plus abondant de la croûte terrestre.

Mais, contrairement à d'autres métaux comme le cuivre, le fer ou I'or, I'aluminium ne se trouve jamais à l'état métallique dans la nature. Très réactif, il forme toujours des composés chimiques qui I'emprisonnent, comme des silicates, des sulfates, des hydroxydes

ou des oxydes.

Arthur Vining Davis, qui préside aux destinées de I'entreprise depuis 1899, se tourne vers le Saguenay-Lac-Saint-Jean, où deux financiers américains,James Duke et Wlliam Price, viennent d'obtenir d'importantes concessions hydrauliques du gouvernement Tâschereau. Conrme le professait le premier ministre Parent 25 ans plus tôt, Alexandre Tàschereau mise alors sur I'exploitation des

richesses naturelles par la grancle entreprise pour assurer la création d'emplois et le développement économique du Québec.

Depuis le début des années l920 A,James Duke et William Price possèdent sur le Saguenay et sur la rivière Péribonka plusieurs sites dont I'aménagement est prometteur. Ils ont même obtenu le droit de maintenir I'eau du lac Saint-Jean à une cote maximale de 5,4 mètres, pour accroÎtre leur production électrique. l.es deux hommes projettent dans un premier temps de construire une immense cenûaie sur le site de I'Isle-Maligne. Il s'agit d'un projet gigantesque pour I'époque, dont le coût dépasse alors le double du budget annuel du gouvernement du Québec.

Conscient de la valeur de l'énorme potentiel hydroélectrique de cette nouvelle centrale et des autres qui pourront être construites dans ia région, Ie grand patron d'Alcoa accepte de fusionner son entreprise avec celles de James Duke et de \Mlliam Price. Aussitôt I'entente conclue, en 1925, Arthur \lning Davis entreprend la construction d'une aluminerie géante et même d'une ville nouvelle : Arvida, Activités en salle de cuves Soderberg à I'usine Arvida, en 1945 et qui est une filiale canadienne d'Alcoa, l'Aluminium du Canada Limitée (Alcan) devient autonome de sa société mère et prend en char$e tous les intérêts canadiens et étrangers de la société américaine.


...
des pièces de moteurs, du papier d'aluminium et des réservoirs de toutes sortes. [le choc de I'après-guerre est cependant rude pour Shawinigan. En \92I, une seule des cinq salles de cuves est utilisée, et moins de 200 des 800 travailleurs conservent leur emploi. t.a prospérité revient ensuite lentement, avec la croissance des industries naissantes de I'aviation civile et de I'automobiie. La production augmentera continuellement jusqu'à la fin cles années 1920, Iorsque I'aluminerie de Shawinigan sera devenue Ia plus importante du monde. La course à l'énergie électrique furticipant un éventuel retour à la croissance de la demande d'aluminium, les dirigeants de I'Aluminum Company of Ameerica

LA BAUXITE ET HITLER

" Le roi de l'alumine " : Georges Guilini dans l'industrie de l'aluminium (1880-1978). Manfred Knauer

George Giulini, issu d'une famille d'origine italienne, eut un rôle prépondérant dans l'industrie de l'alumine. L'entreprise, établie à Ludwigshafen, importait de la bauxite en provenance de France pour la transformer en alumine et alimenter ensuite le marché allemand. Pendant les premières années de leur existence, les différents producteurs français d'aluminium furent dépendants de Giulini, ce qui valut à ce dernier le titre de " roi de l'alumine ". Lorsque ces mêmes industriels construisirent leurs propres unités de fabrication, la position de Giulini devint inconfortable au point qu'il envisagea, lui aussi, de se lancer dans la production d'aluminium avec de multiples solutions pour trouver des marchés captifs afin d'alimenter son usine. Giulini et ses descendants essayèrent, en vain, de faire de leur entreprise un acteur majeur de l'industrie mondiale de l'aluminium.


L'aluminium et les explosifs


Dès la Première Guerre mondiale, il apparut que l'une des principales applications militaires de l'aluminium était la fabrication d'explosifs. Réducteur puissant, le nouveau métal était employé en métallurgie préparative : c'était
l'aluminothermie. Mais ces propriétés pouvaient aisément être appliquées à la recherche des réactions extrêmement rapides, donc explosives, avec un violent dégagement de gaz et de chaleur. Il en résulta de nombreuses propositions d'inventeurs stimulés par la crise des explosifs. Elle incitait, soit à rechercher des alternatives aux coûteuses compositions nitrées (explosifs chloratés ou cryogéniques), soit à augmenter la puissance de celles-ci par l'addition d'un nouveau constituant.
Durant la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne suivit la même démarche en recherchant l'explosif le plus puissant, à masse égale, pour le chargement des armes V. Ce fut le Trialen 105, dont la composition incluait 15% d'aluminium, ce qui augmentait considérablement l'effet de souffle. L'aluminium, au même titre que le magnésium, est toujours employé dans les compositions pyrotechniques.


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Qui est
RIO TINTO

?


Et qui sont en arrière de RIO TINTO?

Avant de revendiquer quoi que ce soit, il nous faut savoir QUI NOUS VOLENT, et comment ils procèdent.......

En voici un exemple: Les Britanniques et l'une de leurs stratégies


Saviez-vous que.....

VOYEZ COMMENT L'ANGLETERRE CONTRÔLE LE MONDE PAR SES MILLIARDAIRES ENTREPRISTES TELLES RIO TINTO et Alcan et Hydro Québec et ......



Rio Tinto est une multinationale minière et des ressources groupe, créé initialement en 1873. C'est la plus grande compagnie minière du charbon dans le monde.


Pendant la guerre civile espagnole (1936-39) de Rio Tinto vendu la pyrite aux fascistes sur le crédit, ce qui a permis au général Franco et au commerce avec Hitler de financer la guerre contre l'Espagne républicaine.

Ces Investissements britanniques en Espagne a également été un facteur important pour British non-intervention en Espagne


RIO TIONTO, propriété secrète du Royaume-Uni, et le minerai de fer


Rio Tinto possède tout Hamersley Iron, qui possède et exploite un certain nombre de mines en Australie-Occidentale, soit en tout ou en collaboration avec plusieurs partenaires. Ses partenaires sur certains projets comprennent notamment plusieurs sociétés chinoises.

Rio Tinto est également propriétaire de 53% de Robe River Associates de fer et 59% de la Iron Ore Company of Canada. Il est le deuxième plus grand producteur de minerai de fer.

Cuivre et Rio Tinto de Londres

La division de cuivre non seulement produit du cuivre, mais aussi une quantité considérable d'or de ses mines en Australie, Indonésie, Afrique du Sud, le Chili et les États-Unis, certains dans le cadre de coentreprises. Le groupe est propriétaire de Kennecott Utah Copper Corporation.
Energie et Rio Tinto de Londres

La société de l'énergie groupe comprend les mines de charbon en Australie (Rio Tinto charbon Australie) et en Amérique du Nord et des ressources énergétiques de l'Australie, qui exploite les mines d'uranium de Ranger, près de Parc national de Kakadu en Australie. L'énergie groupe exploite également la Rossing mine d'uranium en Namibie. This group contributed 20% of turnover and 11% of profit. Ce groupe a contribué 20% du chiffre d'affaires et 11% des bénéfices.
Les Minéraux industriels et Rio Tinto de la Couronne d'Angleterre

Le groupe de minéraux industriels extraits de talc, dioxyde de titane, le sel, le borax, parmi plusieurs autres. Ces opérations sont dispersés dans toute l'Australie, des États-Unis et en Afrique. Ce groupe a contribué 15% du chiffre d'affaires et 11% de la rémunération.
Le Bauxite : propriété internationale de Londres: comment?

Rio Tinto possède Comalco, où les mines de bauxite (minerai d'aluminium) en Weipa, Queensland, exploite des raffineries d'alumine dans Gladstone, Queensland. . Elle exploite également deux usines d'électrolyse d'aluminium en Australie au Bell Bay (Tasmanie) et Boyne Island (Queensland, 59% d'intérêt), et un en Nouvelle-Zélande à Tiwai Point (79%). Le groupe exploite également la Anglesey fonderie d'aluminium à Holyhead au Royaume-Uni. Ce groupe a contribué 16% du chiffre d'affaires et 14% des gains ajustés. Rio Tinto possède également Alcan, la société canadienne, hydro-powered aluminium.
Londres, Rio Tinto, et les diamants

La société de diamants opérations sont plus connus pour la rose diamants produits à la mine de diamants Argyle en Australie-Occidentale, qui produit plus de 90% de l'offre mondiale de ces pierres précieuses et près de 30% du monde de la production annuelle de tous les diamants naturels. La société est également propriétaire de 60% et gère la mine de diamants Diavik au Canada 's Territoires du Nord-Ouest, et la mine de diamants Murowa au Zimbabwe.

Rio Tinto détient les Borax société qui produit le borax et est célèbre pour le "20 Mule Team" qui marque qu'il partage avec le Dial Corporation.

Rio Tinto a également produit la bauxite, or, titane, plomb, zinc, cobalt, le nickel et d'uranium Industrie de la guerre).


VOUS LES VOYEZ MAINTANT CEUX QUI VOLENT NOS TERRITOIRES et que nos Élus laissent faire

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En dehors de ces six grandes banques, il y avait plusieurs sociétés bancairesen nom collectifs, petites mais importantes, dont la Bankhaus JH Stein de Cologne, dirigée par le baron Kurt Schröder. Après la guerre, on devaitdécouvrir qu’au moins 20 des grands directeurs de cartels, dont le baron vonSchnitzler et Otto Wolff, d’IG Farben, ainsi que Friedrich Flick, de laVereinigte Stahlwerke (Aciéries unies), effectuaient régulièrement des dépôtssur un compte spécial de cette banque, dénommé « compte spécial S ».Lorsque le chef des SS Heinrich Himmler avait besoin d’argent, les donateursdéposaient de l’argent sur ce compte qui servait alors à financer les SS. D’après les relevés, von Schnitzler y versait régulièrement des fonds, d’un montant d’au moins 40 000 dollars par an, de même que Friedrich Flick. Hormis ces banques privées, l’internationale synarchiste avait à sa disposition un instrument de choix pour la mise en place des cartels : la Banque des règlements internationaux (BRI) sise à Bâle. Depuis sa création, et jusqu’à aujourd’hui, on la surnomme la « banque des banquiers ». En opposition à la conception du système américain de banque nationale, la BRI repose sur le modèle anglo-hollandais de banque centrale échappant au contrôle des Etats nations souverains.

La BRI fut créée en 1930, dans le cadre du plan Young, par les banques centrales internationales, dont la Banque d’Angleterre et la Réserve fédérale des Etats-Unis, à l’initiative de Hjalmar Schacht, alors directeur de la Reichsbank. Celui-ci pouvait compter sur le soutien de Montagu Norman, luimême conseillé par le baron Bruno Schroder, de la branche britannique de la J. Henry Schroder Bank. L’associé de Schroder, Frank Cyril Tiarks, fut le codirecteur de la Banque d’Angleterre aux côtés de Norman, tout au long de lacarrière de ce dernier.


Les fonds américains et britanniques destinés à soutenir l’accession d’Hitler au pouvoir et à financer, par la suite, sa machine de guerre, transitaient par la BRI.


CONSPIRATION BRITANNIQUE

Théodore Roosevelt, disait en 1912 dans son programme électoral : "Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible (Reine et Pape) qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnaît aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle-même corrompue, tel est le devoir de l'homme d'Etat." (Dieter Rüggeberg : "Gehimpolitik", p 75)


Avant 1940, celle-ci avait investi des millions de dollars en Allemagne, tandis que Kurt von Schröder et Emil Puhl, de leur côté, avaient déposé d’importantes quantités d’or à la BRI, sommes utilisées après la guerre pour financer les « rat-lines » (référence aux lignes du mât d’un navire qui coule, sur lesquelles les rats tentent de fuir). Grâce à ces filières, des nazis et leurs collaborateurs pourront s’échapper d’Europe pour se réfugier en Amérique du Sud et au Moyen-Orient. Malgré l’importance de la BRI pour Hitler, la Grande-Bretagne ne s’opposa pas aux activités de la banque, même après la décision britannique d’entrer en guerre contre l’Allemagne. Sir Otto Niemeyer et Montagu Norman, respectivement directeur et PDG britanniques, conservèrent leur poste tout au long de la guerre.

Londres par Harriman (cartel ds chemins de fer) et Thyssen ont préparé la montée d'Hitler.
s’étaient mis d’accord pour créer une banque de Thyssen à New York. C’est ainsi qu’en 1924, fut créée la Union Banking Corp., en tant qu’entité dans les bureaux new-yorkais de W.A. Harriman & Co. appartenant à la Bank voor Handel en Scheepvaart (BHS) aux Pays-Bas, qui appartenait à Thyssen. Prescott Bush, le grand-père de George W., fut nommé vice-président de W.A. Harriman & Co. en 1926, la même année où fut créée la Vereinigte Stahlwerke avec l’aide de Dillon, Read.

Les armes et munitions nécessaires auraient été fournies par Remington, une filiale de DuPont. Depuis 1802, les Du Pont qui fabriquaient de la poudre à canon aux débuts, maintenant fabriquent toutes sortes d'armes. ILS ONT FOURNI TOUTES LES GUERRES DU MONDE ENTIER telles ..... --- * La guerre de 1812 (l'approvisionnement des États-Unis contre la Grande-Bretagne / Canada)

* South American wars (supplying both Spain and Bolivar’s republics) * Les guerres d'Amérique du Sud (fourniture de l'Espagne et les deux républiques Bolivar)

* Mexican-American War, 1846 (supplying the US) * Américano-mexicaine de guerre, 1846 (approvisionnement aux États-Unis)

* Indian Wars, 1827-1896 (supplying Manifest Destiny’s genocidal westward expansion) * Indian Wars, 1827-1896 (fourniture de Manifest Destiny's génocide expansion vers l'ouest)

* Crimean War, 1854 (supplying both England and Russia) * Guerre de Crimée, 1854 (fournissant fois l'Angleterre et la Russie)

* US Civil war, 1861-1865 (supplying the Northern states) * La guerre civile des États-Unis, 1861-1865 (l'approvisionnement des Etats du Nord)

* Spanish-American War, 1898 (supplying the US) * Guerre hispano-américaine, 1898 (l'approvisionnement des États-Unis)

* WWI, 1914-1918 (supplied all US orders; 40% of the Allies’ needs) * Première Guerre mondiale, 1914-1918 (fourni tous les ordres des États-Unis, 40% des alliés des besoins)

En 1897, quand ils ont convenu avec les concurrents européens de diviser le monde, du Pont a le contrôle exclusif de la poudre de vente dans les Amériques. En 1905, du Pont des actifs de 60 millions de dollars et contrôlé tous les ordres de gouvernement des États-Unis. Du Pont a racheté 100 de ses concurrents américains et fermé la plupart d'entre eux vers le bas (1903-1907). En 1907, US anti-trust créé pour les deux concurrents du Pont et en 1912, le gouvernement a commandé du Pont de céder certains de production d'explosifs. Du Pont then diversified into newspaper publishing, chemicals, paints, varnishes, cellophane and rayon. WWI was particularly profitable. Du Pont ensuite diversifiée dans l'édition de journaux, les produits chimiques, peintures, vernis, cellophane et rayonne. Première Guerre mondiale a été particulièrement rentable. Du Pont, the world’s largest producer of dynamite and smokeless gunpowder, made unheard-of net profits of $250 million. Du Pont, le plus grand producteur mondial de la dynamite et la poudre sans fumée, a fait inouï des bénéfices nets de 250 millions de dollars.

OPEL est la filiale Alemande de GM.

Du Pont de la General Motors Co. a financé les milices terroristes organisme pour mettre fin à la syndicalisation dans ses usines du Midwest. Surnommé le "Black Legion». Depuis la Seconde Guerre mondiale, du Pont a continué à être un instrument de gouvernement des États-Unis et de Londres de production d'armes. Du Pont, en plus de fournir des matières plastiques, le caoutchouc et les textiles pour les entrepreneurs militaires, Du Pont a inventé de nouvelles formes d'explosifs et de propulseurs de fusée, fabriqué de nombreuses armes chimiques et a joué un rôle dans la construction de la première usine de production de plutonium pour la bombe atomique. Il a diffusé l'agent orange et Napalm, détruisant ainsi des millions de vies, et pompé les moyens de subsistance et l'ensemble des écosystèmes en Asie du Sud-Est.

DU PONT ET GM = DES CRIMINELS INTERNATIONAUX


Le Du Pont du Co., et GM en particulier, a été l'un des principaux responsables militaires de nazis efforts pour éliminer le communisme de la carte de l'Europe. In 1929, GM bought Adam Opel, Germany’s largest car manufacturer. En 1929, GM a acheté Adam Opel, en Allemagne le plus grand constructeur automobile. En 1974, un sous-comité sénatorial sur les monopoles et antitrust a entendu le témoignage d'chercheur Bradford Snell prouvant que, en 1935, GM a ouvert une usine Opel de fournir les nazis avec la Campagne «éclair» des camions militaires. En reconnaissance pour cette aide, Adolf Hitler attribué GM Le chef de l'exécutif pour des opérations à l'étranger, James Mooney, avec l'Ordre de l'aigle allemand (première classe).Outre des camions militaires, de l'Allemagne travailleuses GM également la production de véhicules blindés, des chars et des moteurs de bombardiers.





Alors que les bruits de bottes se font entendre en Europe, les grandes firmes américaines, soit directement, soit par leurs filiales, gérées depuis des pays neutres, notamment la Suisse, arment le Reich. Ainsi General Motors. A Noël 1936, James Mooney, vice-président de la branche européenne, est à Berlin, pour discuter avec Hjalmar Schacht, ministre des Finances du Reich. Commentaire atterré de l'ambassadeur américain, William Dodd, cité, à l'époque, dans le New York Times : « Une clique d'industriels américains est diablement attirée par la création d'un Etat fasciste qui supplanterait notre démocratie et qui travaillerait étroitement avec les régimes fascistes en Allemagne et en Italie. » Le diplomate reprend aussi les propos tenus par un « important dirigeant de l'un de nos plus grands organismes financiers » prêt à installer le fascisme en Amérique « si le président Roosevelt continue sa politique progressiste notamment en matière sociale ».

Ce qui n'alarme pas outre mesure Mooney qui, basé en Angleterre, multiplie, tout au long du mois d'avril 1939, les allers et retours entre
Londres et Berlin où il rencontre tout ce que l'Allemagne nazie compte de personnages importants. Mooney est un ami du Reich. En 1938, il a été décoré par Hitler en personne (comme le président d'IBM Thomas Watson ou l'aviateur Charles Lindbergh) de l'ordre allemand de l'Aigle , une distinction réservée aux étrangers. Il est aussi le plus gros investisseur du German American Trade Board, la Chambre de commerce





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CARTELS BRITANNIQUES DE LA DROGUE
Alors l'Angleterre fabrique des guerres, et pendant ce temps, ils peuvent mondialement faire le Commerce International de leurs drogues.....


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GENERAL ELECTRIC MANIPULÉ PAR LONDRES
Philip D. Reed, PDG de General Electric Co., compagnie qui avait supprimé le carbure de tungstène en faveur de Krupp et financé Hitler, arrive à Berlin pour mener à bien une mission commandée par le secrétaire au Commerce Averell Harriman.

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... UNE GUERRE COMME COURSE MONDIALE À LA TECHNOLOGIE....



MP 43 / 44, 1943
Fusil d'assault coup par coup / rafales libre 600 cps/min





"Que cette guerre dure le plus longtemps possible !" Pauwels montre que : 1. Une grande partie du patronat US était pro-Hitler dans les années 30 et 40. 2. Cela n’a changé qu’au moment où les ventes des firmes US furent mises en danger par l’agressivité commerciale allemande en Amérique latine et ailleurs. Et par les occupations japonaises qui confiquaient tout le commerce en Asie.

En fait, les Etats-Unis jouaient double jeu. Ils souhaitaient que la guerre dure longtemps. Pourquoi ? D’un côté, les énormes profits que leurs sociétés réalisaient en Allemagne étaient en croissance. De l’autre côté, ils s’enrichissaient en prêtant à la Grande-Bretagne qui supportait tout le poids financier de la guerre. Washington posait d’ailleurs comme condition que Londres abandonne ses colonies après la guerre. Ce qui fut fait. Les Etats-Unis ont réussi à profiter de la Deuxième Guerre mondiale pour affaiblir leurs rivaux et devenir la seule superpuissance capitaliste.

Mussolini, Hitler et Göring devant la carte de la Tchécoslovaquie pendant la conférence de Munich

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Toute la famille BUSH, depuis 2 siècles, est employée par la Couronne d'Angleterre comme DES FAISEURS DE GUERRES. Ainsi, les Bush, sur commandes Britanniques, ont fabriqué les Grandes Révolutions, les 2 Guerres Mondiales, la Guerre Anti-terroristes (ceci inclus l'attentat du Word Trade Center et tous les autres attentats et COUPS d'ÉTATS)...... car ce sont des FABRIQUANTS DE GUERRES utilisés par Londres pour DIVISER POUR RÉGNER afin de justifier l'intervention militaire là où le ROyaume0Uni le souhaite.


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S C O O P

ET FAITS/secrets Dévoilés

Quelques-uns des personnages impliqués tels Joseph P. Kennedy (père de l'ancien président assassiné des États-Unis) et qui était ambassadeur américain en Angleterre: donc un des intermédiaires au service de Londres pour cette Guerre Mondiale. L'Angleterre par Joseph Kennedy et Ben Smith, l'opérateur de Wall Street, ont versé une somme d'argent considérable

pour la cause allemande. Ben Smith a fréquenté le clan de Clivedden, un groupe d'aristocrates et d'industriels anglais ouvertement pronazis. Tout comme Joseph Kennedy, Ben Smith s'est enrichi à la Bourse dans les années 1930. Il est aussi connu des Renseignements généraux à Paris. Il est à la tête de plusieurs affaires, notamment des mines d'or au Canada, de la société de caoutchouc General Tire à New York et de la banque Thompson et Mackinoon. Il est aussi l'un des personnages les plus influents du New York Stock Exchange, la Bourse américaine. En Europe, il acquiert des brevets pouvant être exploités aux Etats-Unis. Une note de l'ambassadeur de France à Washington, de novembre 1939, signalait que Smith avait attiré l'attention de lord Forbes, attaché de l'Air de Grande-Bretagne à Bucarest. Il tentait de vendre de l'aluminium à l'Allemagne par l'entremise de la Roumanie.


Le général Douglas MacArthur au service du Cardinal Spellman


LIENS ENTRE LES BRITANNIQUES ET LES ALLEMANDS


Dulles a pour mission d'organiser cette guerre. Et qui choisit-il pour s'entourer ? Exclusivement des fils des grandes familles industrielles américaines, ayant toutes des relations d'affaires privilégiées avec le régime nazi ! Paul Mellon, fils d'Andrew du trust de l'aluminium Alcoa ; Junius et Henry Morgan de la banque du même nom ; Alfred DuPont (DuPont de Nemours), William Van Allen (famille Astor). A Zurich, Dulles place également un vice-consul, très actif, ancien directeur de la banque Schroder de New York. Allen Dulles a un pied dans l'espionnage, un autre dans les affaires.



FORD se lança dans la production massive de munitions, accumulant des millions de dollars.




Allemagne : En 1922, la révolte bavaroise du parti National Socialiste d’Adolf Hitler reçut un appui de taille lorsque Henry Ford y contribua 70 000 $. Il continua de soutenir Hitler tout au long des années 20 et 30.

En 1928, Ford Motors fusionna 40 % de ses intérêts en Allemagne avec ceux du cartel I.G. Farben, la compagnie pro nazie des Warburg. Carl Bosch de I.G. Farben devint le président de Ford-Werke, alors que Edsel Ford, le fils de Henry rejoignit le conseil d’administration de I.G. Farben Amérique.


Ford était un ami intime du célèbre pilote Charles Lindbergh, président du parti pro-nazi America First. frod, terrifié par le communisme, qui risquait de « noyer la race blanche dans une mer de Jaunes, de Noirs et de Bruns », il prônait ouvertement une alliance Américano-Germanique contre la Russie soviétique.

Planing familial des multinationales de Londres (GM, FORD…..) pour diminuer les naissances

<<Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine, la maladie ET LA VACCINATION>>!


C’est ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale et ancien secrétaire d’État des U.S.A. qui ordonna des bombardements massifs du Vietnam et qui était un instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination).



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Ces cartels, instruments des britanniques

Voici coment le Royaume-Uni récompense ses espions et pions

Après la guerre, James V. Forrestal, ancien PDG de Dillon, Read et vice-président de General Aniline and Film, est passé du poste de sous-secrétaire à la Marine à celui de secrétaire au Commerce. Robert A. Lovett, ancien collaborateur de Brown Brothers, Harriman, est passé du ministère de la Guerre, où il était soussecrétaire, au département d’Etat, avec le même rang. Après avoir été ambassadeur en Russie et en Grande-Bretagne, W. Averell Harriman est nommé secrétaire au Commerce, puis, plus tard, ambassadeur sans portefeuille du plan Marshall. Draper lui-même avait été nommé soussecrétaire de l’Armée en 1947, avant de démissionner pour reprendre son poste de vice-président de Dillon, Read. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, le


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Avant la Deuxième Guerre mondiale, les 250 plus grosses firmes américaines contrôlaient deux-tiers des avoirs industriels aux Etats-Unis, dont la majorité était dans les mains d’une centaine de sociétés. Après la guerre, les cent plus grandes entreprises, appartenant à huit groupes financiers, contrôlaient non plus les deux-tiers, mais les trois-quarts de l’économie industrielle américaine. « Tout comme les six plus grandes compagnies financières allemandes étaient entremélées aux sociétés industrielles dominantes, dans l’économie américaine, il y a huit grandes unités financières qui ont obtenu un degré de pouvoir comparable ici. Ce sont : 1) le groupe Morgan, qui contrôle United States Steel, General Electric, Kennecott Copper, Americain
Telephone and Telegraph, International Telephone and Telegraph ; 2) les intérêts Rockefeller, dont les sociétés Standard Oil et la Chase National Bank ; 3) le réseau Kuhn Loeb de gaz, électricité et eau ; 4) les avoirs de Mellon, dont l’Aluminium Co, Gulf Oil, Koppers, Westinghouse Electric ; 5) le groupe de Chicago, dont International Harvester et les conserveries ; 6 ) les intérêts du

Du Pont de General Motors, EI du Pont de Nemours, et United States Rubber ;
7 ) le groupe de Cleveland, avec Republic Steel, Goodyear et autres, et 8 ) le
groupe de Boston, dont United Fruit, Stone and Webster Utilities et la First
National Bank of Boston. »

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LES IMPUNIS

*** A Londres se trouve, cependant, comme à Rome avec le Vatican, un Etat séparé, indépendant, la "CITY ".

La "CITY ", qualifiée comme le "mile carré" le plus riche du monde, occupe au coeur de Londres 2,7 kilomètres carrés. Elle passe pour avoir 4.600 habitants et 500.000 emplois. Le gouvernement de la "CITY " c'est la "COURONNE ", composée de 13 hommes régis par le roi de la "CITY ", le "LORD MAYOR". C'est là que se trouvent les plus riches et les plus puissantes institutions économiques d'Angleterre, comme la Banque d'Angleterre contrôlée par Rothshild, la Lloyd's of London, la Bourse de Londres, les bureaux de konzerns commerciaux à la renommée internationale ainsi que la "Fleet Street ", le coeur du monde de la presse et de l'édition. La "City " ne fait pas partie de l'Angleterre. Elle n'est ni sous le contrôle de la monarchie ni sous celui du Commerce International.. En réalité c’est le Royaume-Uni (L’Alliance de l’Angleterre avec l’Écosse et l’Irlande) qui gouverne secrètement le tout.

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Les États sont les ennemis des peuples pour ces élites dirigeantes

« L’ÉTAT DÉFEND LES RICHES CONTRE LES PAUVRES » dit le célèbre économiste Adam Smith.

Et il ajoute « L’ÉTAT DIMINUE LE FARDEAU DES RICHES EN VOLANT LE BIEN COLLECTIF ».

Adam Smith affirme que c’est cette réduction d’impôt chez les riches qui contribue à la dette gouvernementale.

« Pour gouverner avec succès, il est nécessaire de multiplier tellement les défauts du peuple, les habitudes, les passions, les règles de la vie en commun que personne ne puisse débrouiller ce chaos, et que les hommes arrivent à ne plus se comprendre entre eux … jeter la discorde dans les partis …. Désunir toutes les forces collectives. » Extraits tirés du document « Protocoles des Sages de Sion »



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Avant d'aller plus loin, voyons ensemble cela......

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Mafias, Motards et Armées de la CIA et de l’Intelligence Service aux services de la Couronne d’Angleterre


Les Rothschilds (Banquiers de la reine-mère) possédaient aussi les agences d'information-medias Allemandes durant les deux guerres et ainsi contrôllaient le courant d'informations "pour les Allemands" et le reste du Monde.
Incidemment, quand les troupes Alliees entrèrent en Allemagne, elles trouvrent que les usines IG Farben, au coeur de la machine de guerre d'Hitler, n'avaient pas été détruites par les bombardements et de même, concernant les usines Ford- un autre supporter d'Hitler.

Bien à l’abris de tous soupçons

On nous fait croire que la Reine d’Angleterre n’est qu’un symbole : ne le croyez surtout pas!

Partout où la Reine va, les Premiers Ministres des Pays se retrouvent secondairement en arrière d’elle comme si ils n’étaient que son ombre.

LA REINE

Si ils réussissent à tout contrôler c’est qu’ils possèdent les 100 000 Banques dans le Monde et la majorité des Armées.








Et c'est avec leurs Navires et leurs Cargots qu'ils font le Commerce Mondial de la Drogue!
Pourtant aucun Médias ne les dénoncent, tous ont peurs de se faire assassiner par eux.


Théodore Roosevelt, disait en 1912 dans son programme électoral : "Derrière le Gouvernement visible siège un Gouvernement invisible (Reine et Pape) qui ne doit pas fidélité aux Peuples et ne se reconnaît aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle-même corrompue, tel est le devoir de l'homme d'Etat." (Dieter Rüggeberg : "Gehimpolitik", p 75)


« La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions »,
Président John Fitzgerald Kennedy (1917-1963), dans un discours fait à l'Université Columbia le 12 novembre १९६३
« J’irai au cimetière voire les victimes de mes décisions, et je regrette que l’Administration m’aie caché tous ces secrets lors de ma mission de paix comme prétexte à instaurer la guerre contre l’Iraq car je n’aurai pas agi ainsi »

« Pour gouverner avec succès, il est nécessaire de multiplier tellement les défauts du peuple, les habitudes, les passions, les règles de la vie en commun que personne ne puisse débrouiller ce chaos, et que les hommes arrivent à ne plus se comprendre entre eux … jeter la discorde dans les partis …. Désunir toutes les forces collectives. » Extraits tirés du document « Protocoles des Sages de Sion »


CES ÉTATS FAISEURS DE MALADIES

<<Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine, la maladie ET LA VACCINATION>>! C’est ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale et ancien secrétaire d’État des U.S.A. qui ordonna des bombardements massifs du Vietnam et qui était un instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination).

Des Décideurs qui pensent ainsi, c'est non seulement inquiétant mais cela est une preuve formelle et qui les accuses

En 1943 et 1944, les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.

Toutes les Banques mènent à celle d’Angleterre. En 1914, il y avait 23 500 Banques par actions aux USA. Et sur ces 23 500 banques, 14 500 étaient des banques d’État, 7 500 des banques nationales et 1 500 des Trusts de confiance!

Qui sont ceux en arrière de ces Mc Namara et la Banque Mondiale ?

Le Pape ? La REINE ?

via leurs banquiers Rotschild et financiers Rockefeller ?

via leurs centaines d'Ordres (Jésuite, Militaires espions....)?

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LES BATEAUX PIRATES DE… SA MAJESTÉ LA COURONNE D’ANGLETERRE.

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Autres soupables du paupérisme et de la dépopulation et de la division des familles à part le Féminisme


imbéciles ou des insensibles.

La grippe espagnole, sortant des laboratoires Britanniques, et était une souche H1N1 particulièrement virulente et contagieuse.

En 1948, Heinrich Mueller, l'ancien chef de la Gestapo, a dit à son interrogateur de la CIA que la peste la plus dévastatrice de l'histoire humaine avait été créée par l’homme.

Il se référait à la pandémie de grippe de 1918-1919 qui infecta 20% de la population mondiale et tua entre 60 et 100 millions de gens. C’est en gros, trois fois autant que les morts et blessés de la WWI (Première Guerre Mondiale), et c’est comparable aux pertes de la WWII, néanmoins cette peste moderne a disparu au fond du trou de la mémoire. Mueller a dit que la grippe a commencé comme une arme de guerre bactériologique de l'armée US qui a infecté de façon ou autre les rangs de l'armée US au Camp Riley du Kansas en mars 1918, et s’est propagée autour du monde.

Il dit qu'elle « s’est libérée du contrôle », mais nous devons tenir compte de la possibilité horrible que « la grippe espagnole » était une mesure de dépopulation délibérée de l'élite, et qu'elle pourrait être utilisée encore. Les chercheurs ont trouvé des liens entre elle et l’actuelle « grippe aviaire ».

Il n'y avait rien « d’espagnol » dans cette grippe.


En politique, la communauté des haines fait presque toujours le fond des amitiés. Alexis de Toqueville

La Première Guerre Mondiale en fut une de GUERRE BIOLOGIQUE où les Britanniques ont infesté les Camps Allemands de leur saleté qui sortait de leurs laboratoires militaires telle LA GRIPPE ESPAGNOLE lancé par les Britanniques, et qui tua plus de 100 millions d'humains... Et personne n'en parle, les médias se taisent et les livres d'Histoire sont censurés par ces pays conquérants qui écrivent l'Histoire à leurs guises.

LA GRIPPE AVIAIRE

Il est facile pour les Pays qui font de la recherche militaire sur les micro-organismes comme agents biologiques possibles d'ARMES BIO-CHIMIQUES de les utiliser et de nous contaminer par voies des animaux: et comme cela il nous devient difficile d'incriminer ces Chercheurs militaires aux soldes des Pays Conquérants actuels.

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« Le Gouvernement n’est pas la solution, il ne résous rien : LE GOUVERNEMENT EST LE PROBLÈME », a dit l’ex Président des Etats-Unis Ronald Reagan.

HORREUR.... Quand les États ont trop d’argent : ils inventent des guerres pour éviter de donner l’argent à leurs pauvres et pour maintenir leur système qui hiérarchisent des humains. Voilà à quoi ça sert des Armées! Et ils vident aussi les coffres du Trésor Public en donnant nos Fonds Sociaux aux multinationales à coups de crédits d’impôts et de privilèges fiscaux afin de dilapider nos surplus monétaires pour que jamais on pense à éliminer la pauvreté. Pour maintenir leurs hiérarchies et ne pas donner de l’argent à leurs pauvres : ils fabriquent guerres, chaos, dive

Toute la famille BUSH, depuis 2 siècles, est employée par la Couronne d'Angleterre comme DES FAISEURS DE GUERRES. Ainsi, les Bush, sur commandes Britanniques, ont fabriqué les Grandes Révolutions, les 2 Guerres Mondiales, la Guerre Anti-terroristes (ceci inclus l'attentat du Word Trade Center et tous les autres attentats et COUPS d'ÉTATS)...... car ce sont des FABRIQUANTS DE GUERRES utilisés par Londres pour DIVISER POUR RÉGNER afin de justifier l'intervention militaire là où le ROyaume0Uni le souhaite.



Sur cette Planète il n'y a qu'un Chef et c'est la REINE Élisabeth 11 depuis la mort de la Reine-Mère.

Ne vous y trompez pas: Londres domine toujours le Monde avec ses centaines de cargots, de navires, d'avions, de flottes de gueres, de sous-marins, et sont Armée Mondiale qu'est les États-Unis. Londres a des milliers de Banques et de Compagnies d'assurances (London Life) dans tous les Pays du Monde, des multinationales, des Mines d'OR/diamants/uranium...., et toutes les Banques mènent à celle de Londres, et puis 25 millions de soldats font Allégeances à la Reine...... On passerait ds journées à énumérer leurs possessions territoriales et financières. Mais je dois au moins vous rappeler que ..... pour dominer le Monde, LONDRES s'est associé avec GM, GE, Chrysler, Bombardier, ALcan, Rio Tinto....... Le Commonwealth. le G8 et tous les autres Traités sont une façon pour les Britanniques de passer par-dessus les Lois des États: car un TRAITÉ c'est une entente entre pays qui subordonne les lois des pays......

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CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE par les psychotiques qui parlent de ''surpopulation'' parce qu'ils ne veulent pas partager.

Réduction de la Population

Ford a été un ardent défenseur des plastiques de soja et de l’éthanol. L’idée géniale de brûler de la nourriture dans le moteur à combustion d’une voiture construite à 75% de protéines comestibles vient de lui. En 1942, il présenta réellement au public une automobile en plastique de soja fonctionnant à l’agrocombustible. Déplorable mais vrai, ce fut un bide total.









héros de la honte et mafieux

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Toujours revendique le maximum pour les 7 milliards d'humains sans exception


PAS DE PAIX TANT QUE l’Éducation enseignera la concurrence, la compétition au lieu des

Valeurs Fraternelles de l’Égalité, du Partage, de l’entraide, de la Sécurité Financière….

PAS DE PAIX TANT QUE l’on enseignera aux enfants à se comparer maladivement entre eux

au lieu de fraterniser et d’unir leurs personnalités

PAS DE PAIX TANT QUE des religions et des sociétés secrètes isoleront leurs adeptes en leurs faisant croire qu’ils sont meilleurs que les autres et que les autres sont mauvais


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TOUS DES HÉROS LORSQU'ON SERA POUR L'ÉGALITÉ ET LE PARTAGE ENTRE LES PAYS..... et dénonceront le mensonge de l'Égalité par l'Équité.


Les ÉLITES par leurs Écoles et leurs Médias, mettent dans la tête des gens les mêmes rêvent qu’ils ont : rêves de vengeances, rêves de pouvoirs malsains, rêves d’avoir des ‘’supers pouvoirs’’ pour imposer ses idéologies antifraternelles de la vie de combat à tous… mais toujours finement sous le prétexte de justice et de mépris. Tous leurs FILMS de guerres sèment en nous tous une morale ''Western'' de l'idée de ''Bons/méchants'': par exemple au début de tous ces films de COWBOYS ou ''Policiers'' il y a un meurtre et tout le long de ces films on nous fait tellement mépriser un prétendu ''méchant'' que tous à la fin du film ON SOUHAITE SA MORT! Et c'est comme cela depuis notre enfance: LA SECTE MONDIALE DES ÉLITES nous ont mis dans la tête leurs mentalités et leurs prisons de la haine..... sortons-en!

Les peureux et les impuissants se cherchent des héros (militaires) pour les sauver... HÉROS de l’HORREUR, du MÉRITE dans le combat et non le partage.... Ces ''Superman de la vie de combat et du mérite'', ces ''Batman de la concurrence et de l’équité inégalitariste des salaires''…. Tous jouent aux héros ÉLITISTES et mécréants se décernent des prix et des honneurs pour se rendre intouchables et passer honorablement à l'Histoire, ils aiment impressionner et nous maintenir sous eux.....

HÉROS MEURTRIERS, Conquérants sanguinaires, de la Compétition, de la Concurrence. HÉROS QUI TUENT AU LIEU DE SAUVER DES VIES. HÉROS qui tuent des ‘’méchants’’ humanistes parce qu’ils parlent trop d’unir dans le Partage.... Les Dirigeants de ce Monde ont toujours su utiliser les Bandits, les Pirates, les Sadiques, les Mafias, les Motards, les révoltés et exclus….. contre leurs propres populations…. Et les héros justiciers sanguinaires de la guerre.



Lorsqu’il est vainqueur, le meurtrier se croit héros. Et c’est ainsi que ces Conquérants assassins ont écrit l’Histoire à leurs façons et en se rendant intouchables en se sanctifiant et se glorifiant... On nous a fait croire que la guerre tuait les mauvais…. Et bien au contraire : les guerres ont tué les plus doux, les moins guerriers, les plus pacifiques, les populations non guerrières et moins assassines…. Il n’est resté que les moins nobles, les plus sadiques…. Non, les guerres ne favorisent que les mieux armés et trop souvent les plus exécrables.

Ce ne sont pas les Héros des pauvres. Il urge que nos artistes et scénaristes se décompétitionnent et inventent des HÉROS Fraternels qui gagnent sans combat et dans l'écoute, la douceur et le respect.... On ne perd qu'en combattant, dans le combat il y a toujours un perdant et dans le Partage tous y gagnent.....

''Certains se réjouissent de leurs victoires, d'autres de la saison des fraises''.


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« LES HÉROS ne tuent pas des vies mais cherchent à en sauver ; ce ne sont pas les Héros des riches mais les Héros des pauvres, les Héros du Partage, les Héros de l’Égalité, et les Héros de l’Entraide entre les Pays. Ils jouent aux héros, aux winners: qu’ils se sauvent eux-mêmes de leurs mentalités assassines de l’Élitisme et son taux de 67% de pauvres nécessaires pour maintenir leur hiérarchie cléricale du Mérite. Devenez LES HÉROS DE L'ÉGALITÉ MONÉTAIRE ET DU PARTAGE ENTRE LES PAYS.


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« L’ÉTAT DÉFEND LES RICHES CONTRE LES PAUVRES » dit le célèbre économiste Adam Smith. Et il ajoute « L’ÉTAT DIMINUE LE FARDEAU DES RICHES EN VOLANT LE BIEN COLLECTIF ». Adam Smith affirme que c’est cette réduction d’impôt chez les riches qui contribue à la dette gouvernementale. C'est nous qui payons les employés d'Alcan en lui accrodant des privilèges financiers et de l'hydro-électricité gratuite....


Rio Tinto ALCAN

DE LA REINE


Rio Tinto Alcan doit nous rembourser les 60 milliards $ qu'elle doit aux populations en Impôts Reportés Cumulés!

--- Taxons-là de 10 % (soit 6 MM$ de revenus par an pour nous) jusqu'à remboursement …

SINON …

--- Ou saisissons Rio Tinto Alcan pour Impôts Reportés Cumulés Impayés

*** Et toujours répartir également entre tous les citoyens adultes ces impôts (les impôts sont LE BIEN COMMUN, c’est une taxe de 50% sur tout ce qui se produit dans NOTRE Société), pour que chacun à sa façon puisse contribuer à sa collectivité.


C’est la région qui fait vivre Alcan
et qui finance ses emplois
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En réalité, ces Milliardaires Entreprises ne paient aucun des salaires de leurs employés. Ces Riches Entreprises étrangères réussissent à faire payer aux populations les salaires de leurs employés par divers truchements: privilèges fiscaux, impôts reportés cumulés (à jamais), hydro-électricité gratuite, ,,,,,

Bref ils utilisent NOS Fonds Publics, et cet argent que nos élus leur accordent : c'est de l'argent qu'on a en moins (voilà pourquoi on est si pauvre, voilà qui explique l'EXODE et la baisse croissante des emplois....)


Les ''B.S. sont en haut : pas en bas :

Les vrais ''B.S.'': ce sont ces milliardaires Entreprises qui nous quêtent des crédits d’impôts; qui veulent avoir le monde pour une somme dérisoire; qui s’arrangent pour que ce soient les populations qui paient leurs employés par divers truchements fiscaux.

Alors que nos Héros modernes aillent chercher pacifiquement aux milliardaires ce qu'ils nous ont pris
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En 1943 et 1944, les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.

Empoisonnement massif délibéré

Le bioterrorisme british-américain…

Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, énumère divers genres d'«armes non conventionnelles » à haute fréquence... et il affirme que les États-Unis possèdele savoir-faire voulu pour provoquer des changements climatiques soudains (ouragans, sécheresses). Ils créent des catastrophes prétendues ''naturelles'' contre les pays pauvres et populeux (la Chine...). Aujourd'hui il y a des SATELLITES placés un peu partout dans le monde et ils peuvent créer des perturbations météorologiques oû ils le désirent. Pour en savoir plus, informez-vous sur le Projet HAARP de la Nasa (High frequency Active Auroral Research Project)...... http://www.dailymotion.com/video/xj5xm_ ... haarp_tech


http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758&hl=fr
NOS BASES MILITAIRES (sur ordres des anglo-américains) SAVENT CRÉER SÉCHERESSE, PLUIES ARTIFICIELLES, ORAGES, MARÉES, Tornades .....Et nous les tenons comme ''criminellement responsables des préjuduces que cela nous occasionnent''

SCOOP = RIO TINTO ALCAN
CES FAISEURS DE PLUIES ARTIFICIELLES AVEC.....

Parmi les certitudes, le brevet Welsbach. Ce brevet, pierre angulaire des chemtrails, n’est pas une rumeur. Enregistré en 1991 par le Bureau des brevets Etats-Uniens, il est aujourd’hui utilisé pour la manipulation du climat, consultable en ligne sur le site des archives du Bureau des brevets. Celui-ci recourt, pour l’essentiel, à trois substances : de l’aluminium, du baryum ainsi qu’un porteur synthétique à base de polymères.

SCOOP et SCANDALE -----»

1860, création du COMITÉ de RÉVOLUTION Internationale dont le Siège Social est à LONDRES, et il est protégé par la Reine VICTORIA.


La Reine VICTORIA tenait aussi bien en mains les fils de la Diplomatie eurpéenne = et cela donna naissance à l'ALLIANCE DES MOUVEMENTS RÉVOLUTIONNAIRES en 1867.


Ceci confirme mes dire, à l'effet que la majorité des révolutions ont été sciemment orchestrées par LONDRES. Et qui gagne toujours dans les révolutions et qui les financent? Les BANQUES! Et lorsqu'on sait que toutes les Banques remontent jusqu'à celle de LONDRES: alors on prouve que les Britanniques foutent le bordel partout dans le Monde et pour leurs seuls intérêts.






LINCOLN ASSASSINÉ PAR LES ORFÈVRES

(banquiers privés de l’époque mais aux soldes d’une Angleterre fondée sur l’esprit de domination par le ‘’Diviser pour régner). La Banque d’Angleterre fut créée par les marchands les plus riches de Londres qui s’étaient organisés en une espéce de compagnie financière. Elle était donc la propriété des ORFÈVRES qui pouvaient créer de la monnaie et endetter l’Angleterre.

Voici le fameux article que le TIMES (journal appartenant à la Haute finance) de Londres a écrit après l’assassinat de Lincoln qui venait de faire une Loi pour reprendre le contrôle de la monnaie sur les orfèvres, banquiers privés, et qui ont dit après son assassinat : «Si la funeste politique financière inaugurée récemment en Amérique du Nord doit se perpétuer, ce gouvernement doit être détruit ou il détruira toutes les puissances bancaires». Voilà pourquoi la Banque d’Angleterre, fondée par les marchands les plus riches de Londres, adopta le principe mafieux des orfèvres (des Banques privées).

Lincoln avait dit « Lorsque les Gouvernements émettront de la nouvelle monnaie gratuitement (et en fonction d’assurer à tous un bon pouvoir d’achat suffisant) : il n’y aura plus de limite au Progrès, aux avantages de vivre en collectivité et, au véritable progrès humain, les Gouvernements possèderont dès lors leurs propres monnaies sans l’emprunter. ils en pourront payer leurs dettes, se libérer de toutes leurs créances. Ils possèderont toute la monnaie nécessaire à leurs commerces, ils connaîtront une ère de prospérité sans précédent dans l’histoire de la civilisation… ».
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*** Les DIRECTEURS des Journaux sont responsables de cette désinformation et des maux sociaux que cela engendre.... Les citoyens ne sont pas plus intelligents ni plus informés que ne le sont les décideurs en arrière de nos Médias (qui limitent l'information par peurs ou paresse d'esprit et par un manque d'objectivité)
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OÙ SONT LES JOURNALISTES COURAGEUX
OÙ SONT LES SCÉNARISTES
OÙ SONT LES POLICIERS
OÙ SONT LES AVOCATS DE LA COURONNE ''CITOYENNE''
*** Nous accusons les MÉDIAS et leurs journalistes naifs de nous cacher cela, de ne pas avoir l'honnêteté de nous en parler, ni de nous informer abondamment sur tous les enjeux et les conséquences.... Mais à quoi ça sert d'avoir autant de Journaux et de Radios si c'est pour ne rien savoir.

La mobilisation de

l'Humanité s'impose

Si tous les pays qui se mobilisent actuellement pour lutter contre le Terrorisme s’étaient concertés de la même façon pour faire respecter les Droits Économiques de tous les humains et les Droits De Tous À UNE VIE DÉCENTE: nous n’en serions pas là! Si ce n’est pas une autre preuve de conspirations mondialement organisées alors nos Représentants sont des imbéciles ou des insensibles.




.... blog en amélioration.... à suivre ....



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Bonjour à tous,

si j'ai travaillé aussi fort pour vous offrir ces 500 sujets de réflexions : ce n'est pas seulement pour déclencler et provoquer de l'activisme humaniste en vous tous, mais aussi pour qu'on profite de cette STRUCTURE INTERNATIONALE qu'est Internet au moins pour petit à petit, ENSEMBLE, développer des thèmes prioritaires...... tel UN GOUVERNEMENT MONDIAL composé de 7 milliards d'humains.



Faisons-le pacifiquement, intelligemment, avec ouverture d'esprit, et une grande liberté d'expression..... sans peur, sans manifestation, sans reproche, ......
Il est bien de dénoncer, d'informer et de questionner sans restrictions ni peurs des poursuites judiciaires et de savoir aussi nous en protéger et d'empêcher ceux qui ont le pouvoir et l'argent de nous intimider, de nous menancer de nous poursuivre dès qu'ils se sentent un peu lésés..... Chacun a droit à sa ''Liberté totale d'expressions''.









QUELQUES UNS DE MES BLOGS


où vous trouverez plus de 2 000 sujets HUMANISTES développés sans peur ni intérêt financier quelconque :


SOLUTIONS MONDIALES

http://gouvernementmondial.blogspot.com/

http://assassinats.blogspot.com/

http://solutionprevention.blogspot.com/

http://fruitspourtous.blogspot.com/

http://viesaineetpacifique.blogspot.com/

http://comprendretout.blogspot.com/

http://informationshumanistes.blogspot.com/

http://crimescontrenous.blogspot.com/

http://causesresolues.blogspot.com/

http://denonconslestraitres.blogspot.com/

http://faitsconstats.blogspot.com/

http://sedemeler.blogspot.com/

http://mentalitesdeplorables.blogspot.com/

http://violencedeselites.blogspot.com/

http://scandalesinternationaux.blogspot.com/

http://sujetsinedits.blogspot.com/

http://alcanrio.blogspot.com/

http://poesiehumour.blogspot.com/

http://vosreponses.blogspot.com/

http://gifanimeviny.blogspot.com/


SOLEIL POUR TOUS

http://dwanrg.blogspot.com/ (Humanité Reine)

http://soleilpourtous.blogspot.com/

http://cielpourtous.blogspot.com/

http://concurrencepourdiviseretvolerlespays.blogspot.com/

http://vinyeden.blogspot.com/

http://paradispourtous.blogspot.com

http://rentepourtous.blogspot.com/

http://lexica-viny.blogspot.com/

http://lexika-eden.blogspot.com/

http://solutionsprioritaires.blogspot.com/

http://solutionmondiale.blogspot.com/

http://fruitpourtous.blogspot.com/

http://vinyeden.blogspot.com/

http://gouvernementmondial.blogspot.com/



VERGERS PARTOUT ET

FRUITS GRATUITS POUR TOUS


*** Ce BLog offre mes 500 sujets en ORDRE ALPHABÉTIQUE (il est en construction)



Cliquez sur cet hyperlien pour voir mon nouveau BLOG


http://vergerspartoutdansnosvilles.blogspot.com/


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*** Ces quelques 500 articles sont des extraits de mon immense document ‘’LEXYKA ou HUMANITÉ REINE’’, où j’y développe plus de 2 000 thèmes à travers plus de 100 000 pages.


vous n’avez qu’à écrite sur GOOGLE « cielpourtous » ou « lexyka » ou « vinyeden » pour vous retrouvez dans quelques uns de mes blogs.


Ah oui, j'oubliais, Humanité Reine contient 78 livres que je suis en train de terminer et qui parlent de tous les sujets (amour, bonheur, jeunes, aînés, humanisme, éducation, économie, Religions, santé, éthique du bien commun, banques, Lois et Droits, Priorités, Constats, Solutions.....), et chacun d'eux a au moins déjà 400 pages.

Y-A-T-IL DES ÉDITEURS AUDACIEUX ET FRATERNELS ?


Partagez-nous vos critiques, vos SCOOPS, et vos solutions pour que nous en publions l’essentiel en cliquant ici soleilpourtous@hotmail.com




3 hyperliens qui mènent à 2 000 sujets inédits et uniques au monde

C'est la version complète de LEXYKA (HUMANITÉ REINE)

C'est donc

2 000 Nouveaux SCÉNARIOS possibles à concrétiser par vous

2 000 Nouveaux FILMS qui n'attendent que Spielberg ou vous pour être réalisés

2 000 Nouvelles PIÈCES DE THÉÂTRES à monter par vous à votre façon

2 000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .





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